Euh oui bonne idée et c'est pour cela que tu ouvres deux fois le même sujet. C'est pas un peu contre-productif non ?
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Lausanne: Quel modèle d'urbanisme?
Lausanne: Prix des Transports Publics
Peut-on détruire des immeubles historique?
Quel est, selon vous, la construction qui représente le mieux Lausanne?
Comment percevez-vous l'Arc lémanique?
Il s'agissait d'une erreur de manip. J'suis maladroit des foisEuh oui bonne idée et c'est pour cela que tu ouvres deux fois le même sujet. C'est pas un peu contre-productif non ?
http://www.batimag.ch/news/projets/les-travaux-du-centre-darchivage-ont-debuteCINÉMATHÈQUE SUISSE
Les travaux du centre d'archivage ont débuté
Les travaux de construction et de rénovation ont débuté en septembre. La première étape de rénovation du bâtiment existant devrait se terminer en mars 2012. Le nouveau bâtiment d'archivage, quant à lui, devrait être achevé et mis en service quelques mois plus tard, en août 2012.
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La Cinémathèque suisse (CS), le service suisse d'archives cinématographiques, entretient, pour le compte de la Confédération, du canton de Vaud et de la ville de Lausanne, l'héritage culturel de la création cinématographique suisse et étrangère. Les riches collections de la CS, dont certaines pièces menacent de tomber en ruine, doivent être stockées et entretenues avec le plus grand soin. Depuis 1988, la CS utilise un ancien atelier de reliure situé à Penthaz (VD) comme bâtiment d'archivage et d'exploitation.
Des défauts menacent les collections
Une analyse du fonctionnement et du bâtiment de la CS, réalisée en 2000, a révélé des défauts menaçant les collections et rendant impossible leur développement. Par arrêté du Conseil fédéral du 10 juin 2005, l'Office fédéral des constructions et de la logistique (OFCL) a été chargé de prendre des mesures d'urgence afin de préserver la sécurité et le fonctionnement de la CS et de permettre l'évolution à long terme de ses locaux.
Le projet prévoit la construction d'un nouveau bâtiment d'archivage souterrain (Penthaz II) ainsi que la réaffectation et la rénovation, en deux étapes, du bâtiment existant (Penthaz I). Le bâtiment d'archivage est conçu de telle sorte qu'il puisse être agrandi ultérieurement afin de faire face à l'augmentation du nombre des pièces à conserver. Cette extension, dont la réalisation est prévue à partir de 2020, permettra à la Confédération d'assurer à long terme la préservation du patrimoine audiovisuel helvétique.
Compte tenu de l'étude préliminaire et de l'estimation des coûts, le crédit d'engagement pour ce projet s'élève à 49,5 millions de francs.
Le concours d'architecture a été remporté par l'équipe d'études générales EM2N à Zurich.
http://www.24heures.ch/vaud-regions/actu-vaud-regions/fun-planet-devoile-nouveau-visage-2010-11-22La halle de loisirs Fun Planet dévoile son nouveau visage
RENNAZ | Ravagé par les flammes en 2009, le complexe ludique de Villeneuve devrait rouvrir à Rennaz en novembre 2011.
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© ATELIER D’ARCHITECTURE CHRISTOPHE CORTHAY | A Rennaz, le nouveau complexe s’étendra sur deux étages, contre trois à Villeneuve.
D.G. | 22.11.2010 | 14:57
«Un espace plus classe et chaleureux»… Tel sera le futur visage de Fun Planet, selon Patrick Perroud, directeur de Fun Bowling & Games SA qui gère le complexe. Détruit par un incendie en 2009, ce dernier déménage pour Rennaz où une halle flambant neuve sera construite l’an prochain.
Devisée à 15 millions de francs, l’édifice s’étendra sur deux étages, contre trois auparavant. «Toutes les distractions seront ainsi plus facilement accessibles», poursuit Patrick Perroud. La surface totale sera quelque peu réduite (de 11 000 m2 à 9000 m2) mais l’offre restera la même. Les fidèles du temple ludique retrouveront karting, bowling, billards et jeux vidéo. «Nous allons même agrandir la piste de karting qui passera de 2500 m2 à 4000 m2», annonce le directeur. Bar, espace lounge, coin enfant et salle de conférences compléteront l’offre. Les propriétaires du futur centre espèrent pouvoir inaugurer le complexe en novembre 2011.
La fameuse halle bleue et jaune que Fun Bowling & Games louait à Villeneuve avait été la proie des flammes en avril 2009. Un court-circuit sur un kart était à l’origine de l’incendie. Dans le hangar sinistré, les travaux d’assainissement ne sont toujours pas terminés.
http://www.24heures.ch/vaud-regions/actu-vaud-regions/visage-futur-quartier-bourg-connu-2010-12-15Le visage du futur quartier Sous-le-Bourg est connu
AIGLE | C’est le groupe formé du bureau d’architectes Lemanarc SA et le bureau d’architectes paysagistes Denogent SA qui a remporté le concours de ce gros projet d’habitations et de commerces.
