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M. Lebranchu : "Mon projet n'est pas celui des fusions, mais celui de la mise en cohérence des politiques publiques"


par Christian Bach, publiée le 09/04/2013 à 09:55 | Vu 747 fois

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Conseil unique / Au lendemain du référendum alsacien M. Lebranchu : "Mon projet n'est pas celui des fusions, mais celui de la mise en cohérence des politiques publiques"
Marylise Lebranchu, ministre en charge de la réforme de l'Etat. (Photo archives DNA)

Marylise Lebranchu, ministre en charge de la réforme de l'Etat. (Photo archives DNA)
Ministre en charge de la réforme de l'Etat, Marylise Lebranchu et ses services suivaient de près le dossier alsacien de la création d'un Conseil unique. Dans une interview parue ce matin dans le Télégramme de Brest, elle confie que son "projet n'est pas celui des fusions, mais celui de la mise en cohérence des politiques publiques"...
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Le séisme provoqué en Alsace par le "non" au référendum, dans le Haut-Rhin, doublé d'une très faible participation qui aurait de toute façon enterré le projet de Conseil unique, a des effets bien au-delà de la région.

De la Bretagne à la Corse, cette affaire était suivie de près, pour la simple raison que la France est en quête d'une nouvelle étape en matière de décentralisation, que l'acte 3 de la décentralisation est en pleine élaboration -après le retour du conseil d'Etat- et qu'il faut choisir une ligne conduite entre suppression de couches dans le "millefeuille", affirmation du "fait urbain" et du rôle des métropoles dans la structuration des politiques publiques etc.

La "fusion" envisagée en Alsace répondait en écho, d'une certaine manière, au "choc de simplification" annoncé par le président Hollande. Et à Paris, à l'Elysée, à Matignon, comme au ministère en charge de la réforme de l'Etat, on portait un regard attentif, pour ne pas dire bienveillant, sur la démarche engagée par Philippe Richert. A telle enseigne qu'on a pu laisser entendre à Paris, dans les rangs du pouvoir, que les socialistes alsaciens partisans du "non" ou réticents face au projet "agaçaient". Ce dont Philippe Richert se réjouissait... évidemment.

En ce sens, la réponse apportée par les électeurs dimanche à la question posée sur la fusion, si elle a une portée régionale, interpelle aussi le gouvernement, au moment même où le conseil des ministres se saisit, demain mercredi, du premier des trois volets de la loi de décentralisation, celui consacré aux métropoles.

Ce matin, dans une interview au Télégramme de Brest (que l'on peut lire ici) , Marylise Lebranchu donne son sentiment après la journée électorale de dimanche en Alsace : "Ce n'est pas moi qui suis à l'origine de cette demande de référendum, c'est une autre loi qui en a décidé. D'ailleurs, mon projet n'est pas celui des fusions, mais celui de la mise en cohérence des politiques publiques. Et l'action publique peut tout à fait être exercée de manière cohérente, à différents niveaux".

Donc, la "fusion" n'est pas la panacée. Dont acte. Ce qui apporte un nouvel élément dans le débat sur l'avenir des Départements... Question récurrente quand on parle de décentralisation en France. Les Départements -entendez la collectivité- sont moins menacés aujourd'hui que dimanche, avant la clôture du scrutin. D'ailleurs, la ministre fait ce constat : "il y a un sentiment politico-économico-médiatique selon lequel il faudrait supprimer des échelons, mais les citoyens ne le partagent pas". Pour le coup, c'est clair. L'Etat, en tout cas le gouvernement, sort de sa réserve et de sa neutralité, le scrutin de dimanche passé...

