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FÉCAMP - News Urbaines & Architecturales

12K views 23 replies 4 participants last post by  UnHavrais 
#1 ·




Gentilé : Fécampois/Fécampoise

Population : 19 262 habitants (2012)
Superficie : 15,07 km²


Intercommunalité : Communauté d'agglomération de Fécamp Caux Littoral


Site officiel : ICI
 
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#2 ·
L’avenir incertain du centre-ville de Fécamp

Fécamp. La reconversion du site Jules-Ferry sera évoquée à la fin du conseil municipal, ce soir. La majorité entend poursuivre la réflexion, mais l’opposition dénonce des atermoiements.



Les bâtiments murés qui encerclent le parking de l’espace Jules-Ferry font actuellement pâle figure

«Last but not least » disent les anglophones : à Fécamp, le 29e et dernier point inscrit à l’ordre du jour du conseil municipal de rentrée évoquera le « projet de reconversion du site Jules-Ferry », ce soir. Cette ultime délibération n’est donc pas la moindre, en terme de débat potentiel, entre la majorité municipale dirigée par Marie-Agnès Poussier-Winsback (Les Républicains) et l’opposition menée par Estelle Grelier (Parti socialiste). Cette délibération revêt un intérêt technique : « Il s’agit de solliciter des subventions pour permettre une assistance à maîtrise d’ouvrage », indique Marie-Agnès Poussier-Winsback.

Cet espace, imbriqué entre les rues des Galeries et Eugène-Marchand, ressemble aujourd’hui à une verrue urbaine entourée de bâtiments murés. Seul l’institut de soins infirmiers et les va-et-vient des véhicules sur le parking public central apportent un peu de vie à ce renfoncement glauque du centre-ville.

FAUT-IL RASER ?

« Normalement, l’Institut de formation en soins infirmiers, implanté 17 rue des Galeries, devrait déménager dans une partie de l’ancien hôpital de Fécamp, rue Henri-Dunant », rappelle la maire, avant de développer l’intention de son équipe : « Ce que l’on veut, c’est que ce secteur fasse l’objet d’une analyse approfondie. Qu’est-ce qu’on garde ? Qu’est-ce qu’on rase ? ».

Le site « Jules Ferry » est déjà sinistré, mais la première magistrate souligne que « le transfert d’activité de cet établissement entraînera la création d’une friche urbaine sur l’espace Jules-Ferry, à moins d’une intervention anticipée permettant sa mutation vers de nouvelles affectations. »

Le déménagement de la halle au beurre, actuellement sous le cinéma, fait partie des possibilités, sachant que le Grand Large a la volonté de s’agrandir pour y créer de nouvelles salles. Une partie du marché pourrait aussi s’implanter à l’espace Jules-Ferry, à supposer que le site devienne un peu plus sexy...

La délibération, présentée par la présidente de séance, l’exprimera différemment mais ne dira pas autre chose : « La requalification du parking permettra de répondre aux attentes d’extension de l’hyper-centre pour l’organisation d’animations commerciales ou festives, l’amélioration du cadre architectural et paysager, la sécurisation des circulations piétonnes et l’optimisation du stationnement. »

« De plus, la démolition et reconstruction ou la valorisation des bâtiments existants (...) permettra le développement de nouvelles activités de centre-ville s e substituant aux activités d’enseignement. »

QUELS PROJETS ?

L’heure est donc toujours à la réflexion, pour ce dossier comme pour le futur aménagement global du centre-ville, ce qui désespère l’opposition : « Sur Jules-Ferry, il s’agit d’une délibération sans projet, sans intention financière, sans calendrier », reproche Estelle Grelier, avant d’enfoncer le clou : « Or l’équipe municipale est arrivée en mars 2014. Pourquoi a-t-on perdu tout ce temps ? Où va cette ville ? Quels sont les projets pour cette ville ? ».

Patrick Jeanne, ancien maire (PS) et désormais conseiller municipal, affirme que, de sous sa mandature, « le permis de démolir avait été acté. » L’actuelle maire soutient : « Quand on est arrivé, rien n’était avancé. »

Patrick Jeanne dénonce la lenteur et les atermoiements de l’actuelle majorité, par peur de déplaire : « C’est une gouvernance qui ne prend pas de risque. Mais on ne plaît pas à tout le monde quand on dirige une collectivité ! » À l’inverse, l’ex-maire estime que la Ville a fait preuve de précipitation, en supprimant d’ores et déjà le marché du samedi après-midi. Les échanges pourraient donc encore être vifs, ce soir, dans la salle des mariages, où les alliances resteront probablement dans chaque camp.

