Projet El Djiwar : Plus qu’une résidence, une promesse de sérénité
Promotion immobilière Aboura
Formellement, le projet comprend 600 logements haut standing. Le promoteur propose des F3 de 120 m2, des F4 de 140 m2, des F5 de 157 m2, des duplex de 220 m2, des penthouses de 250 m2, des villas sur deux niveaux de 315 m2. Cela pour la partie habitation.
Il convient de souligner que ces logements sont dotés de toutes les commodités (téléphone, chauffage, aire conditionné) et ont la particularité de disposer de pièces spacieuses et très exposée à la lumière comme le sont généralement les maisons méditerranéennes. Le souci de la luminosité est une constante dans le choix du site, et les études qui ont été réalisées par une associations de deux bureaux d’études, l’un Coréen (KunWon) de renommée mondiale, figurant sur le top Ten des meilleurs entreprises du genre au niveau international, le second est algérien (UTIC), apportant sa touche d’authenticité et sans doute la saveur méditerranéenne dans le nouveau concept qui offre beaucoup plus qu’un logement.
En fait, El Djiwar ce n’est pas seulement un alignement d’immeubles et de villas, comme on a l’habitude de voir un peu partout dans le pays. La promotion Aboura a vu plus grand, beaucoup plus grand que le confort du foyer qui, soit dit en passant, est déjà très largement garanti. Les concepteurs du projet proposent une véritable petite ville modèle dans les quelque 4 hectares qui serviront d’assiette foncière.
Qu’en on juge : en plus de la partie habitation, El Djiwar accueillera un centre commercial sur trois niveaux, une tour d’affaires de 20 étages, une salle de prière, une crèche, une école privée, un club de remise en forme et, pour la première fois en Algérie, une patinoire. Toutes ces infrastructures communes sont principalement destinées aux habitants de la promotion immobilière.
Et plus que cela, la grande originalité du projet tient dans la réalisation de trois jardins thématiques. Ces espaces verts traversent la cité dans tous les sens, de sorte à ce que les immeubles et villas baignent dans ces jardins aux identités différentes, mais qui font ensemble toute la richesse faunique de l’Algérie. En effet, les concepteurs du projet ont prévu le Jardin de l’Atlas, celui de la Méditerranée et enfin le Jardin du Sahara. La disposition de ces trois espaces verts et la manière dont ils communiquent entre eux et avec l’allée centrale de la cité à laquelle les promoteurs ont choisi la dénomination poétique de «la rue de la vallée des oliviers », donne au site une impression de petite ville très accueillante où les habitants peuvent communiquer dans un environnement verdoyant et surtout très riche.
Un véritable jardin botanique en somme. Cette belle originalité donne à El Djiwar une dimension de convivialité, jamais rencontrée, jusqu’alors, dans n’importe quelle autre promotion immobilière de son niveau de standing. On retiendra, dans la conception d’El Djiwar, des accès indépendants pour les résidants, des parkings séparés entre la partie commerciale et la partie résidence.
Ce souci de l’intimité n’empêche pas une percée dans le monde de la convivialité, à travers des jardins semi-privés pour les résidants et les fameux jardins thématiques, cités plus haut, histoire de donner toute son identité à chaque îlot d’habitations, agrémenté par des passages piétons communs. Ainsi, loin des véhicules et donc en toute sécurité, les voisins auront tout le loisir de faire connaissance et de converser à souhait.
L’on notera également que les 6 penthouses et les 40 duplex de la résidence disposent en sus de toutes les commodités communes en matière d’espaces verts, d’un vaste jardin suspendus privé et d’un pavillon multifonctionnel. C’est ainsi que, cassant l’habitude de la cité dortoir, la Promotion immobilière Aboura ne vend pas que des appartements à ses clients, mais tout un univers, une certaine idée de la vie en communauté avec une assurance que l’on a tendance à perdre en ces temps stressants.
Le général manager du groupe, Maamar Aboura, entend réaliser non pas une simple cité d’habitation, mais une ville dans la ville qui apporte paix et sérénité à ses habitants. L’ambition de PIA est de faire en sorte à ce que le citoyen se sente chez lui, au moment même où il franchit l’espace de la promotion immobilière. Il faut dire que la philosophie qui a présidé à la conception de l’ensemble immobilier invite à cet état de fait et garantit, en plus d’un confort au summum dans les appartements, les duplex, les penthouses et les villas, une véritable vie de quartier.
