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LYON | Gare Perrache & Pôle d'Echanges

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lyon
278K views 1K replies 141 participants last post by  adcti 
#1 · (Edited)
Salut

Le thème s'adresse peut être plutôt aux grands lyonnais, mais en parle qui voudra, bien sûr. :)

Le centre d'échanges de Lyon Perrache, construit sur le Cours de Verdun entre 1970 et 1974, est souvent considéré aujourd'hui comme une grosse verrue, moche et qui gêne les liaisons entre le nord et le sud de Perrache, et rend difficile d'accès les hôtels et brasseries qui faisaient autrefois
toute l'ambiance du Cours de Verdun.


MAIS c'est aussi un équipement utile.

En effet on y trouve le métro, les trams, les bus, les cars départementaux, des commerces (restauration, presse, phamacie, souvenirs...), des parkings, et même des jardins sur le toit en terrasse.


Si on reste sur la première considération, la première phrase qui vient, c'est "faisons sauter la verrue".



Or , on NE PEUT PAS !

J'explique :
le poids du béton du centre d'échanges sert à contrebalancer la poussée hydrostatique qui s'exerce sous les trémies empruntées par les voiries qui passent dessous.

Si on fait sauter le béton, la poussée de l'eau déglingue les trémies.


Du coup, la circulation devrait revenir à la surface.

Même si on admet que l'autoroute A6/A7 sera un jour déclassée, on aura toujours une avenue à gros débit.
Le genre d'avenue embêtante à traverser quand on courre pour attraper un train à la gare SNCF qui est derrière.
Et le genre d'avenue qui fait "coupure", de toute façon.

Tout ça pour dire qu'on n'aura plus jamais un Cours de Verdun aussi agréable qu'il y a 50 ans, avec 6 rangées de marronniers.

Idéalement la circulation (auto)routière doit pouvoir rester souterraine, ce qui permettra de passer aux piétons de passer tranquillement de la Place Carnot (au nord) à la gare SNCF et au cours Charlemagne (au sud).


La SEM Lyon-Confluence, chargée de l'aménagement de la presqu'ile sud, a établi qu'on pouvait, par contre, assez facilement, démonter la partie centrale du C.E., c'est à dire la partie vitrée qui contient les commerces, et la dalle de béton qui sert de plancher à la salle d'échanges entre les bus et recouvre le métro et les trams.


Cette SEM propose aussi qu'on démonte la passerelle piéton ("le mail") reliant le C.E. et la gare SNCF,
ainsi que la station de taxis située sous "le mail" et le cadre du métro situé sous les taxis.
(on parle du mur de béton avec des sortes de gros hublots ronds qu'on longe un moment si on passe sous les voûtes de la gare).

Enfin, la SEM et le Sytral ont étudié s'il y avait moyen de mettre le métro en souterrain.
Actuellement le métro remonte du sous-sol de la rue V.Hugo, et la station Perrache est au niveau zéro.
On y rentre sans descendre une seule marche depuis la Place Carnot.

L'idée est que le métro "plonge" au lieu de remonter, passe sous le C.E et même sous les trémies routières,
puis sous la gare SNCF, et termine avec une nouvelle station Perrache sous le Cours Charlemagne.

Ainsi les piétons passeraient à l'air libre entre les 2 ailes subsistantes du centre d'échanges,
puis sous la gare SNCF dans une voûte réservée aux piétons (elle sert actuellement de garage pour le métro)


En première approche le coût de cette plongée est de 100 à 120 millions euros. C'est CHER 😪
Tellement cher, qu'on évoque comme date de réalisation 2020 (avec l'arrière pensée que ce sera 2030 ou plus tard).


Voila quelles sont donc les données du problème.


Et vous même, si vous étiez urbanistes, chargés de proposer quelque chose de REALISTE et à COURT terme,

Que feriez-vous ???

Si vous avez besoin de données supplémentaires, posez moi la question, j'essaierai de vous répondre.