Source : ICI

google map : ICI
 
#3 ·
La Fécamp peut-elle supporter un musée comme celui des Pêcheries ?

Patrimoine. Imaginé sous l’ancienne municipalité en 2008 et prévu pour ouvrir l’année prochaine, le musée des Pêcheries orienté sur l’histoire maritime fécampoise s’affiche comme un outil touristique majeur. Mais la Ville a-t-elle les moyens de ses ambitions ?



Le belvédère prévu dès le départ du projet est un outil «d’attractivité touristique» (photos A.C. et PA.L.)

Comment faire pour valoriser un projet que l’on a critiqué pendant presque dix ans ? Marie-Agnès Poussier-Winsback (LR) avoue que ce n’est pas aisé. Pourtant, la maire de Fécamp (21 000 habitants) reconnaît devoir vendre aujourd’hui le futur musée des Pêcheries, après avoir pointé du doigt à de nombreuses reprises cet important projet lorsqu’elle était dans l’opposition municipale. « Ce n’est bien sûr pas le choix que j’aurais fait. J’aurais modernisé l’ancien musée des Terre-Neuvas au lieu de lancer des grands travaux. Mais maintenant, mon équipe et moi devons faire avec et l’assumer entièrement », confie l’élue, qui a souvent marqué son opposition au maire de l’époque, Patrick Jeanne (PS).

« CE N’EST PAS DÉLIRANT POUR LA VILLE »

Celui qui a dirigé la cité du littoral pendant 15 ans dit « avoir mal au cœur » devant l’imposant bâtiment blanc qui résonne encore du passé des Sécheries, sur la presqu’île. Parce que ce musée, axé sur l’histoire maritime, cauchoise et des Terre-neuvas avec une partie beaux-arts, lancé en conseil municipal en 2008 et démarré en 2010 ne devrait ouvrir qu’en septembre... 2017. Trop cher ? Trop ambitieux ? Les élus ont-ils eu les yeux plus gros que le ventre ? Patrick Jeanne refuse toute idée de « démesure ou d’orgueil. Ce musée n’est pas délirant pour la taille de la commune. » Et il affirme que « Fécamp le mérite Le projet scientifique a reçu l’agrément du ministère de la Culture à l’époque. Le but était de proposer un trait d’union entre toutes les générations en réunissant l’ancien musée du centre-ville fermé depuis longtemps et celui des Terre-Neuvas (situé près de la plage). »

Un bel ensemble moderne sur près de 4 500 m2 (soit le double de la surface du musée actuel) qui permet d’exposer des collections jamais montrées avec une scénographie travaillée par une équipe dédiée... Le tout rehaussé d’un belvédère à 360°qui fait déjà la fierté de l’ancien maire. « De là-haut, la vue est superbe sur la mer, les falaises, le port. C’est le pouls de la ville », dit le Fécampois de toujours, un rien lyrique.

« Oui, c’est bien joli tout le discours autour des atouts de ce lieu, mais il n’est pas encore accessible. Le patrimoine n’est pas une affaire de droite ou de gauche ! Nous militons fermement pour son ouverture », lâche Jean-Claude Omont, le président des Amis du Vieux Fécamp (une association née en 1909, 300 adhérents, tournée vers la mémoire). C’est le même, qui dans nos colonnes, affirmait il y a quelques mois, très en colère : « Fécamp c’est la ville du poisson fumé. Mais nous, on s’est bien fait enfumer avec ces Pêcheries ! »