Deuxième élément : dans le projet élaboré par le gouvernement, les grandes villes tiennent une place centrale - c'est ce que signifie la "reconnaissance du fait urbain"-. Marylise Lebranchu avertit : "On peut imaginer une régionalisation permettant des gouvernances différentes sur les compétences transférées, mais à la condition qu'il y ait accord des collectivités. Pas d'accord, pas de cofinancement de l'Etat". En Alsace, et particulièrement dans le Bas-Rhin, cette redistribution des compétences se fera très certainement autour du projet de création d'une "eurométropole" à Strasbourg, nouvel avatar de la CUS (élargie peut-être) annoncé le 5 février par le président Hollande en personne, à Strasbourg.

C'est bien ce que veulent dire Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg, et Jacques Bigot, président de la CUS, lorsqu'ils déclarent dimanche soir dans leur première réaction : "A l’occasion de l’acte III de la décentralisation, nous nous appliquerons de notre côté à mener à bien la réforme de l’Eurométropole dans de bonnes conditions, en prenant le temps du dialogue avec les citoyens.Et nous appelons Philippe Richert à réunir régulièrement, comme cela se pratiquait auparavant, la conférence des exécutifs des grandes collectivités alsaciennes".

Le projet "d'eurométropole" inscrit dans la loi -et dans son premier volet- n'est pas remis en cause par le saucissonnage du texte en trois volets. Marylise Lebranchu l'a assuré à l'adjoint au maire de Strasbourg Alain Fontanel, le 2 avril dernier, lors d'une réunion du bureau national du PS. "Le premier projet de loi qui sera débattu au Sénat (dans le cadre de l'acte 3 de la décentralisation) est justement celui portant sur les métropoles (Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg). Il sera présenté au conseil des ministres mercredi 10 avril et les dispositions sur Strasbourg y seront bien confirmées, la ministre vient de me le confirmer", nous répondait M. Fontanel ce 2 avril.

La page du projet de Conseil unique d'Alsace tournée -pour quelques années- s'ouvre un nouveau chapitre dans l'histoire de la réorganisation institutionnelle de l'Alsace. Car n'allez pas croire que tout s'arrête en raison d'un scrutin. Strasbourg va jouer un rôle essentiel dans cette nouvelle étape. Dimanche, des électeurs ont dit ici, dans notre région, qu'ils appréhendaient la domination de la métropole régionale et qu'ils n'appréciaient pas toujours sa superbe... Roland Ries, Jacques Bigot, ceux qui portent le projet d'eurométropole feraient bien de ne pas ignorer ce message. Même si ce projet-là ne sera pas exposé à la sanction d'un scrutin...
Christian Bach

par Christian Bach, publiée le 09/04/2013 à 09:55
Le 10 c'est demain.

Fool
 
#5,102 ·
En parlant d'Eurométropole, cela me fait penser que j'ai découvert que la direction du TGV-Est est basée à ... Strasbourg, chose que je ne savais pas. C'est en découvrant que la SNCF cherche un directeur financier pour le TGV-Est (poste basé à Strasbourg) que je l'ai appris. On apprend en outre que le C.A du TGV-Est est d'environ 500 millions d'Euros et que le directeur sera amené à se déplacer fréquemment à Paris, Nancy, Reims et Metz, évidemment gratuitement et en première classe :).

Sinon, c'est impressionnant le développement des SSII sur Strasbourg ces 5 dernières années avec de plus en plus de recrutements. La ville semble se convertir au secteur tertiaire privé à vitesse grand V depuis l'arrivée du TGV-Est.
 
#5,105 ·
C'est le jargon consacré: Société de Services en Ingénierie Informatique.

Ce sont des prestataires de services en ingénierie qui recrutent des ingénieurs pour des contrats de R&D sous-traités par les industriels.
 
#5,107 · (Edited)
La ligne Strasbourg-Toulouse a la cote: +73,3% mars 2013/mars 2012, les effets d'une politique tarifaire agressive menée par AF sur cette ligne. A partir d'avril, il faudra s'habituer à des hausses beaucoup plus faibles car AF avait démarré cette politique en avril 2012.

