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Quelle ville pour accueillir le Centre Sportif d'Elite de la Communauté Française?

  • Bruxelles

    Votes: 9 19.6%
  • Liège

    Votes: 12 26.1%
  • Charleroi

    Votes: 8 17.4%
  • Namur

    Votes: 2 4.3%
  • Mons

    Votes: 5 10.9%
  • Louvain-la-Neuve

    Votes: 10 21.7%

OTTIGNIES - LOUVAIN-LA-NEUVE

91K views 287 replies 45 participants last post by  El Natur 
#1 · (Edited by Moderator)
Que serait Ottignies aujourd'hui sans le développement de Louvain-la-Neuve ?

Sur un bon quart du territoire ottinois, l'UCL règne en maître absolu. Un poids que la la ville tente parfois d'infléchir. Sans le contester fondamentalement. Que serait Ottignies aujourd'hu sans le développement de Louvain-la-Neuve?

Les incollables sur les récits des débats du conseil communal ottintois connaissent bien la marge de manœuvre parfois filiforme d'une majorité courte (15 conseillers sur 29) et atypique réunissant Ecolo-CDH et Démocratie Nouvelle.

L'on connaît sans doute moins le poids de l'Alma Mater sur une partie de la ville sortie de terre il y a un peu plus de trente ans. Un poids que l'ancien bourgmestre Jacques Otlet résume avec une formule lapidaire : « L'UCL, c'est un Etat dans l'Etat ».

Comment pourrait-il d'ailleurs en être autrement ? À la fin des années soixante, grâce à un crédit de 764 millions de francs belges accordé par l'Etat, l'Université se retrouva propriétaire d'un peu plus de neuf cents hectares. Une opération immobilière unique en Belgique !

Nous avons dû jouer tous les rôles : concepteur, organisateur, gestionnaire des infrastructures, réalisateurs de crèches… Des rôles qui, dans d'autres villes universitaires, sont partagés avec les pouvoirs publics, explique Jean-Claude Nihoul, le directeur de l'administration des Domaines. Si l'UCL, décidée à créer une cité accueillant habitants et étudiants, débarquait avec une armada de spécialistes, quelques personnes seulement officiaient au service des travaux et de l'urbanisme ottintois…

Le contraste s'est réduit aujourd'hui. Mais le budget de l'UCL, le plus gros lotisseur, le plus gros employeur de la région (4.500 personnes) représente tout de même encore dix fois celui de la Ville. Le résultat : sur un bon quart du territoire communal, peuplé par 8.000 habitants - étudiants non compris -, nombre qui grimpera à 12.000 une fois achevés les derniers lotissements des Bruyères, rien ne se décide sans l'aval de l'UCL. Dans les domaines de l'aménagement du territoire et du développement économique, s'entend. Promoteurs, investisseurs, entrepreneurs s'adressent directement à l'administration des Domaines, le collège n'entrant en scène qu'au dernier acte : la délivrance du permis de bâtir, autrement dit quand les choses sont déjà bien ficelées. Les voiries sont reprises par la ville lorsqu'un quartier est terminé. En cas de problème (dégradation des rues…), les nouveaux habitants ne savent à quel saint se vouer. Alors, la plupart téléphonent à la fois à l'UCL et à la Ville, explique le bourgmestre, Jean-Luc Roland.

À situation unique, lieux de paroles uniques. Une bipartite réunit, deux fois par an, les autorités communales et universitaires… Son objectif a été de préciser le rôle de chacun. Il a fallu du temps pour trouver la bonne mesure, poursuit Jean-Claude Nihoul. « À vous de gérer les débordements de vos étudiants lors des 24 heures vélo », nous disait la Ville. « À vous de faire régner l'ordre sur le territoire communal », rétorquions-nous. On en venait à mesurer, mètre par mètre, les responsabilités de chacun sur le tracé.

Pourtant le menu chargé des ordres du jour le laisse deviner : ces bipartites sont des lieux de concertation, pas de décisions. Au contraire de réunions plus informelles, plus animées.

Lors de l'affaire de la zone Okupée (les squats de la nationale 4 que l'UCL souhaitait démolir), le ton a monté, raconte l'échevin Jacques Lega. Lorsque le commissaire de police a dressé le tableau d'une expulsion manu militari des occupants, avec chevaux de frise et blocage de la N4, le prorecteur Gabriel Ringlet a vite compris que cela offrirait une image plutôt désastreuse pour l'UCL. Et le risque d'une présence accrue des expulsés sur ou sous la dalle néolouvaniste a sans doute aussi influencé la décision (provisoire) de ne démolir que deux des quatre maisons.

Autre sujet chaud : l'aménagement des lotissements Bruyères 9, 10, 11 et 12. Nous souhaitions davantage d'équipements collectifs et la garantie que se réalise la passerelle au niveau de l'avenue des Coteaux ; l'UCL souhaitait rentabiliser davantage ce vaste espace. La discussion, parfois violente, a duré plus d'un an, ajoute le bourgmestre.

La couleur de la majorité facilite-t-elle la cohabitation des deux pouvoirs ? C'est plutôt une question d'hommes, explique-t-on des deux côtés. Mais d'autres influences se font sentir parfois.

La ville et le fonctionnaire délégué souhaitaient implanter la Grande Aula davantage à front de la Grand-Place, rappelle Jacques Otlet. L'UCL voulait y réserver une place pour son futur musée. Le feu vert est venu du ministre de l'Aménagement du territoire, Michel Lebrun (PSC). Sans attendre l'avis de la Ville.