Pourtant, chaque interlocuteur concerné par ce dossier, soutenu dès le départ par tous les financeurs (Etat, Région, Conseil départemental, Europe) rencontré ou contacté se dit « malheureux » face à ce qui ressemble pour l’instant à un fiasco, financier et urbanistique. « Nous avons eu le temps de livrer quatre autres musées pendant que celui de Fécamp n’avançait pas ! », râle Sébastien Loiseau, professionnel du cabinet Basal, formé à l’Ecole d’architecture de Normandie (Rouen), originaire de la région de Dieppe. « S’il y en a bien un qui je ne voulais pas rater, c’était bien ce projet, et je peux vous dire qu’il n’est pas le fruit de l’imagination de Parisiens ! » Pour l’architecte, « six ans de chantier, cela fait beaucoup, surtout sans rallonge supplémentaire. » Un chantier marqué par de nombreux aléas et de coups de théâtre, des choix techniques contestés et préjudiciables à l’avancée du musée. « Des entreprises ont déposé le bilan avec les retards que l’on imagine. D’autres n’avaient pas les épaules pour poursuivre. Une réelle méfiance s’est installée. » En pleine campagne pour les municipales, début 2014, l’ancienne équipe fait visiter les lieux, après avoir fermé le musée des Terre-Neuvas (1), persuadée qu’il ouvrira quelques mois plus tard.

« TROIS POINTS BLOQUANTS »

Les rumeurs (bâtiment mangé par le sel, des murs ne supportant pas le belvédère...) les plus folles alimentent la polémique autour de ce dossier épineux devenu éminement politique, chacun se renvoyant les responsabilités. « Lorsque je suis arrivée aux affaires, il a fallu réunir tous les partenaires. Plus personne ne se parlait, et reprendre depuis le début », affirme Marie-Agnès Poussier-Winsback, qui évoque aujourd’hui « trois points bloquants » en voie de résolution : un escalier de secours ne répondant pas aux normes, un système de désenfumage peu efficace et des poutres secondaires insuffisamment résistantes face au feu. Autant d’éléments qui ne permettaient pas de recevoir l’avis positif de la commission de sécurité.

Remettant à plus tard la bataille judiciaire avec recherche de responsabilités, l’équipe actuelle privilégie l’ouverture du musée des Pêcheries, estimé au tout début à 8 M€ avant d’atteindre rapidement 15 M€. La facture s’est alourdie de 250 000 M€ en raison des nouvelles mises aux normes et des conséquences sur la scénographie.

Pour les deux parties, l’établissement doit être à la hauteur des ambitions affichées, jouer un rôle dans l’attractivité touristique à côté de la Bénédictine (110 000 personnes/an). Avec une base de 65 000 visiteurspar an, les Pêcheries devraient dégager 300 000 € de recettes annuelles (pour un prix d’entrée à 5 €). « Vous verrez, ce musée va fonctionner et attirer du monde. Et les entrées permettront de financer les investissements », prédit Patrick Jeanne. De son côté, la maire « souhaite qu’il marche bien vu les enjeux importants et ce qu’il représente. » D’autant que le site reste sous joug municipal malgré ses grandes visées touristiques. Une vingtaine de personnes (actuellement réparties dans différents services de la Ville) devrait le faire tourner. Et Marie-Agnès Poussier-Winsback prévoit des « coûts de fonctionnement (entretien, préservation des œuvres) non négligeables ». Il reste encore un challenge de taille : convaincre le Fécampois, échaudé, du bien-fondé de ce prestigieux musée.

PATRICIA LIONNET

(1) : le musée des Terres-Neuvas propose toujours des expositions temporaires dans une salle dédiée.

L’article de l’époque
Dans les éditions fécampoises et havraises du lundi 1er décembre 2008, l’idée qui a germé vers 2002 dans la tête de Patrick Jeanne et de son équipe prend forme. L’article évoque la pose de la première pierre, le samedi dans cet ancien bâtiment racheté dans les années 2000. Les élus espèrent alors que ce « bâtiment culturel, symbole d’un passé cher aux habitants de la cité des terre-neuvas » sera inauguré dans les deux ans... Si à l’époque, le nom de Pêcheries n’avait heurté personne, il est aujourd’hui contesté par trois associations locales (du Vieux Fécamp, de la côte de la Vierge et des Terre-Neuvas) qui demandent qu’il s’appelle « Pêcheries, des Arts et des Terre-Neuvas ». La maire ne ferme pas la porte mais n’est guère optimiste pour des raisons économiques (marque, publicité...).