Source: http://www.toulouse.aeroport.fr/fr/aeroport/actualites
 
#5,109 ·
La clientèle belge est importante en Alsace, et pour les nuitées en hôtel pour 2012:
Allemagne 645 010 27% +6,2%/2011
Belgique 418 975 17% -4,9%/2011
Suisse 230 467 10% +3,9%/2011

La crise a un impact sur la clientèle belge. Tu dis que les Belges font des séjours courts en Alsace? Serait-ce un indicateur positif pour la réalisation d'un TVG Bruxelles-Strasbourg, même avec un temps de parcours de 3h30 et donc plutôt accès sur le tourisme?
Je suppose que ce sont majoritairement des Wallons qui viennent surtout skier en hivers car il y a peine 3h30 d'autoroute entre Liège et Strasbourg par exemple.

Source: http://www.clicalsace.com/bilan-d-activite,638/le-bilan-de-l-activite-touristique-2012-en-alsace,37135.html
Je ne peux parler pour tous les belges, mais en tout cas pour ceux que je côtoient à mon travail et les amis que j'ai à Bruxelles tout le monde est déjà parti en Alsace/Vosges, les Bruxellois comme les Flamands ou les wallons. Ils partent soit pour les sports d'hiver, soit pour un city trip, vinotrip ou une excursion gourmande. Il y a aussi beaucoup de gens du bénélux qui font une pause sur leur trajet vers les vacances en Italie ou Croatie.

L'Alsace est tellement à la mode que dans les publicités que l'on reçoit avec les factures de cartes visa il y a la moitié des offres d'hébergement des destinations de cours séjours qui sont situés en Alsace (le reste pour la France, Luxembourg et Pays-Bas). Il y a aussi régulièrement des émissions à la radio et la télé.

Il y a 3 ans la SNCB faisait sa com sur les billets Alsace, avec des billets aller-retours à 120€ pour 2. C'était la grande époque du BXL-Lux-Stras. Malheureusement maintenant les prix ont doublé, il n'y a plus de train qui circulent en soirée et les retards sont quasi systématique. Bref, tant que la ligne 121 en Belgique ne sera pas mis à niveau le service restera plus lent qu'il y a 100ans :bash:

D'ailleurs c'est la raison principale pour laquelle les eurocrates n'aiment pas aller à Strasbourg, il n'y a pas (plus) de train efficace, quasi pas d'avion (même pas de vol Air-France) et en voiture c'est 4h30 minimum depuis Bruxelles centre.
 
#5,110 ·
Dans le Grand-Est vous seriez premiers, vous serriez même un peu seul dans votre classement, je ne suis pas sur que les gens qui vivent dans le Sud ou l'ouest rêve de venir à Metz ou Nancy.

(Fin après ils ne reveraient pas non plus de vivre à Strasbourg)

De toute façon les gens qui viennent dans l'Est le fond en relation avec l'emploi, dans CQFD, le seul moyen d'attirer les gens ici, c'est de leur donnés du travail.
Tout a fait, c'est ce que fait le Luxembourg dont la démographie est supérieure à 1%/an :).

Mais je pense qu'il faut une métropole motrice pour le Grand-Est qui pourra rejaillir sur cette grande région. Et une confédération des régions du Grand-Est pour aller plus loin. On a quand même bien travaillé pour le bien commun sur les dossiers du TGV-Est et le TGV Rhin-Rhône. Le référendum sur le conseil unique d'Alsace à un peu brouillé le message et je suis un peu nostalgique de l'époque Adrien Zeller qui a su fédérer les régions et collectivités pour la réalisation du TGV-Est.
 
#5,111 ·
#5,112 · (Edited)
Je ne sais pas si c'est une erreur de compréhension de la part du journaliste ... ou si effectivement, peut être pas dans l'immédiat, toutes les villes de plus de 400 000 hab auront le statut d'eurométropole ...