Au conseil communal, le professeur Michel Woitrin, ancien administrateur général de l'UCL, brille par son absence aux côtés des autres conseillers IC. Pourtant, Michel Woitrin est loin d'être inactif. Il aurait même pris l'initiative de convoquer des spécialistes et d'utiliser ses dons de diplomate pour régler le problème né de la volonté du groupe Klépierre de créer deux quais de déchargement supplémentaires près de la place de l'Accueil. Des changements qui nécessitent déplacement d'arrêts de bus et modification du permis de bâtir accordé au projet de l'Esplanade. Autrement dit celui qui « fit prendre la mayonnaise de Louvain-la-Neuve » (selon l'expression de l'historien français Emmanuel Leroy-Ladurie) se démène encore pour ôter l'énième peau de banane sur la (longue) route du projet qui terminera le centre.·
 
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#100 ·
@ Monska

Tu as raison de dire que Mons a un soutien politique important, mais ce qui s'est produit dans la "candidature" de Mons 2015 a peu de chance de se reproduire car si des choses venaient à s'apprendre par la suite, je crois que ca pourrait se payer cher aux futures élections communales. Cette fois, l'on peut espérer qu'il y aura une véritable concurrence!!

@ Bazar

C'est un choix personnel, dans le sens que j'estime simplement plus adéquat pour ce projet de la Communauté Française, d'installer ce centre dans une ville purement francophone, donc à l'échelle non-belge. Et, pour moi, Bruxelles reste à l'échelle belge (minimum). Je précise que je connais parfaitement la situation institutionnelle belge, donc inutile de me rappeler que Bxl est aussi en CF, c'est juste que je trouverais le choix d'une autre ville plus pertinent.
De plus, Bxl a d'autres atouts et peut, il me semble, en laisser un peu aux autres.
 
#101 ·
oh Bouillon magnifique en plein coeur de l' Ardenne cette ville est simplement magnifique...pour les sportifs la forêt loin de l'agitation, pourquoi pas mais perso même si je suis Ardennais, je préfère Liège qui pour moi a plus d'atouts que toutes autres villes Wallones réunies...;)
 
#102 ·
Voici le déroulement complet étape par étape

Etape 1 : Analyse des dossiers et demandes de compléments d’informations :
Une équipe de consultants indépendants a été désignée. Accompagnée des représentants du Ministre des Sports, de la Direction générale des Sports, de la Direction générale de l’Infrastructure, d’Infrasports du service public de Wallonie et éventuellement d’experts extérieurs, elle réalisera une première analyse des dossiers et procédera le cas échéant, aux demandes d’informations complémentaires.

Etape 2 : Audition des candidats :
Une audition des candidats sera réalisée afin d’affiner et compléter l’analyse réalisée au cours de l’étape 1.

Etape 3 : Analyse finale :
Une évaluation finale sera réalisée par un Comité de sélection composé des représentants du Ministre des Sports, de la Direction générale des Sports, de la Direction générale de l’Infrastructure, des services Infrasports de la Wallonie, de l’équipe de consultants et éventuellement d’experts extérieurs. Un représentant de chaque cabinet des membres du kern sera invité par le cabinet du Ministre des sports, en tant qu’observateur lors de l’examen du rapport d’évaluation final. Un classement des candidatures sera enfin proposé au Gouvernement de la Communauté française.

Etape 4 : Choix du Gouvernement de la Communauté française

A ce jour, dix disciplines sportives ont été retenues pour la première phase de développement du Centre. Il s’agit de l’athlétisme, du basket-ball, de l’escrime, de la gymnastique, du judo, de la natation, du rugby, du tennis, du tennis de table et du volley-ball. La seconde phase concerne le badminton, le cyclisme, le handball, le taekwondo, le tir à l’arc et le tir.

Une petite question me vient en tête si un classement est effectué, est-ce que le premier sera belle et bien choisi par le Gouvernement de la Communauté française?
 
#103 ·
Centre de haut niveau : ce sera Liège, LLN ou Mons

Il reste trois communes en lice, Liège-Seraing, Louvain-la-Neuve et Mons, pour accueillir le Centre de formation pour sportifs de haut niveau de la Communauté française.

PHILIPPE VANDE WEYER


Depuis la clôture de l’appel aux villes et communes pour l’accueil du futur centre francophone de haut niveau, à la fin du mois de décembre dernier, on se doutait que la partie se jouerait entre les candidatures de Liège-Seraing, Louvain-la-Neuve et Mons, les trois seules sur les sept arrivées dans les temps qui remplissaient les conditions du cahier des charges établis par la Communauté française.

C’est aujourd’hui une certitude. Ce lundi, à l’issue de la première réunion de la commission d’avis chargée « in fine » de faire ses recommandations au gouvernement sur la qualité des divers dossiers, seuls ces trois-là ont passé le « cut ». Ceux d’Andenne, Bouillon, Bruxelles et Mouscron, qui avaient également été examinés par un collège d’experts, ont été écartés avant le sprint final parce qu’ils ne répondaient pas aux demandes formulées.

La commission d’avis, qui regroupe des membres du cabinet Antoine, de l’administration, du monde sportif francophone et le patron de l’Insep, le célèbre Institut des sports français, a néanmoins décidé de demander des précisions aux trois candidates retenues. Liège-Seraing, Louvain-la-Neuve et Mons auront jusqu’à la mi-mai pour y répondre avant d’être auditionnées.

Le choix reporté fin juin

Du coup, le calendrier du choix final a été modifié. Initialement prévu « aux alentours de Pâques », selon André Antoine (CDH), le ministre des Sports de la Communauté française, il n’interviendra pas avant la fin du mois de juin, au plus tôt.

Une décision logique pour un dossier de cette envergure puisque son budget est estimé entre 60 et 70 millions d’euros.
http://www.lesoir.be/sports/autres_sports/2011-03-22/centre-de-haut-niveau-ce-sera-liege-lln-ou-mons-829727.php
 
#104 · (Edited)
Ca va etre très dur de départager les 3 villes a mon avis, chacune à ses points forts et on peut facile défendre chaqu'une d'elle par rapport aux autres quand le choix sera fait.