A+
 
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#842 ·
Le projet qui supprime le centre d’échanges

Publié le 25/02/2020



Une architecte indépendante propose un ouvrage enterré sous Gerland pour relier l’A6 au périphérique actuel, au niveau de la porte de Saint-Fons. Elle vise la suppression du centre d’échange. En permettant de réduire la circulation sur les quais du Rhône, son projet sera aussi vu comme une alternative à l’Anneau des Sciences.

Hélène Duhoo a un rêve : supprimer le centre d’échanges, cette « erreur magistrale ». Ce mardi matin, au côté d’Eric Lafond et Denis Broliquier, candidats aux élections qui appuient sa démarche, cette architecte indépendante révélait au grand jour son projet sur lequel elle travaille depuis plus d’un an. Celle qui a notamment travaillé au sein du cabinet Techné propose un boulevard enterré de 2,8 km sous Gerland reliant l’A6/A7 au niveau du cours Verdun jusqu’au périphérique actuel (boulevard Laurent Bonnevay), à hauteur de la porte de Saint-Fons (Cf. tracé en pointillés jaunes sur la carte ci-dessous). Les voitures venues du nord (de Limonest ou d’Ecully par exemple) prendraient cette infrastructure au sortir du tunnel de Fourvière, au niveau de l’actuel centre d’échanges. Mais au lieu de remonter côté Rhône, elles chemineraient sous le fleuve et le 7e arrondissement pour ressortir avenue Tony Garnier, vers l’entrée du port Edouard Herriot. Une variante de 3,8 km (1 km de plus) propose de suivre les voies ferrées et de réémerger au niveau du périphérique actuel, « ce qui permettrait un chantier en tranchée ouverte » eu lieu du tunnelier. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agirait de deux tubes. L’architecte imagine aussi une entrée et sortie aménagées en rive gauche du Rhône, au niveau de Gerland.

« Toute nouvelle voie génère des flux, mais ce n’est pas le cas ici. Il ne s’agit que d’un déplacement de voiries et elles seraient même réduites », souligne l’architecte. La circulation sur les quais du Rhône baisserait, ce qui autoriserait des pistes cyclables généreuses (l’architecte y voit l’opportunité de boucler la Via Rhona) et une reconfiguration l’axe en boulevard apaisé (2×2 voies). Hélène Duhho a calculé : 44 hectares seraient récupérés sur des voies routières, « soit la moitié du parc de la Tête d’Or » dont 8 ha en Presqu’île. « Ce serait une véritable métamorphose », dit-elle. La suppression du centre d’échanges permettrait de requalifier la gare de Perrache, avec un nouveau parvis, et d’allonger la place Carnot « qui gagnerait un quart de surface ». De part et d’autres, de nouvelles constructions seraient possibles, dédiées au logement. Le cours du Midi – dont les anciens se rappellent l’existence avant l’arrivée de l’autoroute – serait ressuscité.

Le projet nécessite plusieurs travaux connexes. La réalisation d’un pont sur le Rhône pour relier plus facilement l’ouvrage enterré à l’A450 (Brignais/Pierre-Bénite). Au niveau de la place Carnot, le métro devrait être abaissé sur « 150 mètres » pour que son terminus soit enfoui (il affleure aujourd’hui en surface). La gare routière seraient aussi enterrée. Le parking du centre d’échanges disparaitrait avec lui, un nouveau parking serait créé côté Saône « et d’autres dans les nouvelles constructions ». Enfin l’architecte propose un tube mode doux sous Fourvière. Même si ce n’est pas l’intention d’Hélène Duhoo, son projet sera vu comme une alternative à l’Anneau des Sciences en reliant Teo au boulevard Laurent-Bonnevay par l’ouest. Son avantage : cet ouvrage enterré serait trois fois moins cher (même si le recours au privé via une concession n’est ici pas prévu).
Moins d’un milliard d’euros