Longtemps, la France s'est méfiée de ses villes. Paris, en particulier, a toujours fait peur à l'Etat. N'est-ce pas de là que sont parties tant de révolutions, qu'ont été ourdis tant de changement de régimes? Pas question, dans ces conditions, de donner trop de pouvoirs à ces ensembles urbains si difficiles à contrôler. Et c'est ainsi que, depuis le XIXe siècle au moins, les gouvernements, quelle que soit leur orientation politique, ont préféré s'appuyer sur les campagnes et maintenir une myriade de petites communes. Diviser pour mieux régner : pour être éprouvée, la recette n'en est pas moins efficace.

Une rupture dans notre histoire
C'est dire si la volonté de François Hollande de créer de puissantes métropoles crée une rupture dans notre histoire. Les grandes villes sont de fait le seul chapitre du projet de loi préparé par la ministre Marylise Lebranchu qui devrait être adopté rapidement. Le reste de la réforme a été si critiqué que le texte a fini par être démantelé en trois parties, dont les deux autres sont renvoyées à plus tard -et peut-être à jamais. En revanche, Paris, Lyon, Lille, Strasbourg et toutes les agglomérations de plus de 400 000 habitants devraient prochainement entrer dans une nouvelle ère.

Cette orientation radicalement nouvelle s'explique. Lorsque l'on observe la hiérarchie des villes européennes, la France peut certes se targuer de disposer, avec sa capitale, de l'une des deux agglomérations dominantes du continent (avec Londres). Mais derrière, c'est le désert, ou presque. L'hypercentralisation de notre pays a relégué loin, très loin, les autres cités tricolores. Marseille, Toulouse, Nice et Bordeaux ne sont certes pas dénuées d'atouts, mais elles sont distancées -et de combien- par Munich, Milan ou Barcelone. Des cités situées, ce n'est pas un hasard, dans des pays de tradition plus fédérale, où les Etats ont laissé s'épanouir de puissants ensembles urbains dans plusieurs régions.

60% du PIB français provient d'une douzaine d'agglomérations
Or, le développement économique s'effectue de plus en plus dans les villes : 60% du PIB français provient d'une douzaine d'agglomérations seulement. C'est ce que l'on appelle la "métropolisation".

Les cas particuliers de Paris, Lyon et Marseille
Les trois plus grandes villes du pays font l'objet d'un traitement particulier.

A Lyon, la future métropole prendra purement et simplement la place du conseil général, lequel sera réduit à sa partie la plus rurale (Beaujolais, Val de Saône, etc).

Rien de tel dans les Bouches-du-Rhône, dont les limites départementales resteront inchangées : là, il s'agit simplement de créer une structure chargée de gérer à la bonne échelle les dossiers stratégiques (économie, transports, environnement...), aujourd'hui dispersés entre six communautés d'agglomérations (Marseille, Aix, Martigues, Aubagne, etc), qui devraient disparaître. Une idée qui se heurte encore à de très vives oppositions.

Quant à Paris, très en retard en matière de coopération intercommunale, il s'agit d'avancer en deux temps. D'abord, en obligeant toutes les communes à adhérer à des communautés d'agglomération d'au moins 200 000 habitants, et même 300 000 dans la petite couronne. Ensuite, de confier à la "métropole de Paris", qui regroupera toutes les intercommunalité de la zone dense, la responsabilité d'une question hyper-sensible pour les habitants : le logement.

Recherche, enseignement supérieur, innovation : c'est là que se décide le destin de notre économie. Une thèse défendue par de brillants universitaires, tels Laurent Davezies, Jean Viard ou Pierre Veltz (1), selon lesquels le redressement de la France passera par celui des grandes cités ou ne sera pas. "Plus les grandes agglomérations seront dynamiques, plus la croissance économique du pays sera solide", résume-t-on à Matignon. Contrairement aux idées reçues, la réussite des métropoles n'est donc pas seulement un enjeu pour leurs habitants. C'est une partie de l'avenir du pays tout entier qui se joue, pour peu que l'on sache muscler nos grandes agglomérations, mais aussifaire fonctionner Paris en réseau avec les autres métropoles, puis, de proche en proche, avec les villes moyennes, les petites villes et les campagnes. .