Pour ce qui est de la candidature montoise, j ai lu qu'il était content d'avoir passé cette première étape (comme s'il ne s'y attendait pas...) et qu'ils vont devoir s'activer pour améliorer le projet.
Et sur le site montois proposé pour acceuillir le centre, on peut signaler l'ouverture de la nouvelle piscine et le début de la construction du remplacement des 6 vieux terrains en cendrée outdoor du centre de l'AFT avec 4 en cendrée et 2 en synthétique avec éclairage.

Lu également : http://www.laprovince.be/regions/mo...le-poids-face-a-louvain-la-neuve-859696.shtml
 
#105 ·
LOUVAIN-LA-NEUVE | Le nouveau Musée de LLN

Louvain-la-Neuve: permis refusé pour le nouveau musée



Le projet prévoyait la construction d'un bâtiment à l'architecture ultra-moderne : 4500 m² d'espace d'expositions, au bord du lac, pour un coût total estimé à 18 millions d'euros.

Un projet culturel majeur porté par l'UCL et la commune, qui est donc recalé pour l'instant par le fonctionnaire délégué de la Région wallonne.

L'UCL étudie d'abord la décision avant de réagir et d'introduire un éventuel recours auprès du ministre wallon de l'Aménagement du territoire, Philippe Henry.
http://www.lejournaldelarchitecte.be/jmla/index.php/nouvelles/projets-be/497-louvain-la-neuve-permis-refuse-pour-le-nouveau-musee
 
#106 ·
Les sportifs de haut niveau formés à Mons, Liège ou Louvain-La-Neuve ?

Une évaluation finale sera réalisée par un Comité de sélection composé de représentants ministériels et d'experts, à l'issue d'une audition orale des candidats qui aura lieu le 24 mai prochain. Un classement des candidatures sera enfin proposé au Gouvernement de la Fédération Wallonie - Bruxelles pour un verdict attendu au début de l'été.

Le centre de formation pour sportifs de haut niveau était au cœur de l'actualité de Twizz radio dans la grande matinale.

Qui sera désigné par la Fédération Wallonie – Bruxelles ? Ce centre sera unique pour la partie francophone du pays. Plusieurs villes ont déposé leur candidature mais seules trois d'entre elles ont été retenues : Mons, Liège et Louvain-la-Neuve.

Ce projet, attendu par le monde sportif depuis plusieurs années, entre dans sa phase concrète. Le complexe sportif, qui sera principalement dédié à l’entraînement optimal de sportifs de haut niveau, comprend tant des infrastructures couvertes que des infrastructures extérieures. Il regroupera sur un même site les activités sportives et de formation des différentes disciplines sportives concernées ainsi que l’infrastructure d’accueil des sportifs. Il s’agit donc de créer un Centre proposant à l’élite sportive francophone les conditions optimales d’entraînement mais également de concilier, pour certains d'entre eux, l’entraînement avec une formation scolaire, universitaire ou professionnelle.

Focus donc sur les qualités de chaque candidature. Nicolas Martin, échevin du développement économique de la Ville de Mons, détaille les points forts montois : '' L'enjeu est d'importance pour la Ville et pour l'ensemble de la communauté Wallonie - Bruxelles. Ensuite nous avons un atout majeur, pour porter notre candidature qui est ce site de 35 hectares, qui commence progressivement à être aménagé et équipé d'infrastructures de qualité, comme une nouvelle piscine avec un centre de médecine sportive. Par ailleurs, nous disposons d'une expérience en la matière, à travers le sport étude, du tennis développé par l'Association Francophone de tennis. Justine Henin, les frères Rochus, sont passés par Mons".

Le point fort majeur de Mons ? ''Il y a plusieurs éléments" poursuit Nicolas Martin : " la qualité du site du Grand Large, l'existence d'un centre de médecine sportive, localisé idéalement et l'expérience de l'élite de Mons".

Un inconvénient : la distance avec Bruxelles peut-elle constituer un point faible de la candidature ? "Non pas du tout, Mons est idéalement située, accessible en train, 3 aéroports sur 60 km, une infrastructure routière importante, et le site est à quelque km du centre'' conclut l'échevin montois.

Liège, Cité ardente, est également candidate et souhaite accueillir, à travers un consortium, le centre de formation pour sportifs de haut niveau. Christophe Lacroix, Député provincial, détaille les points forts : ''Nous sommes 4: Province de Liège, Ville de Liège, Ville de Seraing et l'Université. Les points forts de la Ville ? Une grande tradition sportive... Une ville où plein d'évènements sportifs sont organisés, une politique d'infrastructures mises en place par l'Université, une piscine olympique à Seraing, et toute une série d' infrastructures que la Province de Liège a construite et qui peuvent servir de support: une économie substantielle, une infrastructure existante, une candidature sportive, économique, qui permettront de faire des économies et d'investir dans d'autres dossiers. Notre hôpital universitaire n'est qu'à 800 mètres et c'est une qualité essentielle. Nous avons la seule université de la Communauté française complète !''. Sur le plan scolaire, le Député provincial liégeois évoque également le bassin d'enseignement constitué autour de l'Université de Liège, les Hautes Écoles et "...un enseignement secondaire important, ce sont des milliers d'étudiants sur Liège et ses environs". Comme pour Mons, la distance Liège-Bruxelles peut-elle constituer un point faible ? ''Nous disposons d'un aéroport sur place, une magnifique gare TGV, un réseau dense de communication au niveau autoroutier, ... A l'heure actuelle se déplacer à Liège est très facile pour tout le monde'' conclut Christophe Lacroix.