Hélène Duhoo a naturellement chiffré son projet : de 700 à 900 millions d’euros, selon la variante retenue. Parmi ce montant, 560 à 760 millions d’euros pour les deux tubes. Egalement compris dans cette enveloppe, le nouveau pont et la reprise des voiries de surface pour 22 à 32 millions d’euros (seulement ?) ainsi que le tube mode doux (qui apparait comme un projet complémentaire) pour 70 millions d’euros.
Nouveau Lyon
 
#843 · (Edited)
Denis Broliquier veut faire sauter le verrou de Perrache

https://www.lyoncapitale.fr/politique/lyon-broliquier-veut-faire-sauter-le-verrou-de-perrache/

Denis Broliquier et Eric Lafond, les candidats centristes, ont présenté leur projet de déqualification du centre d’échanges de Perrache. En enterrant toutes les voiries, ils veulent dégager une esplanade végétalisée.

Souvent au coeur des débats municipaux lors des précédentes campagnes municipales à Lyon, la gare de Perrache était boudée par les candidats jusqu’à ce mardi matin. Les centristes Denis Broliquier et Eric Lafond font du réaménagement du centre d’échanges le projet phare de leur campagne. Ce mardi matin, ils ont présenté leur vision en s’appuyant sur les travaux d’Hélène Duhoo, une architecte.

Denis Broliquier veut faire sauter le verrou de Perrache en s’attaquant, s’il est élu, aux voies de circulation, il y en a plus d’une dizaine, qui serpentent autour de la gare. Elles seraient enterrées pour laisser la place, en surface, à une esplanade. Denis Broliquier pointe 44 hectares d’espace public conquis grâce à son projet. Il en fait aussi une alternative au projet d’anneau des sciences. Les voies souterraines se brancheraient ensuite sur l'autoroute A450 à Saint-Fons.
 
#844 ·
L’avis du néophyte : projet séduisant qui a le charme de supprimer la verrue intelligemment, semble pragmatique sans être pharaonique et donc envisageable.
D’un point de vue politique, j’y vois une porte de sortie pour Gégé englué dans son anneau des sciences (qui séduit de moins en moins même des inconditionnels de la voiture comme moi, mais je me soigne [emoji16]) dans une alliance larem /lr au soir du premier tour. A lui la métropole, à blanc/broliquier la ville. Un premier point pour la convergence des projets. A suivre...
 
#846 ·
700 à 900 ME je n'y crois pas beaucoup.
Autre problème, la variante "courte" longerait le port E Herriot, et celui-ci est voué à terme à devenir une zone résidentielle.
Quant à la solution sous la voie ferrée, comment faire une tranchée ouverte en dessous sans perturber le trafic SNCF ? Et en creusant sous ces voies, ne condamne t'on pas une solution souterraine du NFL?
 
#847 · (Edited)
Une zone résidentielle au port Edouard Herriot, ce n'est peut être pas avant très longtemps ?
sinon, voici des immeubles résidentiels recouvrant une autoroute (ça ne me parait pas pour autant un exemple à suivre) :
https://www.google.fr/maps/@52.4719278,13.3017447,332a,35y,90h,39.39t/data=!3m1!1e3

Nouveau Lyon said:
La suppression du centre d’échanges permettrait de requalifier la gare de Perrache, avec un nouveau parvis, et d’allonger la place Carnot « qui gagnerait un quart de surface ». De part et d’autres, de nouvelles constructions seraient possibles, dédiées au logement. Le cours du Midi – dont les anciens se rappellent l’existence avant l’arrivée de l’autoroute – serait ressuscité.
Ressuscité, c'est une façon de dire : Le dessin montre surtout des constructions nouvelles, entourées de rues et avenues par lesquelles continueraient à passer les flux locaux ne plongeant pas dans le tunnel vers Gerland / Saint Fons.
Soit sans doute des dizaines de milliers de voitures par jour.

https://www.lyoncapitale.fr/wp-cont...E-AVANT-APRES-Polsitivons-Lyon-Métropole.jpg
 
#849 ·
Je ne comprends pas cette obsession avec le CELP.