Reste à savoir comment. Concrètement, le gouvernement prévoit de confier aux métropoles le développement économique _ une disposition qui fait sérieusement tousser les Régions, auxquelles cette compétence sera dévolue partout ailleurs. Un chapitre leur sera également réservé lors de la négociation des contrats de plan Etat-Région afin de financer notamment de grandes infrastructures. De nouvelles responsabilités devraient également leur être attribuées, par exemple en matière de logement ou d'environnement.

Le lobby des petites villes
Il ne faut pas s'y méprendre : derrière ces inévitables dispositions techniques, c'est un débat politique majeur qui se prépare. Ce n'est pas un hasard si cette idée a déjà été avancée et... torpillée il y a quelques années, lorsque Nicolas Sarkozy était à l'Elysée. La création de " métropoles " avait déjà été vivement défendue dans le cadre du rapport Balladur. Avant de disparaître au cours du débat parlementaire, sous l'influence discrète mais non moins efficace du lobby des petites villes et des campagnes _ notamment l'Association des maires de France. Rien ne dit qu'il n'en sera pas de même cette fois-ci.
http://www.lexpress.fr/region/decentralisation-la-france-decouvre-ses-metropoles_1238799.html
 
#5,113 ·
Je ne sais pas si c'est une erreur de compréhension de la part du journaliste ... ou si effectivement, peut être pas dans l'immédiat, toutes les villes de plus de 400 000 hab auront le statut d'eurométropole ...
Ne t'inquiètes pas, regarde bien quand on lit le texte,
En revanche, Paris, Lyon, Lille, Strasbourg et toutes les agglomérations de plus de 400 000 habitants devraient prochainement entrer dans une nouvelle ère.
Pourquoi séparer alors dans la même phrase Paris, Lyon, Lille, et Strasbourg du reste des agglos de 400 000 habitants ?
Déjà cela veut dire qu'elles seront dans un autre panier, ensuite je remarque quand même, que le journaliste ne cite même pas Marseille qui fait aussi partie de ce club. Donc déjà le journaliste ne s'est pas bien renseigné.

Ensuite dans sa phrase il a en soi raison, il y aura du changement pour tout le monde, mais cela ne veut en aucun cas dire que tout le monde obtiendra le statut d'Eurométropole. Seulement le statut de métropole pour les villes dont l'agglo dépasse les 400 000hab. Voilà tout.
Après quand il parle d'une nouvelle ère, je pense qu'il joue la carte de l'exceptionnel, mais ça tout le monde peut le faire...


Fool
 
#5,114 ·
Ne t'inquiètes pas, regarde bien quand on lit le texte,

Pourquoi séparer alors dans la même phrase Paris, Lyon, Lille, et Strasbourg du reste des agglos de 400 000 habitants ?
Déjà cela veut dire qu'elles seront dans un autre panier, ensuite je remarque quand même, que le journaliste ne cite même pas Marseille qui fait aussi partie de ce club. Donc déjà le journaliste ne s'est pas bien renseigné.

Ensuite dans sa phrase il a en soi raison, il y aura du changement pour tout le monde, mais cela ne veut en aucun cas dire que tout le monde obtiendra le statut d'Eurométropole. Seulement le statut de métropole pour les villes dont l'agglo dépasse les 400 000hab. Voilà tout.
Après quand il parle d'une nouvelle ère, je pense qu'il joue la carte de l'exceptionnel, mais ça tout le monde peut le faire...


Fool
Oui c'est vrai ;) j'avais aussi remarqué qu'il ne parlait pas de Marseille dans CETTE phrase ... mais il en parle un peu plus loin !
 