Enfin, Pierre Boucher, Député provincial du Brabant wallon, défend le projet de Louvain-la-Neuve : '' Nous disposons de trois atouts, tout d'abord la compacité du projet, tout se trouve réuni sur un seul site, adossé à l'Université, la situation géographique, proche de Bruxelles, une gare RER à 30 km de l'aéroport national. Nous avons une expérience unique et partagée avec le centre sportif du Blocry, qui accueille déjà des milliers d'étudiants". Soit, une candidature "évidente" ? ''Elle est intéressante, puisqu'elle se trouve au milieu de la Belgique'' répond le Député provincial.

Le Brabant wallon s'est développé considérablement du point de vue économique ces dernières années. Faire bénéficier Liège ou Mons d'un tel centre, n'est-ce-pas équilibrer les développements économiques et territoriaux ? ''C'est avant tout sportif. Le projet, c'est 75 millions. Le sport de haut niveau permet de développer d'autres sports" conclut Pierre Boucher en insistant sur l'effet d'entraînement que suscite un tel projet pour le Brabant wallon mais pour les entités voisines également.

Une évaluation finale sera réalisée par un Comité de sélection composé de représentants ministériels et d'experts, à l'issue d'une audition orale des candidats qui aura lieu le 24 mai prochain. Un classement des candidatures sera enfin proposé au Gouvernement de la Fédération Wallonie - Bruxelles pour un verdict attendu au début de l'été.

http://www.lalibre.be/sports/omnisports/article/661563/les-sportifs-de-haut-niveau-formes-a-mons-liege-ou-louvain-la-neuve.html
 
#107 ·
Mons n'est plus dans la course!


Futur centre sportif de haut niveau: Liège et Louvain-la-Neuve ex-aequo

Le jury chargé de rendre un avis au gouvernement de la Communauté française sur la localisation du futur centre sportif de haut niveau a rendu son avis cet après-midi. Il renvoie la balle au gouvernement qui devra départager Liège et Louvain-la-Neuve.

Trois villes étaient candidates : Mons, Liège et Louvain-la-Neuve. Après avoir examiné les dossiers, le jury a classé ex aequo les Liège et Louvain-la-Neuve.

Le gouvernement de la Communauté française devra décider dans les prochaines semaines, si l'agenda est confirmé.
http://www.rtbf.be/info/regions/det...liege-et-louvain-la-neuve-ex-aequo?id=6160533
 
#108 ·
Et bien, ils en mettent du temps à se départager!

Mais, ce n'est pas trop grave, je pense que les deux seraient de bons choix. Les deux villes sont très accessibles et ont des atouts à faire valoir. Maintenant, je pense que politiquement Liège pèse beaucoup plus lourd et l'emportera probablement. A moins que Ottignies-LLN ne récupère tous les vote hennuyers pour des raisons de proximité...
Le dénouement bientôt apparemment! :)
 
#109 ·
^^

Ce n'est que l'avis des experts, Mons pourrait encore théoriquement être choisi par le gouvernement mais c'est très peu probable. Maintenant comme le ministre wallon des sports (André Antoine) est brabançon wallon, je ne donnerais pas Liège si vite vainqueur!

Liège ou Louvain-la-Neuve ? « De toute façon, je serai critiqué... »


Deux villes classées ex aequo : Louvain-la-Neuve et Liège, candidates pour accueillir le futur centre pour sportifs de haut niveau, n’ont pas pu être départagées. Le gouvernement devra trancher. André Antoine sait déjà qu’il sera critiqué, quelle que soit l’option retenue.



[...]
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20110525_00006707http://
 
#110 ·
Pour le vote des experts, j aurais préféré qu'on côte chaque critéres demandés aux villes et qu'on face le total pour voir qui est mieux mis et non comme se fut le cas de voter chacun pour ce qu'il préfère comme dossier et hop fais en 5 minutes.
Petite question qui a son importance, a mons quand on a mis l'aft et la gym on a foutu dehors petit a petit l'adeps pour laisser les infrastructures aux elites, a louvain on prévoit que du neuf donc pas de problème mais a liège je me demande si les gens on compris qu'ils risquaient de perdre beaucoup d'infrastructures sportives public et donc qu'il va bien falloir les remplacer un jour et que ca a un coup à plus long terme (hors du dossier).
 
#111 ·
Le Cercle du lac jette les amarres

Le Cercle du lac a cinq ans et va se construire un nouveau bâtiment. Il ne changera pas de nom mais ne sera plus au bord du lac de LLN.

Qui se ressemble aime se rassembler. Cela fait un peu plus de cinq ans que cette formule unit plusieurs centaines d’entrepreneurs du Brabant wallon. Le lieu de rendez-vous ? Le Cercle du Lac, situé dans le bâtiment de l’Aula Magna, doit son nom au lac qu’il surplombe. Un peu comme le Cercle de Wallonie ou encore celui de Lorraine, c’est le principe du réseau qui anime cette association. Ceux qui en sont membres peuvent assister à des conférences, des débats, des repas et même des voyages.

Ils sont 650 aujourd’hui et les responsables du Cercle estiment que cette croissance continuera. « Nous sommes quand même dans la Wallifornie », répète Serge Verhaegen, président du Cercle.

Dans le parc Einstein

Mais pour l’heure, la préoccupation est plutôt matérielle. Après avoir cogité depuis des années sur la question, le Cercle du Lac se lance dans l’aventure d’un nouveau bâtiment.

La demande de permis de bâtir a été déposée hier matin. Il y a peu, il était question d’une implantation sur le site Athena. Mais le plan de secteur a été modifié : plutôt que de développer des entreprises à cet endroit, on va plutôt construire 80 maisons.

Les responsables du Cercle ont préféré une localisation plus en phase avec leur objet : les entreprises. Un terrain de 92 ares a été concédé par l’UCL par un bail emphytéotique. Il se situe dans le parc Einstein, à la croisée du boulevard Baudouin 1er et la rue de Rodeuhaie.