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© LDD | La maquette du projet lauréat a été présentée ce matin à Aigle.
KARIM DI MATTEO | 15.12.2010 | 12:36
Près de 120 appartements, un centre commercial, des cabinets médicaux, des bureaux, un grand parking souterrain de 200 places. Le tout dans un quartier Sous-le-Bourg, contigu au cœur historique de la ville, qui se voudra piétonnier et plaisant sur ses 10 000 m2. Trois zones de verdure et des espaces de rencontre sont prévus. Telles sont les grandes lignes du projet retenu par le jury et la commune d’Aigle au terme du concours d’architecture. Le projet – quelque 50 millions de francs d’investissements selon les premières estimations – pourrait sortir de terre à partir de début 2012.
Sur les seize projets passés au crible, c’est celui du groupe formé du bureau d’architectes Lemanarc SA, basé à Lausanne, Zurich et Shangaï, et du bureau d’architectes paysagistes Denogent SA, basé à Prangins, qui a remporté la mise. Les auteurs se sont imprégnés des rues environnantes pour créer une densité construite répartie sur trois immeubles, qui se greffe facilement sur l’espace déjà bâti.
Propriétaire de la majorité des terrains, la Commune d’Aigle avait organisé des ateliers participatifs pour dégager le profil de ce futur quartier et fait approuver les grandes lignes d’un plan partiel d’affectation (PPA) par le Conseil communal. Ce dernier doit encore finaliser cette démarche. Deux investisseurs sont parties prenantes dans ce projet: la coopérative lausannoise Cité-Derrière, à laquelle la Commune a cédé un droit de superficie, et la société simple Le Centre, propriétaire contigu.
La Commune invite le public à visiter l’exposition des maquettes, plans et images de synthèse du projet lauréat et de l’ensemble des projets rendus (Rue industrielle 8, Bâtiment Giddey Stores SA, 1er étage). Celle-ci sera ouverte selon l’horaire suivant: samedi 18 décembre 10 h-17 h; du lundi 20 au jeudi 23 décembre 15 h-19 h; du lundi 10 au vendredi 14 janvier 15 h-19 h.
http://www.24heures.ch/vaud-regions...ecrie-centre-coop-gare-revu-baisse-2010-12-28Le projet décrié de centre Coop de la gare revu à la baisse
LES DIABLERETS | La levée de boucliers qui avait suivi la mise à l’enquête a contraint commune et propriétaire des terrains à revoir drastiquement leur copie
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© CHANTEL DERVEY | En août et septembre, les gabarits rendaient compte des volumes du projet. Une trentaine d’oppositions ont alors sanctionné le projet. Dès lors, les initiateurs proposent une nouvelle version plus raisonnable.
K.D.M. | 28.12.2010 | 14:57
Ormont-Dessus et la société des Transports Publics du Chablais ont clairement dû se résoudre à revoir leurs plans de bâtiments prévus aux abords de la gare des Diablerets, sur des terrains du transporteur. La première mouture mise à l’enquête fin août avait en effet débouché sur une trentaine d’oppositions (24 heures du 1er octobre).
L’édifice planifié aux abords directs des locaux de la gare a donc été éliminé au profit de la cinquantaine de places de parc qui aurait fait les frais de la nouvelle construction. Un cabinet médical verra bien le jour, mais dans le bâtiment rescapé, qui a lui aussi vu ses dimensions réduites. Il accueillera deux surfaces commerciales au rez-de-chaussée.
La Coop, à l’étroit dans ses locaux actuels, élira domicile comme prévu en souterrain sur 800 m2 sans compter ses locaux de stockage. Le projet reste bien entendu conditionné à une nouvelle mise à l’enquête.
http://www.24heures.chDivisés sur leur avenir, les Copétans débattent
| Le Conseil régional invite la population à des ateliers de travail pour réfléchir aux projets d’urbanisation
Y.M. | 05.01.2011 | 22:14
Deux visions s’affrontent sur l’avenir du bourg de Coppet. Les autorités politiques en place, soutenues par le Conseil régional et la propriétaire du château, veulent bâtir un écoquartier pour 2000 habitants-emplois de chaque côté des voies CFF.
Les opposants, réunis sous la bannière de Vision Coppet, aimeraient interdire toute construction côté lac des voies, afin de préserver ce cadre paysager et une certaine qualité de vie dans le bourg. Comme les deux camps sont déterminés, le Conseil régional a décidé d’ouvrir un espace de dialogue. Depuis septembre 2010, quatre ateliers de travail ont déjà réuni des représentants de la société civile et des membres des autorités locales et cantonales. Les discussions ont permis de trouver des dénominateurs communs.