#5,115 ·
Rapidement, il semble qu'il n'y ait aucune proposition pour reprendre le bail de Virgin Megastore de Strasbourg dans le projet de rachat partiel de la filiale française. 22 personnes y travaillent actuellement et le bail court jusqu'en 2014, or il semble que la trésorerie permette de tenir jusqu'en juillet 2013 ... (Source: DNA (payant), le 10/03/13).

Puis une bonne nouvelle pour le pôle ferroviaire qui se développe au nord de Gundershoffen (à l'ouest de Haguenau, DNA, le 10/03/13) avec l'arrivée d'une société chinoise en relation avec Alstom.

Le groupe chinois Qingdao Victall Railways a décidé d’implanter une filiale européenne à Gundershoffen, au sein de l’hôtel d’entreprises créé par la communauté de communes de Niederbronn-les-Bains.

Longuement mûri depuis deux ans, ce choix ne doit rien au hasard. Victall, groupe fort de 3 000 personnes, sera ainsi tout proche du grand site de construction matériel ferroviaire roulant d’Alstom, à Reichshoffen. Qingdao Victalll est en effet spécialisé dans la fourniture de pièces et de sous-ensembles pour les trains à grande vitesse et les rames intercités, avec pour client les grands constructeurs ferroviaires en Chine et dans le monde dont Alstom dont il est un sous-traitant. Dans un premier temps, l’implantation créera une dizaine d’emplois mais les proches du dossier considèrent que l’on peut « attendre d’importants développements à terme ».

L’aboutissement de ce dossier, qui a impliqué notamment les élus Fernand Feig et Rémy Bertrand, est le fruit d’une coopération exemplaire entre les agences de développement économique Alsace International, qui a activé ses contacts en Chine, et Adira qui a déroulé le tapis rouge dans le département. Qingdao, ville côtière du Shangdong, étant aussi le siège de la brasserie Tsingtao, marque de bière connue et consommée dans le monde entier, le constructeur trouvera certainement bien des points communs avec l’industrie alsacienne.
 
#5,116 ·
Rapidement, il semble qu'il n'y ait aucune proposition pour reprendre le bail de Virgin Megastore de Strasbourg dans le projet de rachat partiel de la filiale française. 22 personnes y travaillent actuellement et le bail court jusqu'en 2014, or il semble que la trésorerie permette de tenir jusqu'en juillet 2013 ... (Source: DNA (payant), le 10/03/13).

Puis une bonne nouvelle pour le pôle ferroviaire qui se développe au nord de Gundershoffen (à l'ouest de Haguenau, DNA, le 10/03/13) avec l'arrivée d'une société chinoise en relation avec Alstom.
J’espère qu'on aura pas du vide pendant 10 au niveau du Virgin ... parce qu'avec l'ancien UGC Capitol un peu plus loin dans la rue et l'ancien bar SCHUTZENBERGER place Kléber, ça fait beaucoup de locaux vides ! D'ailleurs qu'en est il du bar SCHUTZ ? et du Capitol ? n'y aura -t-il jamais rien à la place ? ces locaux vides, moches et lugubres quand on passe devant font parti du paysage depuis des années si bien que j'ai l'impression que plus personne n'y pense !
Alors qu'un grand bar branché, place kléber, ouvert jusqu'à 4h du matin ... ça serait pas mal ... bien que ça risquerai de faire de l'ombre à l'aubette bar...

Petite précision ... à parament l'ancien UGC capitole est devenu un immeuble de bureaux ...
 
#5,117 ·
J’espère qu'on aura pas du vide pendant 10 au niveau du Virgin ... parce qu'avec l'ancien UGC Capitol un peu plus loin dans la rue et l'ancien bar SCHUTZENBERGER place Kléber, ça fait beaucoup de locaux vides ! D'ailleurs qu'en est il du bar SCHUTZ ? et du Capitol ? n'y aura -t-il jamais rien à la place ? ces locaux vides, moches et lugubres quand on passe devant font parti du paysage depuis des années si bien que j'ai l'impression que plus personne n'y pense !
Alors qu'un grand bar branché, place kléber, ouvert jusqu'à 4h du matin ... ça serait pas mal ... bien que ça risquerai de faire de l'ombre à l'aubette bar...