- la suppression du CELP ne mettra pas fin à la coupure presqu'île / confluence causée par les voies et la gare. On a déjà une coupure avec une gare et ses voies, y accoler un centre d'échange/TC/Gare routière est plutôt rationnel.

- le déclassement de l'autoroute permet à terme une requalification partielle de la voirie un peu sur le modèle de ce qui s'est fait en entrée et sortie du tunnel de croix-rousse

- le CELP répond à un besoin de gare TC/routière/parking. Enterrer dans la nappe phréatique tout ça + le tube du métro + le tube autoroutier + les liaisons, dans quel but ? dégager une esplanade devant la gare de Perrache ? Pour quel budget ?

- enterrer 250 000 m3 de centre d'échange pour retrouver un meilleur accès à la brasserie Georges et au Mercure Château Perrache et retrouver une vue en contre plongée sur le toit de la grande halle de Perrache, c'est pas un peu overkill ?
 
#850 · (Edited)
- la suppression du CELP ne mettra pas fin à la coupure presqu'île / confluence causée par les voies et la gare. On a déjà une coupure avec une gare et ses voies,...
Sur ce point précis :
- au droit de la gare Sncf, la distance Rhône Saône égale 700 mètres
- les passages routiers (quais + rues C.Collonge et Delandine) égalent 110 m
- les 3 voûtes et les 2 passages sous quais Sncf égalent 35 m

Ces divers passages ouvrent donc 20 % de la barrière .
C'est une proportion voisine de celle que représentent les rues entre les pâtés de maisons, ailleurs dans le centre ville, où on ne parle pas de barrière créée par ces pâtés..

Tout ça pour dire qu'un traitement plus propice aux modes doux de ces passages changerait appréciablement la donne.

Mais il faudrait améliorer aussi les traversées nord sud du Cours de Verdun.
...
- le CELP répond à un besoin de gare TC/routière/parking.
C'était le point de vue des années 70, "Pradelien" et "Gagèsien".
Mais
- des bus urbains peuvent très bien s'arrêter le long de trottoirs, comme ailleurs dans l'agglomération,
- une gare routière grandes lignes pourrait tout à fait être placée hors de l'hyper-centre ville, au point de contact d'une ligne forte de transport en commun urbain et d'une grande voirie (au hasard, L. Bonnevay, Rd-Pt de Parilly)
- 1000 places de parking (25 000 m2) n'avaient pas forcément besoin d'être construites en ouvrage à 12/18 mètres au dessus du sol :
2 niveaux enterrés + 4 niveaux au dessus auraient pu loger dans un bâtiment guère plus encombrant que le parking des Cordeliers (800 places) : dommage qu'un tel choix n'ait pas été retenu en 1974.


Enterrer dans la nappe phréatique tout ça + le tube du métro + le tube autoroutier + les liaisons, dans quel but ? dégager une esplanade devant la gare de Perrache ? Pour quel budget ?

- enterrer 250 000 m3 de centre d'échange pour retrouver un meilleur accès à la brasserie Georges et au Mercure Château Perrache et retrouver une vue en contre plongée sur le toit de la grande halle de Perrache, c'est pas un peu overkill ?
Tout à fait, un budget horriblement astronomique, et des années de travaux de démolition.
Etant donné son rapport avantage/coût en dessous de tout, la table rase n'est plus une option.
 
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#851 ·
Flixbus/Blablabus Paris c'est à Bercy, on est très loin de l'hypercentre.
Et quand on voit la qualité des indications et le confort des quais/attente de Perrache, c'est un euphémisme que de dire que ça peut pas être pire ailleurs !!!