Source : ICI

google map : ICI
 
#5 ·
Cela me surprend de voir que l'AURH ne connait pas bien Fécamp et ne savait même pas (pour certains de ses membres) qu'il y avait une vallée derrière... Ca me déstabilise un peu. Ca me fait d'autant plus peur que je suppose que ces mêmes personnes qui vont donner des idées d'aménagement ne savent certainement même pas comment les Fécampois utilisent leur propre ville.

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#6 ·
Un hôtel thalasso sera construit à Fécamp pour 2019

Projet. Un complexe comprenant un hôtel quatre étoiles, un restaurant et un centre de thalassothérapie sera construit à Fécamp, sur la Presqu’île du Grand quai, juste à côté du musée des Pêcheries.


Les visuels du projet d’hôtel thalasso. Sa construction est prévue sur la Presqu’île, à côté du musée des Pêcheries

L’idée a été initiée par la Ville. Mais « il s’agit d’un projet privé », a insisté la maire de Fécamp, Marie-Agnès Poussier-Winsback. D’ici 2019, un hôtel thalasso sera construit sur la Presqu’île du Grand quai, sur le terrain vague situé juste à côté du musée des Pêcheries. Le site comprendra un hôtel 4 étoiles, doté de 95 chambres, un restaurant, des salles dédiées aux séminaires et un centre de thalassothérapie.

Cet avant-projet a été...

Source : http://www.paris-normandie.fr/actua...-sera-construit-a-fecamp-pour-2019-AF8623002#

google map : https://www.google.fr/maps/@49.7622...4!1s-VJVRjug4EA94AKJdgK7XQ!2e0!7i13312!8i6656
 
#7 ·
Alors là, je ne comprends pas leur délire. C'était l'occasion de donner accès au cours d'eau, et eux vont construire un énième bloc de béton :nuts:

Enfin, heureusement, la chapelle sera conservée. Elle m'a toujours fait rêver et peur à la fois.

Une résidence senior pour 2019 dans l’ancien hôpital de Fécamp

Immobilier. Soixante-deux logements, destinés à des personnes autonomes âgées de plus de 60 ans, vont être construits sur le site de l’ancien hôpital, dans le quartier Saint-Louis à Fécamp.



Ci-dessus : le projet de la future résidence senior à l’angle des rues de l’Inondation et du Petit-Moulin, conçu par le cabinet d’architecture Alain Elie. Ci-contre : le même endroit aujourd’hui

D’ici septembre 2019, soixante-deux appartements destinés aux seniors vont sortir de terre sur le site de l’ancien hôpital de Fécamp, dans le quartier Saint-Nicolas. Le projet, impulsé par la Ville, est porté par le promoteur immobilier Hisia, spécialisé dans la construction et la gestion de résidences services seniors et étudiants.

Les appartements, en location ou en accession à la propriété, seront destinés à des personnes autonomes, âgées de plus de 60 ans.

« Ce n’est pas de l’Ehpad, précise Christelle Marzolf, directrice du pôle développement local et attractivité du territoire pour la Ville. C’est du logement avec service. Il y aura du T1 bis, du T2 et du T3. Cela pourra aller jusqu’à 70 mètres carrés de surface, ce qui n’existe pas en Ehpad. »

Une vingtaine d’emplois seront créés

« Un bâtiment neuf sera construit », explique Raynald Maheut, maire adjoint en charge du logement. Le rez-de-chaussée sera consacré à l’accueil et aux services, les logements seront situés dans les étages.

« Des appartements seront également installés dans des bâtiments réhabilités de l’ancien hôpital », ajoute le maire adjoint.

Un service de restauration est également prévu. La chapelle Saint-Louis, elle, sera transformée en local d’animations.

Côté environnement, au milieu des espaces verts qui s’intègreront au site, il est question de rouvrir la Valmont afin de « redonner à la rivière toute sa noblesse », indique Raynald Maheut. « Avec ce projet de résidence, l’objectif de la Ville est de redynamiser le quartier Saint-Louis et ses friches, de redonner de l’activité économique », ajoute-t-il.

À la clé : la création d’une vingtaine d’emplois. Parmi ceux-ci : des gardiens de nuit, des agents d’entretien, une animatrice de site...

Pour l’heure, la demande de permis de construire a été déposée au service urbanisme de l’agglo. C’est le cabinet d’architecture Alain Elie, de Rouen, qui en a conçu les plans.