Petite précision ... à parament l'ancien UGC capitole est devenu un immeuble de bureaux ...

Si seulement l'entrée du "capitole" ressemblait vraiment à ça, en réalité c'est plutôt des bureaux tertiaires au dessus, et en bas la poste,

donc ça
archi-strasbourg.org


voilà voilà.

Tu m'as devancé 3locations, oui c'est toujours bon à prendre ce n'est pour l'instant qu'une dizaine d'emplois mais qui sait ?

sinon je me balade souvent sur les forums allemands, et je remarque qu' assez fréquemment les villes d'une certaine taille( certes plus grandes qu'ici) ont dans leur centre des tours antennes.
Je trouvais visuellement ça un peu moche au départ, mais plus je regarde, et plus je commence à être séduit par l'idée.
Sachant que notre ville n'a plus aucun point de vue valable sur sa modeste skyline, je trouverai judicieux la construction d'une tour de ce type.
Car non seulement elle permettrait aux habitants de voir les montagnes, mais elle montrerait aussi aux touristes ( qui sont nombreux) l'étendue de l'agglomération face aux vosges, et à la Forêt Noire.
Vous me direz" attends bonhomme, tu parle de tour antenne, mais la cathédrale et son point de vue, tu l'oublies ?" Non je ne l'oublie pas, mais et d'une tout le monde ne peut pas monter sur la cathédrale, vu la hauteur et le nombre de marches à se taper, pas mal de gens seront découragés.
Et on ne peut pas installer de restau en haut de la cathédrale. Enfin l'aspect séduisant de la tour antenne, une vue réellement à 360°, et une montée en ascenseur rapide qui a tout pour plaire au grand public. Si j'en parle, c'est parce que contrairement à certaines autres grandes villes, on a réellement un patrimoine et une vue imprenable sur des joyaux naturels. Ce qui n'est pas le cas de Toulouse, ou Lille par exemple( en revanche Lyon est la candidate idéale). Je dis tout ça parce qu'il suffit de monter au 8 étages de la mairie de la CUS pour se rendre compte que déjà ( quand l'air est bon, et la vue dégagée) on arrive à voir les contreforts des montagnes avec toute la plaine qui s'étend à leurs pieds.
La tour antenne est idéale pour notre ville parce qu'elle est prévue pour du paysage à 360°, et justement ici, il y a à voir de tous les côtés!
Enfin pour le restau, il s'agit de rentabiliser aussi l'idée, mais de retrouver un lieu en hauteur, sachant que celui du printemps à par exemple disparu, et qu'on en a pas d'autres.( celui du printemps étant déjà pas très haut).
Et que l'on aille pas me dire que cela gâcherai le paysage de la ville, car des antennes on en a déjà pas mal, entre celle de France 3 place de Bordeaux qui est loin d'être minuscule, et toutes les autres perdues à droite à gauche dans l'agglo...

bref, j'arrête le monologue, voilà, petit florilège de tours antennes :

à Hannover





celle là est immense à Tokyo



celle là aussi

à Auckland



à Toronto




de nuit




à Artigues près de Bordeaux



à Berlin



Juste pour le plaisir

encore Toronto






beaucoup plus près de chez nous la tour de télévision de Stuttgart





Données techniques :


Pied de la tour 483 m au-dessus du niveau de la mer.
Hauteur totale jusqu'au sommet : 216,8 mètres.
Hauteur de la plate-forme supérieure : 153,5 mètres.
Hauteur de la plate-forme inférieure : 150 mètres.
Diamètre des fondations : 27 mètres.
Poids total de la tour : environ 3 000 tonnes.
Poids des fondations : environ 1 500 tonnes.
Vitesse des ascenseurs : 5 m par seconde.
Diamètre maximal des plates-formes : 15 mètres.
Desservie par les transports en commun : tramways lignes U7, U8, U15 et autobus 70.
Heures d'ouverture : tous les jours à partir de 9 heures (dernière entrée 22 heures 30)
tout de suite avec un éclairage sympa de nuit, ça réhausse la ville...