Non, moi, vraiment, virer 1000 bagnoles de l'hypercentre, refaire l'accessibilité des bus macron dans un lieu dédié et adapté, et potentiellement améliorer les flux modaux N-S, je vois pas l'intérêt... c'est "overkill" ?
 
#853 ·
Je sais bien, j'ai pas énoncé cet exemple par hasard.....
Et personne n'a dit que la Gare de Lyon était considérée comme l'hypercentre de Paris.
Après tout, on est encore très loin de la Cité...
 
#854 · (Edited)
En tout cas L. Bonnevay ou Parilly sont indiscutablement hors de l'hypercentre de Lyon.
 
#856 ·
Clairement, en terme de restructuration urbaine d'ampleur "internationale" comme Lyon est, c'est le NFL et le cadencement RER.

Et construire 2x plus de logement pour éviter de voir poindre la gentrification et l'étalement urbain à la hauteur de l'IDF.
 
#857 ·
Lyon : dernier arrêt à Perrache pour le TGV Patrick

Le Progrès | 07-03-2020

Les 7 et 8 mars, le TGV Patrick, premier du genre en France, fait étape pour la dernière fois à la gare de Lyon Perrache. Après près de 40 ans de service, il effectue un dernier trajet Paris-Lyon-Marseille avec, à son bord, une exposition retraçant l’histoire de la grande vitesse ferroviaire en France.


Le TGV Patrick est entré en gare de Perrache pour la dernière fois à 9 h 30 samedi matin. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le TGV orange avait fait halte à Lyon pour la première fois en 1981. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Philippe Renoust et Frédéric Bals conduisent le TGV Patrick pour son dernier voyage. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Les chanceux qui ont réservé leur place pour l’exposition pourront monter dans la motrice. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le poste de conduite, révolutionnaire pour l’époque, n’a pas changé. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le TGV Patrick est bien le premier en circulation, comme en témoigne cette plaque. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


« La conduite de ce TGV demande beaucoup de doigté », indique Frédéric Bals. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


De nombreux curieux ou nostalgiques sont venus photographier Patrick une dernière fois. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Au centre, le « cerclo », qui sert à gérer l’accélération de la motrice. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le pupitre, d’époque, n’est que très peu informatisé. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


« L’orange du TGV voulait trancher avec le vert des trains de l’époque », précise Frédéric Bals. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


À l’intérieur des rames, la SNCF a installé une exposition. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


L’exposition historique comporte 50 panneaux. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Les visiteurs peuvent découvrir l’histoire de la grande vitesse ferroviaire en France. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le TGV a été testé dans une version thermique avant l’installation de propulsion électrique. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


La SNCF a développé de nombreux prototypes avant d’arriver au TGV. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


L’exposition est aussi sonore et animée. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Plusieurs milliers de visiteurs ont pu profiter de l’exposition gare de Lyon à Paris. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Le TGV a notamment établi des records de vitesse. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE


Après sa halte lyonnaise les 7 et 8 mars, le TGV Patrick doit terminer sa tournée d’adieu à Marseille. Photo Progrès /Blaise FAYOLLE
Source : Le Progrès
 
#860 ·
Mwai ,rendu fait par un 5e année.
Repassons dans 1 an.
 
#862 ·
S'il faut creuser préalablement un canal entre Rhône et Saône, (presque) aussi large que le cours de Verdun, mon petit doigt me dit qu'on va attendre longtemps. ^^
 
#863 ·
Bonjour à tous ! Concernant la gare, avant la construction du Centre d'Echanges, A-t-on des photos de l'intérieur de la gare, et notamment de la salle des pas perdus ?
ci-dessous quelques photos (en lien ou pas) trouvées sur Patrimoine.auvergnerhonealpes.fr


Merci !!


Le bâtiment-voyageurs : buffet, détail d'un caisson du plafond



 
#865 ·
Salut,

C'est où, ces deux images ? La façade de la gare de Perrache n'a jamais ressemblé à ça
 
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