Lors de la prochaine rencontre prévue le 19 janvier dès 19 heures à la salle communale de Coppet, les habitants de la commune sont tous invités à assister au débat. Les personnes qui ont besoin d’information peuvent en trouver sur le site de la commune.
http://www.24heures.ch/node/273648Milliardaire, Kristian Siem veille sur «ses» Diablerets
LES DIABLERETS | L’armateur norvégien, principal investisseur dans la station des Ormonts, s’attend à une année 2011 cruciale.
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© Vanessa Cardoso | Kristian Siem, armateur norvégien de renom international et artisan majeur du développement des Diablerets.
Karim Di Matteo | 05.01.2011 | 14:35
– Après l’échec, fin 2009, de la méga-télécabine à 34 millions qui aurait pu relier Les Diablerets au col du Pillon – et donc Villars au Glacier 3000 –, vous aviez fait part d’un certain agacement. Où en est votre motivation à investir aux Diablerets?
– Intacte. Et plusieurs projets en cours le prouvent. Certes, ce projet constituait un enjeu important pour Villlars, Les Diablerets et le Glacier, tous investisseurs. Mais nous nous sommes heurtés au veto de plusieurs propriétaires de terrains. Finalement, nous avons opté pour la reconstruction de la télécabine existante – dont la concession arrive à terme en 2012 – pour 12 millions. Notre participation sera conditionnée par les contributions cantonales.
– La fermeture de l’Hôtel des Diablerets a été annoncée au profit d’appartements à la vente. C’est un coup dur de plus.
– On ne peut pas faire d’activité hôtelière avec des pertes infinies. Aujourd’hui, nous devons admettre que nous avons dépensé beaucoup d’argent en vain et qu’il faudrait le remodeler entièrement pour qu’il réponde à la demande. Nous préférons nous concentrer sur le projet de nouvel hôtel dans le secteur des Iles.
– En définitive, que manque-t-il aux Diablerets?
– Le ski doit rester la priorité. Les millions dépensés par DVVM pour les canons à neige et le matériel de préparation des pistes top niveau sont essentiels. Il faut ensuite développer les attractions. Le touriste ne vient pas pour se coucher à 19 h! Des restaurants, des dancings, etc. Tout en gardant la qualité et l’atmosphère du village.
– Outre les lits hôteliers, l’offre en commerces a tendance à diminuer.
– Pensons à rendre la station plus attractive, le reste suivra, c’est un tout.
PRÉSENTATION DU PROJET POUR LA GARE MARCHANDISES
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C'est le 1er juillet 2008 que les CFF présentaient les résultats du concours organisé en vue de l'aménagement du quartier de l'ancienne gare de marchandises. Le projet primé, Digits, crée quatre ensemble de bâtiments s'insérant dans le tissu viaire du quartier de Plan-Dessus. Les rues nord-sud sont poursuivies jusqu'à proximité des voies.
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Le nom du projet, "Digits", signifie "Doigts" en anglais. Le nom s'explique en regardant le plan général de la ville intégrant ce projet: les constructions envisagées sont directement en relation avec les rues de Plan-Dessus et constituent une espèce de main, chaque rue étant un doigt et le pouce le prolongement en direction de la gare du funiculaire.
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Le concours a suscité cinq réponses de bureaux d'architectes, qui ont été évalués par un jury composé de représentants des CFF et de la commune ainsi que des experts. Deux de ces projets ont été retenus pour un second tour pour lequel chacun a pu être adapté en fonction des remarques du jury.
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Le projet Digits prévoit la construction d'un bâtiment-socle le long des voies, prévu pour des activités commerciales et d'affaires. De plus, chaque module comptera un bâtiment bas et un bâtiment plus haut encadrant un espace commun. Ces bâtiments seront dévolus à des activités d'habitat et/ou mixtes.
http://www.vevey.ch/N5754/presentation-du-projet-pour-la-gare-marchandises.html
LE PROJET COURONNÉ POUR CASTILLO ET RIVAGE
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La Municipalité a dévoilé jeudi 18 mars 2010 le résultat du concours lancé il y a quelques mois pour le réaménagement du quartier du Rivage: réfection de la Salle del Castillo et remodelage du Jardin du Rivage sont maintenant en ligne de mire, probablement à mi-2011.
L'exposition demeurera visible jusqu'au 1er avril. Elle est ouverte du mardi au vendredi de 18h à 20h et le samedi de 17h à 20h à la Salle des Vignerons, au 1er étage du Restaurant du Rivage.
La suite des opérations verra la finalisation du plan de quartier, qui s'adaptera parfaitement au projet. Ce document sera ensuite mis à l'enquête puis soumis au Conseil communal.