Terminé en 2012

Le futur bâtiment, dont l’achèvement est déjà prévu en 2012, comptera 1 800 m2, soit bien davantage que les locaux actuels. Mais le Cercle a une idée précise de ce qu’il veut faire avec l’excédent : un cercle d’affaires. « Ce sont nos membres qui nous l’ont suggéré et nous avons trouvé l’idée excellente »explique Éric van den Schueren, directeur du Cercle du Lac.

Ce nouveau bâtiment coûtera 7,8 millions d’euros. « Ce n’est pas du luxe et nous avons les moyens de le financer ». Cela se fera via les banques, bien sûr, mais aussi par un apport des 30 coopérateurs qui ont permis le capital de départ du Cercle. La Région wallonne subsidiera également cette infrastructure.
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20110601_00008634
 
#112 ·
Le parking du RER sera-t-il trop grand ?


La fin de l’enquête publique concernantle futur parking de délestage pour le RERse termine. Des riverains s’interrogent.

La démarche est intéressante : plutôt que de nourrir une opposition irréductible, des riverains ont choisi de poser une réflexion à long terme. Sous l’égide d’un groupe Urbaverkoi, des questions vont être adressées à l’issue de l’enquête publique concernant l’utilité à long terme de ce parking. Sur base d’un diagnostic posé par plusieurs experts. « En fait, l’étude d’incidences a été plutôt bien faite, explique Hadelin de Beer de Laer, membre d’Urbaverkoi et conseiller communal Écolo. Mais il y a dans cette enquête des questions ouvertes. Nous prolongeons donc ce travail. »

Par exemple, ce parking a-t-il une pertinence à long terme, si on croise son utilité avec la raréfaction programmée du pétrole ? Peut-on croiser le pic de pétrole et donc sa raréfaction programmée avec le gabarit du futur parking ? Pourrait-il, le cas échéant, être affecté à un autre objet ? Plus prosaïquement, prévoir 2 500 places, n’est-ce pas trop dès lors que les navetteurs représentent la moitié des utilisateurs de la E411 ?

Et là, les experts sollicités par Urbaverkoi sont perplexes. À long terme, l’utilité d’un parking aussi grand et intransformable n’est pas un bon choix. Même l’hypothèse de voitures électriques ne résiste pas à l’analyse, le lithium risquant de ne pouvoir équiper qu’une voiture sur 60.

« Je pense que l’idée d’anticiper sur une possible réaffectation de ce parking n’est pas mauvaise », ajoute Hadelin de Beer. Il fait partie des riverains de ce futur parking et admet que son paysage va changer. « J’ai passé dix ans à la campagne avec des moutons et là, ce sera la ville ».

D’autres riverains sont nettement moins philosophes : ils craignent le bruit des travaux, la poussière. Même aux Bruyères, des riverains contestent qu’une des entrées de ce parking passera par leur quartier via le lac.

L’enquête publique se termine ce 7 juin.¦
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20110601_00008950
 
#113 ·
Que faire de la place des Wallons ?

La place des Wallons est un lieu “historique” de LLN. Mais en quarante ans, elle a perdu de son attractivité. Un programme européen travaille à des solutions.

Comment dynamiser le quartier de Larnaca, à Chypre, un peu trop éloigné de la côte et de ses loisirs balnéaires ? De quelle façon améliorer la vie de ces zones d’Albacete, en Espagne, ou les espaces ouverts sont trop peu nombreux et les rues étroites ? A travers plusieurs dizaines de villes en Europe, le programme européen Urbact a pour objectif la coopération et l’échange de bonnes pratiques pour un développement urbain durable. Dans ce cadre, le projet SURE promeut la réhabilitation urbanistique de quartiers via le socio-économique. Parmi une dizaine de villes européennes choisies, se trouvent Ottignies-LLN, et le quartier "historique" de la place des Wallons. C’est la ville qui a obtenu ce projet, dont la gestion est allée à la Gestion Centre-Ville, avec le support d’un expert extérieur.

"Le projet finance (à hauteur de 60 000 euros sur deux ans, pris en charge au trois quart par l’Europe et un quart par la ville) une réflexion locale. Nous avons défini un périmètre d’action. On travaille donc sur un quartier, mais cela peut servir aux autres quartiers de la ville , explique Damien Vanneste, sociologue urbain et chercheur aux Fucam, qui intervient comme expert externe, dans le cadre du projet Urbact à LLN. L’objet est la place des Wallons, mais cette réflexion, cette étude pourrait être intéressante pour d’autres quartiers de la première génération de LLN, comme la place des Sciences, certaines parties de l’Hocaille "

La démarche concerne la place, son usage et son animation, mais aussi le bâti, les commerces et les logements qui y sont présents. " C’est un quartier qui a quasiment quarante ans , il fait partie des premiers quartiers qui sont actuellement vieillissants. Il y a d’autres quartiers vieillissants à Louvain-la-Neuve, mais la place des Wallons intègre à la fois des atouts et des problèmes. Par rapport à d’autres premiers quartiers, il reste quasiment central en terme de localisation. Il y a aussi un flux très important de piétons et un enjeu d’espace public, ce qui permet des stratégies plus large sur la situation. C’est un endroit où différentes fonctions urbaines se regroupent : il y a l’aspect commercial qu’on ne retrouve pas ailleurs et aussi du logement. Ici, le vieillissement se traduit par l’usage qui est en fait : le lieu est moins investi, moins habité. Il y a le bâti : la vétusté d’entrées d’immeubles, de certains balcons "