Les travaux pourraient commencer fin 2017, début 2018. Après dix-huit mois de chantier, « la résidence devrait être terminée en septembre 2019, espère l’équipe municipale, en même temps que la nouvelle école d’infirmières qui sera construite juste à côté. »

Source : http://www.paris-normandie.fr/accue...19-dans-l-ancien-hopital-de-fecamp-LG8558793#

google map : https://www.google.fr/maps/@49.7573...4!1sbDqKakOsCzXiOwbJuqLOeA!2e0!7i13312!8i6656
 
#8 ·
Trop hâte de voir ça ! :banana: 10 ans d'attente !!!

Il y a une superbe vue d'en haut ! (j'avais posté des photos il me semble il y a 4/5 ans).

Le musée des pêcheries à Fécamp installe ses œuvres avant l'ouverture en décembre


Ouverture prévue le 8 décembre mais avant cela il reste encore beaucoup à faire notamment dans la partie "beaux arts". © Radio France - Kathleen Comte

Encore un peu de patience avant de pouvoir découvrir le musée des pêcheries à Fécamp. Le projet vieux de près de dix ans ouvrira ses portes le 8 décembre. Alors en attendant les équipes s'activent. Il faut dire que le musée est attendu puisqu'il accueillera les collections du musée des Terre-Neuvas et celles des Arts et de l’Enfance : deux musées fécampois aujourd’hui fermés. Entre installation des œuvres et derniers préparatifs il reste encore beaucoup à faire. On vous fait visiter les coulisses.


Philippe Malgouyres, conservateur au musée du Louvre à Paris est venu prêter main forte et donne ses instructions pour l'installation des œuvres. © Radio France - Kathleen Comte


Certaines œuvres attendent encore d'être déballées. En tout les visiteurs pourront découvrir cinq séquences : les beaux arts, l'enfance, la pêche, la galerie historique et l'ethnographie cauchoise. © Radio France - Kathleen Comte


Le nouveau musée de Fécamp s'est installé dans l'ancienne usine des pêcheries : une usine de transformation de poissons. © Radio France - Kathleen Comte


Les visiteurs commenceront la visite par le belvédère en haut - la montée se fera via un ascenseur panoramique - puis descendront pour découvrir les thèmes exposés aux différents étages. © Radio France - Kathleen Comte

Le musée ouvrira ses portes le 8 décembre. Prix d'entrée : gratuit pour les moins de 18 ans et 5 euros pour les autres. Un billet qui donne accès aux collections temporaire et permanente.

Source : https://www.francebleu.fr/infos/cul...vres-avant-l-ouverture-en-decembre-1506016959

google map : https://www.google.fr/maps/@49.7613...4!1sCtSqJZ3JDAQiuwZbj4vY_A!2e0!7i13312!8i6656
 
#9 ·
Enfin !!! :banana:


J - 20 avant l’ouverture du Musée des Pêcheries de Fécamp


Accrochage de la séquence enfance

Patrimoine. Dans vingt jours, le musée des Pêcheries ouvrira ses portes au public. En attendant, les collections prennent leur place.

Le compte à rebours est enclenché, le Musée des Pêcheries tant attendu des Fécampois sera inauguré le vendredi 8 décembre en présence de nombreuses autorités dont Françoise Nyssen, ministre de la Culture.

Si le nom du Premier ministre Édouard Philippe est évoqué, sa présence à cet événement n’a pas été confirmée de source officielle.

Pendant ce temps dans les coulisses, derrière la haute façade de l’établissement emblématique de ce bâtiment industriel du XXe siècle, les équipes du musée s’activent pour mettre en place les collections pour que tout soit fin prêt le jour J, soit le vendredi 8 décembre pour une inauguration à 14 h 30.

L’horloge retrouve son tic-tac

Il faudra cependant au grand public attendre 20 h pour franchir les portes du musée jusqu’à 22 h et voir ensuite à cette occasion la projection d’un spectacle son et lumière 4D sur la façade du musée. Cette création sera visible à plusieurs reprises tout au long du week-end.