La merveille immobilière dont la réalisation a été confiée à une entreprise chinoise, verra le jour 36 mois après la délivrance du permis de construire. PIA est en attente de ce précieux document qui lui permettra de faire une percée remarquable dans l’offre immobilière nationale. Le dossier est actuellement au niveau de la wilaya d’Alger et le promoteur, M.Aboura, espère bien voir la machine administrative fonctionner comme elle le fait généralement dans ce domaine précisément.
Qui ne comprendrait pas l’empressement de M.Aboura lorsqu’on se rend compte qu’El Djiwar est en soi un projet-école qui pourrait inspirer nombre d’autres promoteurs que ce soit dans le haut standing ou dans d’autres créneaux. La wilaya d’Alger gagnerait sans doute à voir une telle réalisation voir le jour, car elle a cette caractéristique de recréer les quartiers d’antan avec la dose de convivialité et d’intimité qui fait toute la différence avec une cité-dortoir. A ce propos, M. Aboura nous dira : « Chacun son métier et le nôtre consiste à donner un sens et une âme à la cité. A travers ce projet, nous espérons apporter la preuve qu’une ville est d’abord des espaces de convivialités. Et l’espace ce n’est pas seulement une étendue de terre, c’est aussi une idée, un vœu, un souhait et une forte conviction que l’humain est un être social. Nous voulons offrir à Alger un bel exemple de gestion optimale de l’espace urbain. »
Dans ce message, il y a une forte ambition, celle d’ouvrir à la capitale une fenêtre sur un avenir urbain maîtrisable et convivial. Le wali d’Alger qui est, à n’en pas douter, un homme acquis à la modernité et à l’authenticité, saura sans doute apprécier ce projet à sa juste valeur. D’autant qu’en plus de cette approche dans l’imagination même de la résidence, celle-ci sera gérée, une fois réceptionnée, par la Société de gestion immobilière (SGP), filiale du groupe Aboura. En sus des nombreux postes d’emplois qui seront créés pour la bonne marche de cette promotion immobilière, SGP aura la lourde mission de tenir en bon état trois jardins thématiques, les passages piétons et les autres infrastructures prévues dans le projet. « La mission ne sera certes pas facile, car elle constitue une première en Algérie. Mais je suis sûr que nous saurons relever le défi», insiste M.Aboura qui estime la valeur des unités immobilière à partir de 150 000 dinars le m2
Source : El-Djazaïr Magazine
Promotion immobilière Aboura
Formellement, le projet comprend 600 logements haut standing. Le promoteur propose des F3 de 120 m2, des F4 de 140 m2, des F5 de 157 m2, des duplex de 220 m2, des penthouses de 250 m2, des villas sur deux niveaux de 315 m2. Cela pour la partie habitation.
Il convient de souligner que ces logements sont dotés de toutes les commodités (téléphone, chauffage, aire conditionné) et ont la particularité de disposer de pièces spacieuses et très exposée à la lumière comme le sont généralement les maisons méditerranéennes. Le souci de la luminosité est une constante dans le choix du site, et les études qui ont été réalisées par une associations de deux bureaux d’études, l’un Coréen (KunWon) de renommée mondiale, figurant sur le top Ten des meilleurs entreprises du genre au niveau international, le second est algérien (UTIC), apportant sa touche d’authenticité et sans doute la saveur méditerranéenne dans le nouveau concept qui offre beaucoup plus qu’un logement.
En fait, El Djiwar ce n’est pas seulement un alignement d’immeubles et de villas, comme on a l’habitude de voir un peu partout dans le pays. La promotion Aboura a vu plus grand, beaucoup plus grand que le confort du foyer qui, soit dit en passant, est déjà très largement garanti. Les concepteurs du projet proposent une véritable petite ville modèle dans les quelque 4 hectares qui serviront d’assiette foncière.
Qu’en on juge : en plus de la partie habitation, El Djiwar accueillera un centre commercial sur trois niveaux, une tour d’affaires de 20 étages, une salle de prière, une crèche, une école privée, un club de remise en forme et, pour la première fois en Algérie, une patinoire. Toutes ces infrastructures communes sont principalement destinées aux habitants de la promotion immobilière.
Et plus que cela, la grande originalité du projet tient dans la réalisation de trois jardins thématiques. Ces espaces verts traversent la cité dans tous les sens, de sorte à ce que les immeubles et villas baignent dans ces jardins aux identités différentes, mais qui font ensemble toute la richesse faunique de l’Algérie. En effet, les concepteurs du projet ont prévu le Jardin de l’Atlas, celui de la Méditerranée et enfin le Jardin du Sahara. La disposition de ces trois espaces verts et la manière dont ils communiquent entre eux et avec l’allée centrale de la cité à laquelle les promoteurs ont choisi la dénomination poétique de «la rue de la vallée des oliviers », donne au site une impression de petite ville très accueillante où les habitants peuvent communiquer dans un environnement verdoyant et surtout très riche.