Le commerce, lui, est dans une situation "intermédiaire" . " Il n’est pas dans une situation de crise ou d’isolement, mais bénéficie de moins de la dynamique d’autres endroits, vers la grand-place ou de l’Esplanade, ici on est un peu en bout de course. C’est un peu limite. Il y a des commerces qui tiennent, mais il y a une zone commerciale vide sur un côté de la place. En terme de place publique, il y a un flux important, mais personne ne s’arrête, cela pose question. Or, la place des Wallons, on a tendance à l’oublier, c’est la première place de LLN, dans la construction de la ville. Elle était très animée " A présent, "l’animation fait défaut, le flux ne s’arrête pas. Avec la gestion du centre-ville, une enquête a été réalisée sur la vision qu’avaient les passants de la place : elle indique qu’elle n’attire pas dans sa situation actuelle, mais que les gens en ont un intérêt. Elle a un flux, du potentiel, mais c’est un peu un désert pavé, elle fait un peu vide, et en terme de verdure, c’est très pauvre, il y a peu d’invitation à s’y poser". Des solutions sont à l’étude. "On a ouvert un premier groupe de réflexion avec les acteurs-clés (ville, UCL, association des commerçants, des habitants...), l’étape suivante est d’élargir la consultation aux commerçants, aux étudiants, aux syndics d’immeubles, par exemple via des réunions participatives. Maintenant, on a déblayé le terrain et il faut voir comment on va préciser les projets, avec eux, pour intégrer leurs points de vue. On a déjà des idées dans les grandes lignes : une réflexion sur l’aspect espace public, du mobilier (des aménagements légers), on peut aussi penser à la verdurisation, à des animations (un agenda socioculturel qui rythmerait l’espace )." Les réunions pourraient avoir lieu en septembre. " Si ça accroche, on peut développer une réflexion globale pour prendre en compte le bâti, le logement "

Pour cette piste de la rénovation, rien n’est décidé, cela doit passer par les acteurs. "En tout cas, il y a le souhait d’une réflexion avec les acteurs. Le but d’Urbact, ce n’est pas seulement une étude, c’est de susciter une réflexion locale, voir si les intérêts des divers acteurs peuvent s’articuler, si une vision peut jaillir, au-delà des intérêts différents."

Notons que le projet sera aussi considéré comme zone pilote par l’AMCV qui y testera des outils dans le cadre du programme Lively Cities (voir "LLB" du 24 mai).

http://www.lalibre.be/actu/brabant/article/663478/que-faire-de-la-place-des-wallons.html
 
#114 ·
Le Cercle du Lac se rapproche de l’E411

Le cercle d’affaires est à l’étroit à l’Aula Magna. Il reste en contrée néo-louvaniste mais voit plus grand, avec notamment l’intégration d’un centre d’affaires.

La demande de permis a été déposée en mai dernier. Le Cercle du Lac espère déserter le rivage qui lui a donné son nom, pour s’installer plus en hauteur, à la pointe du Parc Einstein, sur un terrain de 96 ares bordé par le boulevard Baudouin Ier et la rue de Rodeuhaie. Et ce, à la fin 2012, voire au plus tard début 2013. «Le 3e étage de l’Aula Magna nous a accueilli dès 2005 et nous a permis de nous développer. Aujourd’hui, avec près de 660 membres, nous manquons clairement d’espace dans ces quelque 200 m²», précise Eric van der Schueren, directeur général du Cercle du Lac. Ici encore, le Cercle peut compter sur l’UCL, qui, après lui avoir offert l’Aula, lui cède le terrain en emphytéose.

Le choix de l’emplacement comme du concept du nouveau bâtiment a été mûrement réfléchi. «Cela fait trois ans qu’on y pense !», souligne celui qui a par ailleurs acquis ses lettres de noblesse en la matière au Cercle Gaulois, au Cercle de Lorraine ou encore, à l’International Club Château Sainte-Anne. Le projet immobilier mise sur l’espace : 1.800 m² sont destinés aux seules activités du Cercle du Lac, tandis que 1.350 autres abriteront un centre d’affaires _ à destination prioritairement des membres. En détails : un restaurant ouvert tous les midis, un lobby et son bar, deux grandes salles de conférence (60 et 150 personnes) et quatre salles de réunion (entre 35 et 42 m²). «Cette ouverture aux non-membres _ jeunes entrepreneurs, spin-off, starters, en manque de locaux ou autres _ qui pourront bénéficier de la disponibilité du business center (Ndlr, dont le Cercle sera prestataire de service) rencontre à la fois un souci sociétal et notre volonté de faire évoluer le champ d’action du Cercle», intervient Eric van der Schueren.

Image de marque et outil de travail

La gestation du projet a été confiée au bureau d’architecture Group Sigma, en partenariat avec le bureau d’étude Détang Engineering, en charge des techniques spéciales et de la mission PEB. Résultat ? Un édifice sinon passif, du moins durable (K27). Un projet d’envergure, d’un poids de 6.785 .000 euros, financés tant par les structures propres du Cercle, que par un pool de banquiers (la plupart étant membres) et, sans doute, la Région wallonne, à hauteur d’un subside de 10 %.

Pour son directeur général, ce nouveau quartier général est avant tout «l’image de marque du Cercle du Lac, un bel outil de travail qui va permettre d’atteindre facilement 900 membres en 2015. Et pourquoi pas 1.000 ou 1.200 !» Le futur bâtiment représente qui plus est un «réel challenge : humain, financier et de management d’équipe», conclut Eric van der Schueren. Un défi qui cadre avec la devise du Cercle : «Vouloir entreprendre».

[...]
http://trends.rnews.be/fr/economie/actualite/immo/le-cercle-du-lac-se-rapproche-de-l-e411/article-1195062595300.htm
 
#115 ·
Centre sportif de haut niveau: Louvain-la-Neuve prend la tête

Selon Alexandre Walnier, LLN et Liège sont arrivés ex-aequo parce que les critères de choix n'étaient pas pondérés.