En attendant ce jour, on peut suivre sur le site du musée quelques événements marquants. On y apprend que l’Association des Amis du Musée et le Rotary Club de Fécamp se sont associés pour offrir un magnifique portrait au musée. Il s’agit d’un portrait de Françoise Ursule Anastasie Délépine, née en 1819 à Ingouville, et décédée le 15 janvier 1898 à Étretat. En 1839, elle épouse Césaire Blanquet, propriétaire du célèbre « Hôtel des Artistes » d’Étretat.

Cette semaine, les agents ont terminé l’accrochage de la séquence Enfance et tandis que retentissaient les sirènes stridentes des derniers essais de sécurité incendie, la sonnerie plus douce de la jolie horloge cauchoise, offerte au musée en 1993 par Mademoiselle Francine Hinfray, était réglée.

Source : http://www.paris-normandie.fr/regio...-du-musee-des-pecheries-de-fecamp-GC11461340#

google map : https://www.google.fr/maps/@49.7614...4!1sfWC3KGu4qG0dsvWPzn3vUQ!2e0!7i13312!8i6656
 
#10 ·
L’ouverture du Musée des Pêcheries à Fécamp


Le Musée des Pêcheries de Fécamp - Photo : Didier Rykner

Dans notre article consacré à la recension du catalogue des peintures du Musée de Fécamp, nous écrivions que celui-ci devait ouvrir en 2011. Six ans plus tard, c’est enfin le cas. Une facture de 17,8 millions d’euros, soit plus du double du budget initial, plusieurs années de retard : il n’est pas exagéré de dire que le Musée des Pêcheries de Fécamp est né dans la douleur. Mais le résultat est remarquable et fera certainement oublier cet accouchement difficile.

L’idée de départ était excellente : il ne s’agissait pas uniquement de regrouper les deux musées existants alors à Fécamp, celui de la pêche appelé des Terras-Neuvas et celui des Arts de l’Enfance, mais aussi d’y ajouter les collections de Beaux-Arts qui n’étaient plus présentées depuis fort longtemps et qui ont pourtant un réel intérêt. Le tout devait se faire dans un bâtiment industriel réhabilité : l’usine des Pêcheries, installée sur le port, un bel édifice construit après la guerre en 1948. Le projet architectural, dû au cabinet Basalt Architecture, était par ailleurs excellent, ajoutant un belvédère au-dessus du bâtiment d’origine ainsi qu’une extension sur le côté sans dénaturer l’édifice.

Tout allait pour le mieux, mais de nombreuses difficultés surgirent sur le chantier que nous ne retracerons pas ici, d’une part car nous n’en connaissons pas tous les tenants et les aboutissants, d’autre part car cela n’a désormais plus d’importance : le musée est terminé et ouvert (ill. 1), et les collections sont bien mises en valeur. Les collections de Beaux-Arts ont par ailleurs bénéficié d’une importante campagne de restaurations.

[...]
Article complet : http://www.latribunedelart.com/l-ouverture-du-musee-des-pecheries-a-fecamp
 
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Reactions: UnHavrais
#11 ·
Fécamp : 40 logements sociaux dans le quartier Saint-Nicolas pour 2019



Immobilier. Habitat 76 va construire deux bâtiments de deux étages, rue Saint-Nicolas à Fécamp, à la place du hangar municipal. 40 appartements y sont prévus. Le chantier démarrera en octobre 2018. Livraison : fin 2019.

En 1947, les autocars Arcangioli y avaient installé leur siège. Puis ce hangar du quartier Saint-Nicolas à Fécamp s’était reconverti en bâtiment communal, abritant du matériel associatif. Dans les mois qui viennent, le terrain situé 12 rue Saint-Nicolas va complètement changer d’allure. Quarante logements sociaux y sortiront de terre. Un projet validé par le conseil municipal de Fécamp le 10 avril 2017, et porté par le bailleur social Habitat...

...

Source : http://www.paris-normandie.fr/fecam...e-quartier-saint-nicolas-pour-2019-KB12029535

google map : https://www.google.fr/maps/@49.7574...04.794365&pitch=0&thumbfov=100!7i13312!8i6656
 
#12 ·
Reportage sur FR3 en ce moment sur les Terre-Neuvas qui ont fait la richesse et la fierté de la ville.

Quelle tristesse quand on voit ce qu'est devenu la ville maintenant...
 