Une fois cette première étape achevée, la Municipalité entend présenter le projet de rénovation de la Salle del Castillo, priorité dans cette zone, entre fin 2010 et début 2011.
Les vainqueurs ont eu le courage de reconstituer de l'ancien "chapeau" qui coiffait la tête de la Salle del Castillo à l'origine.
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La maquette et le plan général du projet gagnant font ressortir ses caractéristiques: une transversale bien marquée entre Louis-Meyer et la rive, accompagnée d'une pergola; au bord du lac, une large zone de promenade avec des gradins de bois tout le long du lac pour la baignade.
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Le lac devient véritablement accessible pour la baignade, sur toute la longueur du parc. Au bout, le kiosque est installé sur pilotis à côté du débarcadère (photo ci-dessus).
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La "tête" du Casino du Rivage sera entièrement réaménagée, alors que la salle elle-même garde ses proportions actuelles. Sous l'entrée seront aménagés Foyer et Loges, le balcon sera réhabilité et des salles de réunion créées, dont une dans le nouveau toit.
et + encore
Je trouve que c'est une bonne idée, on pourrait faire de même à Lausanne! (La louve est visible depuis la cage d'escalier du 3 ème sous-sols du parking de la Riponne.)La Veveyse pourrait réapparaître au cœur de Vevey
PROJET FOU? | Resortir la rivière de sa cachette: l’idée fait son chemin et séduit bon nombre de veveysan.
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© DR | A la fin des années 1950, la Veveyse coulait encore devant la gare...
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© CHANTAL DERVEY | ... aujourd'hui, un parking a pris sa place.
Claude Béda | 01.02.2011 | 15:03
Pourquoi ne pas faire réapparaître la Veveyse à la place de la Gare de Vevey, où elle est invisible depuis les années 70? L’interpellation du conseiller communal Stéphane Molliat a trouvé un écho auprès de la Municipalité: «Cette idée figurera dans le cahier des charges du concours pour le réaménagement de la gare, explique Laurent Ballif, syndic. J’y suis personnellement aussi favorable.»
L’idée serait de démolir le parking à l’est du Centre Saint-Antoine, voire celui de La Poste, au-dessous desquels s’écoule la Veveyse. A l’époque, la couverture de la Rivière à la place de la Gare visait surtout à réunir les quartiers est et ouest de la ville. Ce qui est moins d’actualité aujourd’hui.
Et vous, qu'en pensez-vous?
Source: article 24 heures
L’impétueuse Veveyse s’apprêteà resurgir au cœur de la ville
Vevey | L’idée de faire réapparaître la rivière à la place de la Gare est lancée. Les prochains élus locaux trancheront
Claude Béda | 01.02.2011 | 23:59
Longtemps considérée comme une épée de Damoclès sur la cité, en raison de ses énormes crues, la Veveyse voit sa cote d’amour remonter. «Pourquoi ne pas la faire réapparaître au cœur de la localité dans le cadre du prochain réaménagement de la place de la Gare?» demande Stéphane Molliat dans une interpellation à la Municipalité de Vevey. Dans son atelier d’ébéniste à la rue de la Madeleine, proche de la Veveyse, le conseiller communal déplore que la torrentueuse rivière ne s’offre plus aux regards des passants du centre-ville depuis sa couverture, en 1971. «Il faut la rendre aux habitants, en mettant en valeur ses rives, propose-t-il. On pourrait démolir le parking à l’est du centre commercial Saint-Antoine, voire celui de La Poste, pour créer, par exemple, des escaliers où les gens viendraient pique-niquer.»
Valorisation des rives
L’idée figurera dans le cahier des charges des travaux prévus à la place de la Gare. «La décision finale appartiendra aux prochains élus, relève Laurent Ballif, syndic. Pour ma part, je suis aussi favorable à une valorisation des rives de la Veveyse, de l’embouchure à Gilamont. Mais supprimer le parking de La Poste est délicat.»
La proposition de Stéphane Molliat plaît à Yves Christen, ancien syndic de Vevey, mais aussi ingénieur et ancien président romand de l’Association suisse pour l‘aménagement national (Aspan). «En 1971, j’ai fait partie des conseillers communaux qui ont voté pour la couverture de la Veveyse au centre-ville, confie-t-il. Mais c’était l’époque du béton impitoyable. Aujourd’hui, cette idée de découvrir la Veveyse a du sens. Elle s’inscrit dans une tendance visant à redonner à la nature sa place dans les villes, où de plus en plus de personnes viennent vivre. Il s’agit donc d’améliorer leur qualité de vie.»
Spécialiste des crues – il a notamment été chef de la cellule de crise lors du débordement du Pissot, à Villeneuve, en 1995 –, Olivier Français ne voit pas de danger à remettre la Veveyse au jour en plein cœur de Vevey. «Les crues sont traitées en amont, vers le stand de tir, explique le municipal lausannois. Par contre, du point de vue urbanistique, ce projet risque de couper la ville en deux.»