Le président du jury indépendant chargé d'étudier les dossiers des candidats à l'accueil du futur centre pour sportifs de haut niveau estime que celui de Louvain-la-Neuve est meilleur que celui de Liège.

Selon Alexandre Walnier qui s'exprime lundi dans le quotidien Le Soir, les deux dossiers sont arrivés ex-aequo parce que les critères de choix n'étaient pas pondérés. Il laisse aussi entendre que la candidature de Liège est davantage appuyée politiquement que celle de Louvain-la-Neuve. Selon M. Walnier, cette dernière localisation offre l'avantage de rassembler les installations nécessaires sur le même site et d'être proche de l'aéroport international de Bruxelles. Et si Liège offre l'avantage d'inclure une piscine, celle-ci ne se trouve pas sur le site, dit-il. Même s'il admet que la candidature de Liège "n'est pas mauvaise", il pense qu'elle est "en retrait" par rapport à celle de la cité universitaire et souligne que la configuration des lieux y est moins favorable pour l'accueil des athlètes paralympiques (handicapés).

Le choix du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans ce dossier n'a pas manqué d'alimenter la polémique politique, entre les partisans de Louvain-la-Neuve et ceux de Liège principalement. L'avis remis par le jury il y a quelques semaines, classant ex-aequo les deux dossiers (la troisième candidature de Mons est loin derrière), n'avait pas manqué d'être contesté, surtout du côté liégeois.

Après avoir reçu cet avis, le gouvernement a décidé de... reporter son choix à la rentrée. En attendant, il reverra vendredi les représentants des villes candidates pour les interroger sur la portée des synergies que le centre pourrait engendrer s'ils devaient l'accueillir.
http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/673969/centre-sportif-de-haut-niveau-louvain-la-neuve-prend-la-taate.html
 
#116 ·
Donc si je comprends bien LLN prend la tête parce que
- LLN n'est pas davantage appuyée politiquement. :nuts:
- LLN offre l'avantage de rassembler les installations nécessaires sur le même site mais qu'il n'y pas de piscine tandis que Liège a le désavantage de rassembler les installations nécessaires sur le même site sauf pour la piscine qui se trouve a qqs km. :nuts:
- LLN est (encore plus) proche de aéroport de Bxl. :nuts:
- A LLN les lieux sont plus favorable pour l'accueil des athlètes handicapés (de haut niveau?).

Elle n'est pas très nette cette sortie de Monsieur Walnier.
 
#117 ·
Liège, c'est pour moi le choix le plus rationnel car c'est le meilleur projet :

1) Je trouve l'argument de la localisation géographique particulièrement peu pertinent dans une région dont les villes les plus éloignées se trouvent à plus ou moins 250 km ^^ . ( je rejoins l'argument de W.Ritter ) Pourtant c'est l'argument principal avancé par les pro-LLN ... Liège n'est pas sur une ile déserte mais est au contraire très accessible que ce soit en train, en voiture ou en avion .

2) Liège est la 1 ère agglomération de Wallonie, le 1er bassin de vie .

3) Les Facultés de Médecine et de Kinésithérapie et le CHU ( spécialisé en encadrement médico-sportif . ) sont juste en face du site.

4 Il y a sur le site du Sart Tilman la présence d'infrastructures déjà existantes qui limite tout cout inutile pour la Fédération Wallonie-Bruxelles aux moyens financiers limités ( à LLN, l'essentiel reste à construire )


En conclusion, si le projet est choisi à partir de critères objectifs, Liège ne peut que l'emporter !

Malheureusement, à 1 an des communales, la localisation sera certainement choisi en fonction d'arbitrages politiques entre le PS et le CDH ...
Esperons au moins qu'on évitera le saupoudrage en gardant bien l'idée d'un site unique pour la fédération W-BXL .
 
#118 ·
Il y a un article sur le Centre pour sportifs de haut niveau dans le Vif de cette semaine . Mon scanner ne marche malheureusement plus :( .

En résumé, le projet va certainement être mis au frigo . L'explication officielle ? Démagogie et mauvaise foi : comment justifier devant l'électeur cet investissement " élitiste" en période d'économies dans d'autres secteurs.
En réalité, Marcourt ( ministre de l'Enseignement supérieur et des unifs ) et Antoine ( ministre des Sports et du Budget )n'arrivent pas à se mettre d'accord . Le premier soutient bec et ongles le projet SPEED de Liège, le second soutient le projet APOGIA de LLN .
A un an des élections communales, personne ne veut perdre la face ...
 
#119 ·
Pour le ministre des Sports, le projet n'est pas menacé ...



La rumeur circule avec insistance : ne parvenant pas à s’accorder sur la ville désignée pour accueillir le centre de formation pour sportifs de haut niveau – Liège, Mons et Louvain-la-Neuve ont répondu au questionnaire ad hoc pour le 31 août –, le gouvernement wallon serait sur le point d’abandonner le projet.
Pire même, selon le Vif l’Express : lors du gouvernement de rentrée, tenu à Bastogne à la fin du mois d’août, l’exécutif Demotte se serait accordé sur le scénario. Lequel ? Une fois connu l’effort budgétaire demandé par le fédéral aux régions et communautés, on jugerait la dépense inopportune en ces temps d’austérité. Avec report sine die.
Contacté par nos soins, André Antoine, coiffé de sa double casquette de ministre des Sports et du Budget, dément formellement l’information. « Le projet de centre de formation n’est pas menacé », assure-t-il. Même en cas d’austérité ? « Oui, car il s’agit d’un projet amorti sur vingt-cinq ans, ce qui signifie qu’en échéance annuelle, cela pèse peu. » Il reste donc à départager deux concurrents (Liège et Louvain) qui se tiennent dans un mouchoir de poche.
http://archives.lesoir.be/communaut...queryor=andr%E9+antoine&pos=6&all=57851&nav=1
 
#120 ·
Il n’y aura qu’un seul centre sportif

André Antoine a écarté l’idée d’un centre associant Liège et Louvain-la-Neuve (et Mons).

