Okapi Airlines launches in Congo
A new airline company has set up shop called Okapi Airlines. Apparently 100% owned by Congolese entrepreneurs who decided to remain anonymous and not reveal their names to the media. Wish them all the best and hope they will manage this new airline using the qualified expertise and hope they have enough financial backing to survive the troubles the congolese airline industry suffers. Funny though they decided to remain anonymous. Hope they are all legit citizens and not those looters of politicians we have.
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Sécurité aérienne : une nouvelle société conforme aux standards lancée
Par Le Potentiel
Combattre les crashes à répétition causés par les aéronefs ne répondant pas aux standards internationaux est l’objectif visé par la nouvelle société.
La novelle société s’appelle Okapi airlines. L’actionnariat est composé de quatre personnes. Deux sont morales et les deux autres sont physiques. Leur identité n’est pas divulguée. La nouveauté apportée par Okapi airlines se situe au niveau de la qualité des services rendus. La sécurité et le confort sont la constante préoccupation de ceux qui se sont décidés de s’unir pour offrir plus de garanties aux passagers. «Les défis sont énormes techniques, organisationnels et opérationnels», reconnaît Matthieu Butiku, directeur d’exploitation.
Le personnel engagé par cette nouvelle société draine une expérience dans le secteur ne souffrant d’aucune contestation. Des anciens de Lignes aériennes congolaises, de Air Afrique, de Sabena, de Air France, …, se sont mis ensemble et promettent de faire des standards internationaux leur compagnon. Une résolution qui transparaît clairement à la lecture des curricula vitae de chacun des cadres de direction de cette nouvelle société.
Déjà, un avion est arrivé à Kinshasa sous les couleurs de Okapi airlines. Un Boeing 737-500 de nouvelle génération. Un appareil du même type que des sociétés de notoriété internationale notamment SAA. Le directeur d’exploitation de la jeune société Mathieu Butiku certifie : «Notre flotte est composée d’avions de nouvelle génération conforme aux normes».
Pour quadriller le pays, vaste de plus de 2 millions de kilomètres, Okapi airlines a identifié quatre axes, à savoir Kinshasa, Lubumbashi, Goma et Kisangani. L’intensité de l’activité économique a déterminé les managers de cette société de considérer ces quatre villes comme points de rayonnement.
D’ici le mois de décembre, la société compte atteindre le nombre de six avions effectivement opérationnels en RDC. Dans le lot, il y a aussi des avions ATR pour le désenclavement des provinces. L’expérience de ATS, African transport system dans l’aviation en République démocratique du Congo est une passerelle qui atteste de la crédibilité des intentions des actionnaires de cette société.
Pour s’assurer d’un lancement efficient, la ligne Kinshasa – Lubumbashi avec cinq rotations hebdomadaires, constituera la phase initiale. D’autres lignes suivront notamment sur Mbandaka à l’Equateur, Bukavu, Kananga, Mbuji-Mayi, …
«La vie d’un avion dépend de la qualité des entretiens effectués», s’empresse de préciser Matthieu Butiku. C’est ainsi qu’un accent particulier est mis sur la maintenance. D’ailleurs, le responsable de ce département est choisi parmi les personnes expérimentées et d’une expertise avérée.
Avec sa licence acquise depuis 2010, Okapi airlines peut voler dans les airs congolais et offrir des garanties suffisantes de sécurité et de confort. Les responsables promettent également d’assurer des vols avec ponctualité.
Bref, l’incertitude sur le respect des normes en la matière étant écartée du fait de l’expérience et du sérieux de la nouvelle société, le ciel congolais peut se transformer. Les crashes à répétition, souvent la conjonction des négligences et de la cupidité des investisseurs dans le secteur qui privilégient la rentabilité au détriment de la sécurité. Okapi airlines promet d’appliquer la vérité des prix d’autant plus que les marges bénéficiaires dans le secteur aérien ne sont pas grandes.
Bienvenu-Marie Bakumanya
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