En 1971, c’est précisément dans le but de réunir l’est de la ville avec son nouveau quartier de l’ouest, alors en construction, que la couverture de la Veveyse à la place de la Gare avait été réalisée. Cet ouvrage a remplacé le petit pont qui reliait les deux secteurs. On craignait une désertification de l’avenue Guisan et du nouveau centre commercial Saint-Antoine, réalisé en 1973. Aujourd’hui, il n’y a plus besoin d’inciter les gens à se rendre à l’ouest, au centre Midi-Coindet, ou ailleurs sur cette même avenue qui fourmille d’activités. «Je ne pense pas que la suppression d’un, voire des deux parkings divise la cité du point de vue urbanistique, estime Yves Christen. Il s’agira cependant de les remplacer, plutôt derrière la gare, à mon sens.»
Quant aux travaux à envisager, ils ne seraient pas démesurés, selon les spécialistes. Il s’agirait d’enlever les dalles sur lesquelles reposent les parkings. Ce qui serait réalisable sans toucher à la structure portante existante. Mais, l’opération n’en aurait pas moins un coût. Dans les débats, la Veveyse a déjà resurgi.
Source: 24heures.ch
Communiqué ville de MontreuxUn village neuf se dessine sur les hauts de Montreux
URBANISME | Longtemps pressentis pour accueillir l’hôpital unique de la Riviera, les Grands Prés de Baugy ont fait l’objet d’un concours international d’architecture. Le projet lauréat dessine le futur de ce lieu stratégique.
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© DR | Imaginé par un collectif de jeunes architectes italiens, le projet «Synapsiedlung» se veut un système quasi organique de relations entre bâtiments et villages, pour favoriser finalement le contact entre les individus.
Marc Ismail | 19.03.2010 | 00:04
Pour les Montreusiens, c’est un morceau de campagne, oublié le long de l’artère menant à l’autoroute. Mais pour les architectes, les Grands Prés de Baugy sont un formidable terrain d’expérimentation et d’imagination du vivre ensemble de demain. «C’est un lieu fascinant, inscrit dans un paysage très riche, avec par-dessus le marché un relief tortueux passionnant à exploiter», s’enthousiasme Elena Cogato Lanza, présidente du jury d’Europan et enseignante à l’EPFL. Mis à disposition de concurrents de 17 nationalités dans le cadre de ce concours européen, ces 2 hectares et demi de prairie vallonnée ont débridé les imaginations.
Volonté de concrétiser
Et à ce jeu-là, ce sont de jeunes Italiens qui se sont montrés les plus inspirés. Leur projet, baptisé «Synapsiedlung» – contraction de «synapse» et de «Siedlung», «lotissement», en allemand –, consiste en un ensemble de 11 bâtiments à trois branches, comme autant de connexions entre des «neurones» symbolisant les lieux de sociabilisation. «Le vide est aussi important que le bâti. C’est là que s’opère la rencontre, explique Lapo Ruffi, l’un des lauréats. Et nous voulions un projet qui s’inscrive dans le tissu existant tout en se projetant vers l’extérieur.» Ces espaces de connexion constituent 87% d’un projet qui créerait une centaine de logements, mais qui ambitionne surtout de lier entre eux les villages de Clarens, de Chailly et de Baugy. Si rien ne garantit aujourd’hui que ce projet devienne réalité, la volonté des autorités montreusiennes – qui n’étaient pas représentées dans le jury – est cependant claire. «Nous sommes très attachés à cette idée, qui nous a immédiatement séduits. Nous souhaitons que le Conseil communal et la population se l’approprient», plaide le syndic, Pierre Salvi. Une volonté à laquelle les vainqueurs sont les premiers à s’associer. «Statistiquement, un projet Europan sur deux se concrétise. Etant donné que nous avons gagné l’an passé en Italie et que rien ne bouge là-bas, nous misons beaucoup sur Montreux!» rigole Vanessa Giandonati, membre de l’équipe distinguée. Un préavis pour un crédit d’étude devrait être déposé devant le Conseil communal avant l’automne.
