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ALGIERS | El Djiwar | Residential | #U-C

60K views 99 replies 31 participants last post by  koussai 
#1 · (Edited by Moderator)
Projet El Djiwar : Plus qu’une résidence, une promesse de sérénité

Promotion immobilière Aboura



Formellement, le projet comprend 600 logements haut standing. Le promoteur propose des F3 de 120 m2, des F4 de 140 m2, des F5 de 157 m2, des duplex de 220 m2, des penthouses de 250 m2, des villas sur deux niveaux de 315 m2. Cela pour la partie habitation.

Il convient de souligner que ces logements sont dotés de toutes les commodités (téléphone, chauffage, aire conditionné) et ont la particularité de disposer de pièces spacieuses et très exposée à la lumière comme le sont généralement les maisons méditerranéennes. Le souci de la luminosité est une constante dans le choix du site, et les études qui ont été réalisées par une associations de deux bureaux d’études, l’un Coréen (KunWon) de renommée mondiale, figurant sur le top Ten des meilleurs entreprises du genre au niveau international, le second est algérien (UTIC), apportant sa touche d’authenticité et sans doute la saveur méditerranéenne dans le nouveau concept qui offre beaucoup plus qu’un logement.

En fait, El Djiwar ce n’est pas seulement un alignement d’immeubles et de villas, comme on a l’habitude de voir un peu partout dans le pays. La promotion Aboura a vu plus grand, beaucoup plus grand que le confort du foyer qui, soit dit en passant, est déjà très largement garanti. Les concepteurs du projet proposent une véritable petite ville modèle dans les quelque 4 hectares qui serviront d’assiette foncière.

Qu’en on juge : en plus de la partie habitation, El Djiwar accueillera un centre commercial sur trois niveaux, une tour d’affaires de 20 étages, une salle de prière, une crèche, une école privée, un club de remise en forme et, pour la première fois en Algérie, une patinoire. Toutes ces infrastructures communes sont principalement destinées aux habitants de la promotion immobilière.

Et plus que cela, la grande originalité du projet tient dans la réalisation de trois jardins thématiques. Ces espaces verts traversent la cité dans tous les sens, de sorte à ce que les immeubles et villas baignent dans ces jardins aux identités différentes, mais qui font ensemble toute la richesse faunique de l’Algérie. En effet, les concepteurs du projet ont prévu le Jardin de l’Atlas, celui de la Méditerranée et enfin le Jardin du Sahara. La disposition de ces trois espaces verts et la manière dont ils communiquent entre eux et avec l’allée centrale de la cité à laquelle les promoteurs ont choisi la dénomination poétique de «la rue de la vallée des oliviers », donne au site une impression de petite ville très accueillante où les habitants peuvent communiquer dans un environnement verdoyant et surtout très riche.

Un véritable jardin botanique en somme. Cette belle originalité donne à El Djiwar une dimension de convivialité, jamais rencontrée, jusqu’alors, dans n’importe quelle autre promotion immobilière de son niveau de standing. On retiendra, dans la conception d’El Djiwar, des accès indépendants pour les résidants, des parkings séparés entre la partie commerciale et la partie résidence.

Ce souci de l’intimité n’empêche pas une percée dans le monde de la convivialité, à travers des jardins semi-privés pour les résidants et les fameux jardins thématiques, cités plus haut, histoire de donner toute son identité à chaque îlot d’habitations, agrémenté par des passages piétons communs. Ainsi, loin des véhicules et donc en toute sécurité, les voisins auront tout le loisir de faire connaissance et de converser à souhait.

L’on notera également que les 6 penthouses et les 40 duplex de la résidence disposent en sus de toutes les commodités communes en matière d’espaces verts, d’un vaste jardin suspendus privé et d’un pavillon multifonctionnel. C’est ainsi que, cassant l’habitude de la cité dortoir, la Promotion immobilière Aboura ne vend pas que des appartements à ses clients, mais tout un univers, une certaine idée de la vie en communauté avec une assurance que l’on a tendance à perdre en ces temps stressants.