Alors que les candidats voulant accueillir le futur centre sportif de haut niveau avaient été invités à plancher sur des pistes de collaboration entre leurs sites respectifs, le ministre André Antoine (CDH) a affirmé hier qu’il n’y aurait qu’une et une seule implantation.

D’ailleurs, selon nos informations, seule Liège (associée à l’ULg) a complété sa candidature en intégrant la possibilité d’une collaboration avec les autres sites (Louvain-la-Neuve et Mons, donc). Cela écarte d’autant plus clairement la possibilité d’un centre sportif "multi-sites".

Répondant à des interpellations de parlementaires de la Communauté française. le ministre en charge des Sports a également confirmé que les représentants des trois dossiers seront entendus par l’exécutif en octobre et qu’une décision serait prise ensuite. Quant à la faisabilité budgétaire sur laquelle planait un doute, André Antoine nous a confié hier soir qu’il était hors de question d’abandonner la création du centre sportif pour élites. "On est capable d’assurer l’amortissement de l’investissement, affirme-t-il. Les difficultés budgétaires étaient plus importantes en 2009 qu’aujourd’hui."

La réponse d’André Antoine satisfait la Liégeoise Veronica Cremasco, députée Ecolo : "La déclaration de politique commune prévoyait la création d’un seul centre. André Antoine s’est engagé devant le parlement sur cette question, il doit suivre cette voie désormais. Je craignais très fort que le débat sur le choix du centre sportif de haut niveau ne soit pas rendu public."

Par contre, sur la politisation du dossier (en gros, le PS est pro-Liège, alors qu’André Antoine préfère Louvain-la-Neuve), Veronica Cremasco est plus réservée. "Je crains toujours la politisation dans le choix final du site. Je souhaite que ce choix se fasse sur des critères objectifs et que le dossier revienne alors devant le parlement de la Communauté française. Quelle que soit la candidature retenue, il faudra qu’André Antoine justifie point par point sa position."

Enfin, dans un tout autre style, le député Jean-Luc Crucke (MR) s’étonne : "Oui, André Antoine a confirmé qu’un site unique était la seule piste de travail retenue par le gouvernement. Mais il avait demandé aux candidats de travailler justement sur plusieurs pistes de collaboration A quoi joue-t-on ? On sent bien que le problème est purement politique ! Il y a les arbitrages à faire dans le cadre de la confection du budget 2012 et les élections communales approchent Donc plus rien ne bouge car le PS a choisi Liège, le CDH a choisi Louvain-la-Neuve et Ecolo attend de se positionner pour l’un ou l’autre en échange de cacahuètes ".
http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/687042/il-n-y-aura-qu-un-seul-centre-sportif.html
 
#121 ·
Le nouveau Musée de Louvain-la-Neuve verra le jour en 2014


Le projet de nouveau musée, au bord du lac de LLN avait été refusé il y a 6 mois, par le fonctionnaire délégué de la Région Wallonne. Le ministre Henry vient d'octroyer le permis.

Une toiture végétale pour une construction basse énergie au bord du lac, c'est le profil du futur Musée de Louvain-la-neuve. Les toitures jardins sont destinées à créer un lien visuel avec l'Aula Magna. Un musée qui met en avant des dimensions de courbes, qui épousent les contours du lac.
Une architecture en relation avec un site, et un signal qui marquera l'une des entrées de Louvain-la-Neuve.

En terme de contenu, il s'agira d'apporter une visibilité plus grande au patrimoine permanent. Un espace sera également dédié aux expositions temporaires. Les étudiants y trouveront bien sûr un lieu de recherche et d'étude, mais l'aspect musée en dialogue est renforcé, et la mission citoyenne du musée assumée. L'objectif étant d'offrir un lieu grand public et de service public, dans l'esprit des missions de l'université.

Christine Pinchart
http://www.rtbf.be/info/regions/detail_le-nouveau-musee-de-louvain-la-neuve-verra-le-jour?id=6950393


 
#123 ·
Grosse tuile:

Louvain-la-Neuve: le projet de musée est compromis

Le nouveau musée de Louvain-la-Neuve a obtenu son permis unique pour être construit et exploité la semaine dernière. Ce qui devait permettre au projet d’avancer. Mais nous avons appris que le principal donateur a décidé de se retirer du projet qui est dès lors compromis.

« Alors que l’UCL recevait ces dernières semaines des signaux positifs lui permettant d’entrer dans la phase de construction du musée, elle vient d’apprendre la décision du donateur principal de se retirer du projet. L’UCL prend acte de cette décision. La viabilité du projet n’est plus assurée, compte tenu de l’ampleur du don et de la générosité qui l’accompagnait », indique l’UCL qui regrette que ce projet ne puisse être mis en œuvre.

Don de 10 millions d’euros

Ce don s’élevait à 10 millions d’euros pour un projet qui montait à plus ou moins 18 millions d’euros. L’UCL va maintenant prendre le temps de la réflexion, même s’il apparaît d’ores et déjà qu’il sera difficile pour l’institution académique de trouver une telle somme.
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20111028_00067778
 
#124 ·
Je ne me réjouis pas de ce décès, mais il tombe plutôt bien car le choix de la localisation du musée a été fait en dépit du bons sens, le musée n'as pas sa place en bord du lac. Pour des raisons qui ont déjà été évoquées des centaines de fois précédemment...

Par ailleurs vu l'état des bords du lac, chemins en mauvais état, non éclairés, l'UCL ferait bien de faire autre chose que de rêver d'un musée...
 
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