Un véritable jardin botanique en somme. Cette belle originalité donne à El Djiwar une dimension de convivialité, jamais rencontrée, jusqu’alors, dans n’importe quelle autre promotion immobilière de son niveau de standing. On retiendra, dans la conception d’El Djiwar, des accès indépendants pour les résidants, des parkings séparés entre la partie commerciale et la partie résidence.
Ce souci de l’intimité n’empêche pas une percée dans le monde de la convivialité, à travers des jardins semi-privés pour les résidants et les fameux jardins thématiques, cités plus haut, histoire de donner toute son identité à chaque îlot d’habitations, agrémenté par des passages piétons communs. Ainsi, loin des véhicules et donc en toute sécurité, les voisins auront tout le loisir de faire connaissance et de converser à souhait.
L’on notera également que les 6 penthouses et les 40 duplex de la résidence disposent en sus de toutes les commodités communes en matière d’espaces verts, d’un vaste jardin suspendus privé et d’un pavillon multifonctionnel. C’est ainsi que, cassant l’habitude de la cité dortoir, la Promotion immobilière Aboura ne vend pas que des appartements à ses clients, mais tout un univers, une certaine idée de la vie en communauté avec une assurance que l’on a tendance à perdre en ces temps stressants.
Le général manager du groupe, Maamar Aboura, entend réaliser non pas une simple cité d’habitation, mais une ville dans la ville qui apporte paix et sérénité à ses habitants. L’ambition de PIA est de faire en sorte à ce que le citoyen se sente chez lui, au moment même où il franchit l’espace de la promotion immobilière. Il faut dire que la philosophie qui a présidé à la conception de l’ensemble immobilier invite à cet état de fait et garantit, en plus d’un confort au summum dans les appartements, les duplex, les penthouses et les villas, une véritable vie de quartier.
La merveille immobilière dont la réalisation a été confiée à une entreprise chinoise, verra le jour 36 mois après la délivrance du permis de construire. PIA est en attente de ce précieux document qui lui permettra de faire une percée remarquable dans l’offre immobilière nationale. Le dossier est actuellement au niveau de la wilaya d’Alger et le promoteur, M.Aboura, espère bien voir la machine administrative fonctionner comme elle le fait généralement dans ce domaine précisément.
Qui ne comprendrait pas l’empressement de M.Aboura lorsqu’on se rend compte qu’El Djiwar est en soi un projet-école qui pourrait inspirer nombre d’autres promoteurs que ce soit dans le haut standing ou dans d’autres créneaux. La wilaya d’Alger gagnerait sans doute à voir une telle réalisation voir le jour, car elle a cette caractéristique de recréer les quartiers d’antan avec la dose de convivialité et d’intimité qui fait toute la différence avec une cité-dortoir. A ce propos, M. Aboura nous dira : « Chacun son métier et le nôtre consiste à donner un sens et une âme à la cité. A travers ce projet, nous espérons apporter la preuve qu’une ville est d’abord des espaces de convivialités. Et l’espace ce n’est pas seulement une étendue de terre, c’est aussi une idée, un vœu, un souhait et une forte conviction que l’humain est un être social. Nous voulons offrir à Alger un bel exemple de gestion optimale de l’espace urbain. »
Dans ce message, il y a une forte ambition, celle d’ouvrir à la capitale une fenêtre sur un avenir urbain maîtrisable et convivial. Le wali d’Alger qui est, à n’en pas douter, un homme acquis à la modernité et à l’authenticité, saura sans doute apprécier ce projet à sa juste valeur. D’autant qu’en plus de cette approche dans l’imagination même de la résidence, celle-ci sera gérée, une fois réceptionnée, par la Société de gestion immobilière (SGP), filiale du groupe Aboura. En sus des nombreux postes d’emplois qui seront créés pour la bonne marche de cette promotion immobilière, SGP aura la lourde mission de tenir en bon état trois jardins thématiques, les passages piétons et les autres infrastructures prévues dans le projet. « La mission ne sera certes pas facile, car elle constitue une première en Algérie. Mais je suis sûr que nous saurons relever le défi», insiste M.Aboura qui estime la valeur des unités immobilière à partir de 150 000 dinars le m2
Source : El-Djazaïr Magazine