Le général manager du groupe, Maamar Aboura, entend réaliser non pas une simple cité d’habitation, mais une ville dans la ville qui apporte paix et sérénité à ses habitants. L’ambition de PIA est de faire en sorte à ce que le citoyen se sente chez lui, au moment même où il franchit l’espace de la promotion immobilière. Il faut dire que la philosophie qui a présidé à la conception de l’ensemble immobilier invite à cet état de fait et garantit, en plus d’un confort au summum dans les appartements, les duplex, les penthouses et les villas, une véritable vie de quartier.

La merveille immobilière dont la réalisation a été confiée à une entreprise chinoise, verra le jour 36 mois après la délivrance du permis de construire. PIA est en attente de ce précieux document qui lui permettra de faire une percée remarquable dans l’offre immobilière nationale. Le dossier est actuellement au niveau de la wilaya d’Alger et le promoteur, M.Aboura, espère bien voir la machine administrative fonctionner comme elle le fait généralement dans ce domaine précisément.

Qui ne comprendrait pas l’empressement de M.Aboura lorsqu’on se rend compte qu’El Djiwar est en soi un projet-école qui pourrait inspirer nombre d’autres promoteurs que ce soit dans le haut standing ou dans d’autres créneaux. La wilaya d’Alger gagnerait sans doute à voir une telle réalisation voir le jour, car elle a cette caractéristique de recréer les quartiers d’antan avec la dose de convivialité et d’intimité qui fait toute la différence avec une cité-dortoir. A ce propos, M. Aboura nous dira : « Chacun son métier et le nôtre consiste à donner un sens et une âme à la cité. A travers ce projet, nous espérons apporter la preuve qu’une ville est d’abord des espaces de convivialités. Et l’espace ce n’est pas seulement une étendue de terre, c’est aussi une idée, un vœu, un souhait et une forte conviction que l’humain est un être social. Nous voulons offrir à Alger un bel exemple de gestion optimale de l’espace urbain. »

Dans ce message, il y a une forte ambition, celle d’ouvrir à la capitale une fenêtre sur un avenir urbain maîtrisable et convivial. Le wali d’Alger qui est, à n’en pas douter, un homme acquis à la modernité et à l’authenticité, saura sans doute apprécier ce projet à sa juste valeur. D’autant qu’en plus de cette approche dans l’imagination même de la résidence, celle-ci sera gérée, une fois réceptionnée, par la Société de gestion immobilière (SGP), filiale du groupe Aboura. En sus des nombreux postes d’emplois qui seront créés pour la bonne marche de cette promotion immobilière, SGP aura la lourde mission de tenir en bon état trois jardins thématiques, les passages piétons et les autres infrastructures prévues dans le projet. « La mission ne sera certes pas facile, car elle constitue une première en Algérie. Mais je suis sûr que nous saurons relever le défi», insiste M.Aboura qui estime la valeur des unités immobilière à partir de 150 000 dinars le m2 

Source : El-Djazaïr Magazine

 
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Projet El Djiwar : Plus qu’une résidence, une promesse de sérénité

Promotion immobilière Aboura

Formellement, le projet comprend 600 logements haut standing. Le promoteur propose des F3 de 120 m2, des F4 de 140 m2, des F5 de 157 m2, des duplex de 220 m2, des penthouses de 250 m2, des villas sur deux niveaux de 315 m2. Cela pour la partie habitation.

Il convient de souligner que ces logements sont dotés de toutes les commodités (téléphone, chauffage, aire conditionné) et ont la particularité de disposer de pièces spacieuses et très exposée à la lumière comme le sont généralement les maisons méditerranéennes. Le souci de la luminosité est une constante dans le choix du site, et les études qui ont été réalisées par une associations de deux bureaux d’études, l’un Coréen (KunWon) de renommée mondiale, figurant sur le top Ten des meilleurs entreprises du genre au niveau international, le second est algérien (UTIC), apportant sa touche d’authenticité et sans doute la saveur méditerranéenne dans le nouveau concept qui offre beaucoup plus qu’un logement.

En fait, El Djiwar ce n’est pas seulement un alignement d’immeubles et de villas, comme on a l’habitude de voir un peu partout dans le pays. La promotion Aboura a vu plus grand, beaucoup plus grand que le confort du foyer qui, soit dit en passant, est déjà très largement garanti. Les concepteurs du projet proposent une véritable petite ville modèle dans les quelque 4 hectares qui serviront d’assiette foncière.