Fool
 
#5,118 ·
Il y a une demande forte demande pour des bureaux au centre-ville, notamment de la part de sociétés tertiaires. Il faut accompagner le mouvement car c'est le vivier pour la création d'emplois dans le futur. Le plus marrant serait qu'une société de type "Amazon" installe un centre de développement (c'est déjà le cas à Paris pour Amazon) dans l'immeuble qui abrite aujourd'hui le Virgin Megastore!
 
#5,120 ·
Je ne peux parler pour tous les belges, mais en tout cas pour ceux que je côtoient à mon travail et les amis que j'ai à Bruxelles tout le monde est déjà parti en Alsace/Vosges, les Bruxellois comme les Flamands ou les wallons. Ils partent soit pour les sports d'hiver, soit pour un city trip, vinotrip ou une excursion gourmande. Il y a aussi beaucoup de gens du bénélux qui font une pause sur leur trajet vers les vacances en Italie ou Croatie.

L'Alsace est tellement à la mode que dans les publicités que l'on reçoit avec les factures de cartes visa il y a la moitié des offres d'hébergement des destinations de cours séjours qui sont situés en Alsace (le reste pour la France, Luxembourg et Pays-Bas). Il y a aussi régulièrement des émissions à la radio et la télé.

Il y a 3 ans la SNCB faisait sa com sur les billets Alsace, avec des billets aller-retours à 120€ pour 2. C'était la grande époque du BXL-Lux-Stras. Malheureusement maintenant les prix ont doublé, il n'y a plus de train qui circulent en soirée et les retards sont quasi systématique. Bref, tant que la ligne 121 en Belgique ne sera pas mis à niveau le service restera plus lent qu'il y a 100ans :bash:

D'ailleurs c'est la raison principale pour laquelle les eurocrates n'aiment pas aller à Strasbourg, il n'y a pas (plus) de train efficace, quasi pas d'avion (même pas de vol Air-France) et en voiture c'est 4h30 minimum depuis Bruxelles centre.
Il y a toujours une promotion, mais à 150 euros aller-retour sur le site de la SNCB!
Allez voir sur le site web, la ville est bien valorisée mais la photo du train, aie!


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Puis pour les promotions, c'est dur dur aussi bien en temps de trajet qu'au niveau des prix. Oui, même un TGV Bruxelles-Midi - Strasbourg en 3h40 (3h15 pour la gare Bruxelles-Luxembourg) sera déjà une grande amélioration et nous replacera au niveau de Valence au niveau de temps de trajet ...

Durée
Bruxelles Midi Trajet simple à.p.d.
*
Lille 32 min € 18
Paris 1h22 € 22
Aéroport CDG 1h13 € 52
Disneyland Paris 1h29 € 29
Lyon 3h23 € 29
Valence 3h42 € 29
Avignon 4h17 € 29
Aix-en-Provence 4h40 € 29
Marseille 4h55 € 29
Saint-Raphaël 6h48 € 29
Cannes 7h12 € 29
Antibes 7h24 € 29
Nice 7h44 € 29
Nîmes 5h11 € 29
Montpellier 5h31 € 29
Perpignan 7h22 € 29
Metz 3h46 € 53
Strasbourg 5h05 € 75
Colmar 5h42 € 83
Moûtiers 5h57 € 59
Aime-la-Plagne 6h25 € 59
Bourg-St-Maurice 6h45 € 59
 
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