Source: 24 heures
Source: 24heures.ch 15.02.2010Aigle, gare centrale d’une nouvelle agglomération
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Source: Flickr
«Nous sommes certainement la seule commune de 8000 habitants à avoir la gare d’une ville de 80 000 personnes.» Syndic d’Aigle, Frédéric Borloz n’a pas seulement le sens de la formule. Sa petite cité est devenue le nœud de correspondance d’une vaste région, qui se transforme en agglomération. Le Chablais, vaudois et valaisan, est en plein boom urbanistique. Résultat de la pénurie de logements sur le reste de l’arc lémanique, de plus en plus de familles choisissent de venir s’établir autour de Monthey et d’Aigle. La plupart de ces habitants gardent cependant leur travail à Lausanne ou à Genève et se transforment en pendulaires. Conséquence: les trains sont toujours plus bondés entre Aigle et Lausanne. De quoi provoquer la grogne des Chablaisiens. Le député socialiste d’Ollon Michel Renaud n’est pas tendre avec les CFF: «Ils ont relégué au second rang la ligne du Simplon. Nous avons toujours les vieux wagons, les trains sales.» Sans compter ces rames rutilantes du RER vaudois qui ont pour terminus Villeneuve. Les élus du Chablais ont bien l’intention de forcer le canton à les faire continuer jusqu’à Aigle.
Source: 24 heures.ch du 15.02.2011La ligne du Simplon veut retrouver son lustre passé
En réclamant des études, le Valais remet sur le devant de la scène un axe mythique oublié de tous, sauf des voyageurs
«En apprenant que le Conseil d’Etat n’avait pas répondu tout de suite à la demande des Valaisans de financer l’étude de modernisation de la ligne du Simplon, j’ai bondi.» L’ancien conseiller aux Etats Michel Béguelin (PS) ne comprend pas l’absence de réponse du gouvernement vaudois à une convention de préfinancement de 3 millions de francs (24 heures du 8 février [SSC thread "Valais"]).
Une incompréhension partagée par le conseiller national Olivier Français (PLR): «Ce n’est pas possible de laisser traîner un tel dossier pour la crédibilité du canton vis-à-vis de nos voisins. Tout ce qui touche au nœud ferroviaire de Lausanne est crucial pour l’ensemble de la Suisse occidentale et touche une vaste région.»
Un réveil «salutaire»
Ces deux spécialistes jugent salutaire le réveil provoqué par les autorités de Sion autour de l’axe ferroviaire le plus court entre Milan et Paris. Ces dix dernières années, le lobby autour du Simplon s’était un peu endormi. Cela n’a pas empêché les voyageurs de plébisciter une ligne qui voit sa fréquentation augmenter de 5 à 10% chaque année depuis 2004, selon les CFF.
Résultat de cette hausse plus élevée que la moyenne nationale, il n’est désormais plus rare de voir des gens contraints de rester debout entre Aigle et Lausanne, même s’ils ont un billet de première classe. Le parcours entre Vevey et Lausanne est même le plus surchargé de Suisse. Bref, les CFF jugent urgent de prévoir le passage de trains à deux étages.
Ironie de l’histoire, l’ancienne régie n’a pas toujours voulu agrandir les tunnels entre Lausanne et Saint-Maurice. En 2000, Michel Béguelin s’était battu pour permettre le passage de trains-conteneurs de grandes dimensions, et ainsi relancer le transit de marchandises entre Vallorbe et l’Italie. «J’ai eu la surprise de recevoir une réponse du conseiller fédéral Moritz Leuenberger m’annonçant que les CFF jugeaient ces travaux inutiles.»
Le poids du Lötschberg
Depuis cet échec, les lobbyistes du Simplon ont surtout mis leur force dans la réalisation du tunnel de base du Lötschberg. Ouvert en 2007, il a effectivement permis de moderniser la ligne du Simplon, mais seulement du côté de Brigue. Le Vieux-Pays risque donc de pencher du côté de Berne. «La ligne du Simplon est vitale pour le Valais, elle représente notre lien essentiel avec l’arc lémanique et la Suisse romande», martèle Jacques Melly (PDC), chef du Département valaisan des transports.
Le souhait de modernisation ne concerne pas seulement le passage des trains à deux étages et ceux de containers, mais aussi une diminution des temps de parcours. Avec son parcours rectiligne dans la vallée du Rhône, la ligne du Simplon est la seule de Suisse à pouvoir se transformer à moindres frais en axe à grande vitesse. Faire circuler des trains à 200 km/h entre Martigny et Sion était d’ailleurs une des nombreuses promesses romandes non tenues de Rail 2000.
Le coût total des travaux est estimé entre 50 et 100 millions de francs. Les études, d’un coût de 3 millions – dont 1,2 pour Vaud –, permettront d’en savoir plus. Chef du Département des infrastructures vaudois, François Marthaler prévoit désormais de rencontrer rapidement son pair valaisan. «Après l’agrandissement du nœud ferroviaire de Lausanne, la ligne du Simplon est la priorité des priorités.»
Mehdi-Stéphane Prin
Source: 24 heures.chLa justice valide le projet immobilier dans le parc Piguet
YVERDON-LES-BAINS | Un bâtiment de soixante logements dans le parc Piguet, poumon vert d’Yverdon? Par deux fois la ville a refusé le projet. Mais, devant le Tribunal cantonal, propriétaire et promoteur ont obtenu gain de cause.