Qu’en on juge : en plus de la partie habitation, El Djiwar accueillera un centre commercial sur trois niveaux, une tour d’affaires de 20 étages, une salle de prière, une crèche, une école privée, un club de remise en forme et, pour la première fois en Algérie, une patinoire. Toutes ces infrastructures communes sont principalement destinées aux habitants de la promotion immobilière.

Et plus que cela, la grande originalité du projet tient dans la réalisation de trois jardins thématiques. Ces espaces verts traversent la cité dans tous les sens, de sorte à ce que les immeubles et villas baignent dans ces jardins aux identités différentes, mais qui font ensemble toute la richesse faunique de l’Algérie. En effet, les concepteurs du projet ont prévu le Jardin de l’Atlas, celui de la Méditerranée et enfin le Jardin du Sahara. La disposition de ces trois espaces verts et la manière dont ils communiquent entre eux et avec l’allée centrale de la cité à laquelle les promoteurs ont choisi la dénomination poétique de «la rue de la vallée des oliviers », donne au site une impression de petite ville très accueillante où les habitants peuvent communiquer dans un environnement verdoyant et surtout très riche.

Un véritable jardin botanique en somme. Cette belle originalité donne à El Djiwar une dimension de convivialité, jamais rencontrée, jusqu’alors, dans n’importe quelle autre promotion immobilière de son niveau de standing. On retiendra, dans la conception d’El Djiwar, des accès indépendants pour les résidants, des parkings séparés entre la partie commerciale et la partie résidence.

Ce souci de l’intimité n’empêche pas une percée dans le monde de la convivialité, à travers des jardins semi-privés pour les résidants et les fameux jardins thématiques, cités plus haut, histoire de donner toute son identité à chaque îlot d’habitations, agrémenté par des passages piétons communs. Ainsi, loin des véhicules et donc en toute sécurité, les voisins auront tout le loisir de faire connaissance et de converser à souhait.

L’on notera également que les 6 penthouses et les 40 duplex de la résidence disposent en sus de toutes les commodités communes en matière d’espaces verts, d’un vaste jardin suspendus privé et d’un pavillon multifonctionnel. C’est ainsi que, cassant l’habitude de la cité dortoir, la Promotion immobilière Aboura ne vend pas que des appartements à ses clients, mais tout un univers, une certaine idée de la vie en communauté avec une assurance que l’on a tendance à perdre en ces temps stressants.

Le général manager du groupe, Maamar Aboura, entend réaliser non pas une simple cité d’habitation, mais une ville dans la ville qui apporte paix et sérénité à ses habitants. L’ambition de PIA est de faire en sorte à ce que le citoyen se sente chez lui, au moment même où il franchit l’espace de la promotion immobilière. Il faut dire que la philosophie qui a présidé à la conception de l’ensemble immobilier invite à cet état de fait et garantit, en plus d’un confort au summum dans les appartements, les duplex, les penthouses et les villas, une véritable vie de quartier.

La merveille immobilière dont la réalisation a été confiée à une entreprise chinoise, verra le jour 36 mois:lol: après la délivrance du permis de construire:hahano:. PIA est en attente de ce précieux document qui lui permettra de faire une percée remarquable dans l’offre immobilière nationale. Le dossier est actuellement au niveau de la wilaya d’Alger et le promoteur, M.Aboura, espère bien voir la machine administrative fonctionner comme elle le fait généralement dans ce domaine précisément. :lol::lol::weird:

Qui ne comprendrait pas l’empressement de M.Aboura lorsqu’on se rend compte qu’El Djiwar est en soi un projet-école qui pourrait inspirer nombre d’autres promoteurs que ce soit dans le haut standing ou dans d’autres créneaux. La wilaya d’Alger gagnerait sans doute à voir une telle réalisation voir le jour, car elle a cette caractéristique de recréer les quartiers d’antan avec la dose de convivialité et d’intimité qui fait toute la différence avec une cité-dortoir. A ce propos, M. Aboura nous dira : « Chacun son métier et le nôtre consiste à donner un sens et une âme à la cité. A travers ce projet, nous espérons apporter la preuve qu’une ville est d’abord des espaces de convivialités. Et l’espace ce n’est pas seulement une étendue de terre, c’est aussi une idée, un vœu, un souhait et une forte conviction que l’humain est un être social. Nous voulons offrir à Alger un bel exemple de gestion optimale de l’espace urbain. »