#13 ·
Quelques photos de la transformation de l'ancien hôpital de Fécamp en école d'infirmière. Je dois avouer que j'aime beaucoup cet ancien hôpital (son architecture). Heureusement tout de même qu'il a déménagé, parce qu'au XXIème siècle, c'était encore des rideaux qui séparaient les lits des patients !


Chantier transformation ancien hôpital de Fécamp, Fécamp
by William Willburt, sur Flickr


Chantier transformation ancien hôpital de Fécamp, Fécamp
by William Willburt, sur Flickr


google map : https://www.google.fr/maps/@49.7571...4!1sd_InpwPDTj_rJZv4u62I4Q!2e0!7i13312!8i6656
 
#14 ·
Amiante : un hangar à dépolluer et à démolir dans le quartier Saint-Nicolas à Fécamp

Urbanisme. La démolition du hangar Arcangioli, à Fécamp, s'avère délicate, car il contient de l'amiante. Cette opération a été expliquée aux riverains lors d’une réunion publique.




Au cœur du quartier Saint-Nicolas à Fécamp, ils habitent rue Saint-Nicolas, Bizet, de Giverville ou impasse Bellet. Un secteur en changement qui voit, déjà, la construction de l’Institut de formation aux soins infirmiers (Ifsi), et où démarre un autre chantier, sur le terrain qui servait de hangar à la compagnie d’autocars Arcangioli... Le but : démolir le bâtiment pour y édifier une résidence immobilière. C’est justement pour ce hangar qu’une trentaine de riverains sont venus à la mairie, ce vendredi 17 mai. Leur souhait : s’informer sur la démolition du vieux bâtiment qui contient de l’amiante.

Face à eux, la maire Marie-Agnès Poussier-Winsback est entourée des intervenants :...

...

Source : https://www.paris-normandie.fr/actu...le-quartier-saint-nicolas-a-fecamp-HB15052984

google map : https://www.google.com/maps/@49.757...97.298325&pitch=0&thumbfov=100!7i13312!8i6656
 
#15 ·
Niveau emplacement, c'est juste le top du top ! Dommage qu'architecturalement, ça soit très pauvre...

Un hôtel thalasso 4 étoiles à Fécamp à l’horizon 2022 avec la création de plus de 60 emplois

Projet. Un hôtel thalasso quatre étoiles verra le jour à Fécamp à l’horizon 2022. Les porteurs du projet ont montré aux conseillers municipaux à quoi ressemblera cet ensemble dédié au bien-être.




L’idée d’un hôtel thalasso sur la Presqu’île de Fécamp a été lancée par la maire Marie-Agnès Poussier-Winsback il y a plusieurs années. En 2017, cela avait déjà fait l’objet d’un projet présenté par un consortium privé.

Ce dernier avait finalement abandonné l’affaire.

Une nouvelle équipe a repris l’idée. Constituée de Marc Laubies, du groupe Odyssée Immobilier basé à Rouen, de Laurent Le Bouetté, un architecte Fécampois du cabinet Artefact, et de Christelle Cauet, représentant Normandie Thalasso Evasion, celle-ci a même bien avancé dans le projet. Lundi20 mai 2019, dans le but d’acheter à la Ville le terrain qui accueillera le futur hôtel thalasso, le trio a dévoilé ses plans au conseil municipal....

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Source : https://www.paris-normandie.fr/actu...-la-creation-de-plus-de-60-emplois-JB15058023

google map : https://www.google.com/maps/place/7...0x57434975e5d89613!8m2!3d49.755601!4d0.380774
 
#16 ·
Magnique bâtiment qui part en cendre et quu sera certainement remplacé par un bloc de béton sans âme…


Une photo de ce qu’il en reste ce jour…

 
#17 ·
#18 ·
Il va détonner dans le paysage. Il ne s’intègre pas du tout à l’environnement, c’est vraiment dommage de ne pas y avoir fait, si ce n’est une architecture iconique, au moins un rappel de la brique, du silex ou du galet…
 
#19 ·
#20 ·
#22 ·
Quand on sait ce qu’était cette ville au début de l’existance du Duché de Normandie (quasi capitale)…

Dans n’importe quelle région, le patrimoine serait bien plus mis en valeur ! Même le retour du Précieux Sang n’a pas fait de bruit…
 
#23 ·
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