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© JOANA ABRIEL | A la place du vieux mur du parc Piguet s’érigera, peut-être, un bâtiment de 18 m de hauteur, autant de largeur, et 116 m de longueur.
Vincent Maendly | 19.03.2009 | 00:04
Voilà plus de trois ans que les autorités d’Yverdon bataillent pour préserver au mieux le parc Piguet. Trois ans qu’elles luttent contre un projet immobilier qui n’a «aucune sensibilité architecturale», selon le municipal Paul-Arthur Treyvaud. Dans un énième rebondissement, le Tribunal cantonal a donné raison au propriétaire du terrain, l’Hoirie Piguet, et au promoteur, la société industrielle Le Maupas.
Aspect monolithique
Un bâtiment comprenant soixante appartements sur sept niveaux verra donc peut-être le jour dans le fameux parc Piguet. Plus d’un hectare de verdure, en plein cœur de la ville, chéri de nombreux Yverdonnois qui rêvent de le voir devenir public.
Principal grief des autorités contre le projet: son aspect monolithique. «On voulait que la façade soit animée, avec des décrochements par exemple. Que des corps de bâtiments distincts apparaissent», plaide Paul-Arthur Treyvaud. Nombre d’opposants se sont aussi manifestés, tels que Pro Natura et la Société du castrum. Mais le fait est là: le projet respecte le plan de quartier voté en 2003. «En fait, il en exploite les possibilités au maximum», déplore l’édile.
Pour motiver un second refus, en mai 2008, les autorités ont voulu établir rapidement un nouveau plan de quartier. Le Conseil communal a même débloqué 215 000 francs en urgence à cet effet. Bientôt achevé, ce nouveau plan de quartier risque pourtant de s’avérer inutile. Le Tribunal cantonal n’en a en effet pas tenu compte. En clair: si un nouveau plan de quartier devait justifier un refus du permis de construire, cet argument devait intervenir lors du premier veto et non du second.
Jusqu’au TF
Reste-t-il une solution? «Oui, rentrer en négociations avec le promoteur», évoque Markus Baertschi, chef du Service de l’urbanisme et des bâtiments. L’achat de la parcelle semble être la seule alternative, pour les autorités, afin d’éviter la construction du «paquebot» redouté. La ville compte aussi faire recours au Tribunal fédéral, même si ses chances de succès sont minces. Histoire d’avoir tout tenté.
Chronologie
OCTOBRE 2005 Un bâtiment prévoyant soixante-huit logements est mis à l’enquête publique. Il suscite beaucoup d’oppositions et le permis de construire est refusé par la ville.
NOVEMBRE 2006 Un nouveau projet de soixante logements (2146 m2 de surface bâtie) est mis à l’enquête publique.
MARS 2007 Nouveau refus du permis de construire. Cette fois-ci, propriétaire et promoteur font recours.
JANVIER 2008 Le Tribunal cantonal donne tort aux autorités, qui doivent alors prendre une nouvelle décision.
MAI 2008 La ville refuse encore le projet, en invoquant un article de loi qui l’y autorise pour autant que d’ici à huit mois, un nouveau plan de quartier soit établi. Propriétaire et promoteur font à nouveau recours devant l’instance cantonale.
DÉCEMBRE 2008 Le Conseil communal libère 215 000 francs pour financer la création de ce nouveau plan de quartier.
JANVIER 2008 Sur requête de la ville, le Service du développement territorial lui donne six mois supplémentaires pour boucler le nouveau plan de quartier.
MARS 2008 Le Tribunal cantonal admet le recours du propriétaire et du promoteur et valide, de ce fait, la construction du bâtiment. Le nouveau plan de quartier, presque achevé, est inutile.
24 heures.ch
24 heures.chLe parc Piguet d’Yverdon révèle des trésors enfouis de nature exceptionnelle
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© Bureau cantonal de l'information | Vue d'ensemble du chantier. (photos)
La réalisation d’un projet immobilier a nécessité la mise en œuvre d’impor-tantes fouilles archéologiques. Des pièces de bois datées de 690 avant notre ère attisent la curiosité
«Oui, les découvertes que nous avons effectuées sont exceptionnelles. Et à plusieurs égards.» Responsable des fouilles conduites par l’entreprise Archeodunum (sur mandat de l’Archéologie cantonale) non loin du centre d’Yverdon-les-Bains, François Menna ne cache pas son enthousiasme devant les vestiges mis au jour.
Les travaux conduits depuis quatre mois au parc Piguet sont dus à la future réalisation d’un projet immobilier. Les immeubles se dresseront en bordure du site où les Romains avaient érigé un castrum, au début du IVe siècle de notre ère. Dans les niveaux inférieurs de leurs fouilles, les archéologues ont ainsi découvert d’imposantes pièces de bois travaillé.