Dans ce message, il y a une forte ambition, celle d’ouvrir à la capitale une fenêtre sur un avenir urbain maîtrisable et convivial. Le wali d’Alger qui est, à n’en pas douter, un homme acquis à la modernité et à l’authenticité, saura sans doute apprécier ce projet à sa juste valeur:weird:. D’autant qu’en plus de cette approche dans l’imagination même de la résidence, celle-ci sera gérée, une fois réceptionnée, par la Société de gestion immobilière (SGP), filiale du groupe Aboura. En sus des nombreux postes d’emplois qui seront créés pour la bonne marche de cette promotion immobilière, SGP aura la lourde mission de tenir en bon état trois jardins thématiques, les passages piétons et les autres infrastructures prévues dans le projet. « La mission ne sera certes pas facile, car elle constitue une première en Algérie. Mais je suis sûr que nous saurons relever le défi», insiste M.Aboura qui estime la valeur des unités immobilière à partir de 150 000 dinars le m2 

Source : El-Djazaïr Magazine
Un bien beau projet, mais mon père m’a apprit à se méfier des gens qui parlent beaucoup.
 
#17 ·
Projet Koléa
Le projet Cité Les Oliviers est un projet de 600 logements, il sera un terrain d’une superficie de 24 200 m²:lol:, il se situera à Koléa, Tipaza. Ce projet contiendra :lol: des résidences, ainsi que des commerces, et un parking de 970 places.

Projet Djiwar (Butterfly of Birkhadem)Projet Djiwar (Butterfly of Birkhadem)

Le projet El Djiwar est un projet de 600 logements grand standing, il sera un terrain d’une superficie de 41 700 m²:lol:, il se situera à Bir Khadem, Alger, ce terrain procède:lol: un acte notarié N°09/238 établie par maître Toumi Naima.
Source: http://pia-dz.com
 
#23 ·
Au Salon de l’immobilier d’Alger, Marrakech vient concurrencer Birkhadem



Spéculation, rareté du foncier et hausse des prix des matériaux de construction sont les raisons que donnent les professionnels algériens de l’immobilier à la folle augmentation des prix en Algérie. Des prix qui attirent, pour la première fois, des agences marocaines sur le marché algérien.


Les échos des prix exorbitants de l’immobilier en Algérie ont semble-t-il franchi les frontières (pourtant fermées) avec nos voisins marocains. Au Salon de l’immobilier d’Alger, nous avons ainsi rencontré des agences marocaines telles que Premium Resort & Spa Marrakech venues vendre aux Algériens des appartements à Marrakech. Cette tentative marocaine à Alger est la première pour cette société immobilière qui propose des appartements «haut standing» à Marrakech à partir de 85 000 euros, soit moins de 9 millions de dinars. «Un simple F3 est vendu à plus de 10 millions de dinars à Alger. Un prix assez conséquent», remarque Saad Merrakchi, le chargé de communication du groupe immobilier, «alors nous nous sommes dits que nos produits pourraient probablement intéresser des acheteurs algériens». La comparaison qualité de vie et qualité du bien de l’immobilier avec les prix pratiqués entre un F3 à Birkhadem et un appartement luxueux à Marrakech peut donner à réfléchir aux acheteurs algériens. C’est ainsi que le représentant immobilier marocain, M. Merrakchi, insiste sur le fait que les appartements proposés sont situés dans une «résidence touristique à Marrakech qui est une ville ouverte à toutes les nationalités». Selon lui, la société immobilière Premieum Resot & Spa Marakkech compte déjà plusieurs clients algériens qui viennent notamment de France. Pour ces clients, la comparaison entre les deux choix les amène à une conclusion rapide : un appartement haut standing à Marrakech à partir de 85 000 euros est un prix bien plus alléchant que ce qui est pratiqué sur un marché algérien où le même standing est absent.