D’après la datation dendrochronologique provisoire opérée sur deux d’entre elles, elles dateraient respectivement de 190 et de 690 avant Jésus-Christ, soit de l’âge du fer. «Ce qui rend ces découvertes exceptionnelles, c’est l’état de conservation du bois, d’une part, mais aussi la dimension de ces carrelets», reprend l’archéologue. Pour l’heure, il est encore trop tôt pour déterminer leur fonction exacte. Mais elles devraient néanmoins livrer leurs secrets au terme des fouilles qui s’achèveront dans quelques semaines. «Elles pourraient avoir été partie d’un pont ou d’un bateau. Mais il semble en tout cas acquis qu’elles n’étaient pas destinées à un petit village de pêcheurs, mais à quelque chose de plus important, qui pourrait bien modifier nos connaissances de l’Yverdon de l’époque.»
Le dégagement des différents niveaux superposés a également permis d’identifier quelques structures datées entre l’an 400 et l’an 600 de notre ère. Plus profondément, le sous-sol yverdonnois a révélé la présence d’un quartier d’habitation de l’agglomération romaine d’Eburodunum (soit la cité des ifs, le nom d’Yverdon à ce moment-là).
Plus bas, c’est une portion du rempart en bois et en pierre sèche de l’oppidum gaulois qui a été dégagé. Soit un rempart daté de 81 avant notre ère. Et plusieurs alignements de pieux, antérieurs, ont été découverts. Ils avaient été installés en bordure de l’ancien cours de la Thièle qui coulait alors à cet endroit.
La circulation, un enjeu majeur pour Vevey (24heures.ch)La circulation, un enjeu majeur pour Vevey
ELECTIONS | Les futurs élus devront empoigner la problématique de la circulation en ville. Et son corollaire: le stationnement.
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© JEAN-GUY PYTHON | Le rond-point situé entre la gare CFF et les centres commerciaux veveysans fait grincer des dents plus d’un automobiliste.
Christophe Boillat | 22.02.2011 | 00:00
Gestion du trafic
C’est indéniablement LE point noir de Vevey. Le parti qui aura la meilleure solution pour trancher ce nœud gordien aura indéniablement la faveur de l’électorat. Tous les jours, surtout aux heures de pointes, les voitures venues de l’est, de l’ouest et du nord échouent au rond-point situé entre la gare CFF et les centres commerciaux.
Les feux tricolores, loin de réguler le trafic, ajoutent un peu plus à la confusion. Les bouchons sont légion. La taille des parkings à disposition péjore la situation. A décharge de la Municipalité en place: le refus du Conseil communal, en 2009, de créer un parking souterrain de 400 places sous la place du Marché.
Les partis avancent en rangs serrés pour proposer des solutions à ce problème. Le dossier figure même en tête des priorités. Le PS propose l’agrandissement de 1 ou 2 niveaux du parking du Panorama, et la création d’autres parkings en sous-sol. Vevey Libre défend l’idée d’un grand parking derrière la gare CFF et plusieurs autres en périphérie immédiate du centre historique.
Le PLR imagine deux grandes aires de stationnement souterraines: 400 places sous la gare, 600 sous la place du Marché. Les deux reliées par un tunnel, le tout financé par un partenariat public-privé.
Urbanisme et logement
Durant cette législature, la population est passée de 17 400 à 18 500 âmes (+ 6%). Indéniablement, Vevey est attrayant. L’enjeu est de continuer à accueillir les futurs habitants. Or le territoire communal est exigu et la pénurie d’appartements une réalité: charge aux partis d’apporter des réponses à cette problématique.
L’aide et le cautionnement aux coopératives de logements, en achetant des immeubles ou en incitant des propriétaires à vendre leurs biens, ou la transformation de structures en logements protégés sont des pistes avancées par plusieurs partis. Le quartier Est, parent pauvre de la ville, offre des possibilités.
Idem pour les projets privés à l’Ouest, du côté de l’ancienne gare de marchandises et de la parcelle qui abritait les Temps Modernes. La rénovation tant attendue de la salle del Castillo, très prisée des sociétés locales, et le réaménagement du jardin du Rivage devraient devenir réalité dans les années à venir.
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Fusion
Le projet d’unification des 10 communes de la Riviera (Blonay, Chardonne, Corseaux, Corsier-sur-Vevey, Jongny, La Tour-de-Peilz, Montreux, Saint-Légier, Vevey et Veytaux) sera au cœur de cette législature. Quand bien même le vote populaire sur la création de ce qui deviendrait la 7e ville de Suisse est agendé au début de la législature suivante, en 2016. Depuis le début du processus, Vevey, notamment par la voix de son syndic, Laurent Ballif, fait figure de locomotive pour ce projet. Les futurs édiles de la ville parviendront-ils à garder la main et surtout, à convaincre?