Les raisons de la flambée, selon les professionnels algériens

De 2008 à ce jour, les prix de l’immobilier en Algérie ont augmenté de 70 000 dinars par mètre carré, nous a affirmé le chargé de communication Guettouche Azzedine, et directeur commercial de l’agence de promotion immobilière Ibessa qui a réalisé un projet de 136 logements à Ouled Fayet (à 20 kilomètres au sud d’Alger) : «Au lancement du projet en 2008, nous proposions à nos clients un prix de 120 000 dinars le mètre carré. Nos derniers appartements ont été vendus cette année à 190 000 dinars le mètre carré», dit-il. Les raisons de cette flambée spectaculaire sont multiples, selon les professionnels rencontrés au Salon qui se tient à Alger du 12 au 25 juin. Guettouche Azzedine par exemple invoque en premier lieu l’écart entre les calculs prévisionnels et la réalité : «Au lancement des travaux nous avons fait des calculs mais après il s’est avéré que les coûts étaient plus élevés, donc on a augmenté les prix», explique-t-il en précisant que les premiers clients ont échappé à cette augmentation.
Le directeur commercial d’Ibessa explique aussi que la hausse des prix est due aux pratiques spéculatives et confirme les rumeurs sur l’impact du «blanchiment de l’argent» sur le marché immobilier algérien : «En 2009, nous avons reçu un client qui a proposé d’acheter 14 appartements et de les payer cash», affirme M. Guettouche qui prend le soin de souligner que le patron de sa société immobilière a refusé la transaction «louche et risquée».

L’obligation du paiement par chèque largement ignorée

Ces pratiques, estime encore le représentant d’Ibessa, sont appelées à perdurer parce que le décret exécutif portant obligation de l’usage du chèque pour le paiement des montants équivalents ou dépassant 500 000 dinars n’est pas appliqué dans la réalité.
Par ailleurs, les prix de l’immobilier sont indissociables de ceux du foncier qui connaissent une flambée : «Il y a dix ans, Ouled Fayet était pratiquement la campagne, mais maintenant les terrains sont vendus au minimum 120 000 dinars le mètre carré. Pour Mme Mechri Djouher responsables des ventes Soundous Istitmar, les prix augmentent à cause de la rareté du foncier et à cause de la flambée des prix des matériaux de construction et de la cherté de la main-d’œuvre. Soundous Istitmar est venu au Logimmo 2011 pour proposer à d’éventuels clients des appartements «haut standing» à 200 000 dinars le mètre carré et d’autres appartements «moyen standing» à Zeralda à 145 000 dinars le mètre carré.
De son côté, la représentante de l’agence de promotion immobilière Aboura estime que l’augmentation des prix depuis 2008 tourne autour de 10 %. Mais elle affirme que cette augmentation n’a pas eu un impact négatif sur la demande. Ainsi Aboura, selon sa représentante, a vendu sur plan la moitie de son offre en logements dans ses sites de Birkhadem (Alger) et de Kolea (Tipaza). «Les gens ont de l’argent», dit-elle pour expliquer cette tendance. Les clients de cette société basée à Hydra, quartier huppé de la capitale, sont des «cadres supérieurs». Elle propose des appartements F3 pour un prix avoisinant les 10,2 millions de dinars à Birkhadem, soit 150 000 dinars le mètre carré. Pour les F6 duplex et les villas le mètre carré est cédé 170 000 dinars, ajoute-t-elle en précisant que «les prix ne sont pas fixes».

http://www.maghrebemergent.com/econ...r-marrakech-vient-concurrencer-birkhadem.html
 
#24 ·
ALGIERS | El Djiwar | Project

Le projet El Djiwar (Butterfly of Birkhadem) est un projet de 600 logements grand standing, il sera un terrain d’une superficie de 41 700 m², il se situera à Bir Khadem, Alger, ce terrain procède un acte notarié N°09/238 établie par maître Toumi Naima.

Le site web:

http://pia-dz.com/PIA/index.php?option=com_content&view=article&id=109



 
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