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CONCARNEAU - Actu urbaine & architecturale

4557 Views 5 Replies 1 Participant Last post by  cochise75
Concarneau est une commune de la région Bretagne, située dans le département du Finistère.

Population : 19 199 habitants
Superficie : 41,08 km²

Elle fait partie de l'intercommunalité de Concarneau Cornouaille Agglomération, qui compte 9 communes et 49 929 habitants, sur 371,28 km².

Site de la ville de Concarneau : http://www.concarneau.fr/ville/
Site de l'office de tourisme : http://www.tourismeconcarneau.fr/
Site de l'intercommunalité de Concarneau Cornouaille Agglomération : http://www.concarneau-cornouaille.fr/

Page Wikipédia de la ville : https://fr.wikipedia.org/wiki/Concarneau


concarneau by Christine Y-K, sur Flickr
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Concarneau. Le lotissement de Kersalomon sort de terre

La première pierre des 20 logements locatifs de Lanriec lance le projet Opac. Une opération à destination des jeunes et des actifs, entre lots libres, locations ou accession à la propriété. A des prix abordables.

A 300 mètres à l’Est du bourg de Lanriec, les entreprises de construction sont à l’œuvre depuis le mois de juin au sud de la parcelle de 3,4 ha destinée à accueillir le nouveau lotissement de Kersalomon. Une ambitieuse opération immobilière lancée par l’Opac Quimper-Cornouaille dans l’objectif avoué de permettre l’installation de jeunes couples et des actifs, à Concarneau. Un projet varié qui propose 30 logements locatifs (20 appartements et 10 maisons) ;12 maisons en accession sociale à la propriété et 22 lots libres de constructeurs.

Jeudi après-midi, pour marquer le début des travaux, André Fidelin, le maire, Marie-Christine Coustance, la présidente de l’Opac de Quimper, ainsi que Nicole Ziegler, conseillère départementale, ont scellé la première pierre de ce qui deviendra dans un futur proche les bâtiments abritant 20 logements locatifs au sud du lotissement. La livraison des logements, du T2 au T5, est prévue en 2019 pour un loyer situé entre 270 € et 410 €.

Au nord, les 22 lots libres, entre 384 et 631 m2, ont déjà trouvé preneurs, partis comme des petits pains le premier jour de leur commercialisation début juin. Des lots attribués essentiellement aux jeunes couples, en résidence principale.

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Article complet : http://www.ouest-france.fr/bretagne...tissement-de-kersalomon-sort-de-terre-5246152
Tourisme à Concarneau. Les visiteurs en nombre en dehors de l'été

La moitié des visiteurs qui passent les porte de l'office de tourisme viennent entre début juillet et fin août, mais ils sont presque autant à privilégier la présaison, d’avril à juin, et l’arrière-saison, de septembre à octobre.

Le lundi 4 septembre, le premier jour de l’après-saison, 1 700 personnes ont franchi les portes de l’office de tourisme. La comparaison avec les 1 600 visiteurs du 3 juillet, à l’amorce de la saison estivale (même si les vacances scolaires n’avaient pas encore commencé), dit beaucoup sur l’importance que prennent désormais les « ailes de saison » pour les touristes.

Ce qui ne signifie pas que la haute saison a été mauvaise, au contraire. Malgré un mois de juillet un peu moribond, l’établissement a tourné en moyenne à 2 500 visiteurs par jour durant l’été, pour un total de 50 000 en juillet et 60 000 en août. Soit la moitié des 220 000 visiteurs attendus sur l’année entière.

Mais il y en avait déjà eu 56 000 d’avril à juin. Si les visites en hiver restent marginales, et concernent surtout les locaux, septembre et octobre ne devraient pas être en reste, d’autant que les Journées du patrimoine auront lieu les 16 et 17 septembre.

« C’est plutôt une bonne année, considère d’ores et déjà Aurélie, responsable du service Accueil, au même niveau que la saison 2016, même si la référence reste 2015. »

2015, année faste ? Pas pour les amateurs de soleil… « Le temps a été effectivement très médiocre, pour ne pas dire plus… » reconnaît-elle.

« Mais ce qui attire c’est d’abord le patrimoine bâti », explique Véronique Jeannès, directrice de l’office. Un intérêt qui concerne autant les 75 % de visiteurs français que les étrangers. Parmi les Français, les régions les plus représentées sont, par ordre décroissant : Bretagne, Île de France, Pays de Loire, Rhône-Alpes (sans l’Auvergne) et le Centre.

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Article complet : https://www.ouest-france.fr/bretagn...les-ailes-de-saison-attirent-du-monde-5230188
Concarneau. Le projet immobilier au Cabellou inquiète


Dans le projet de la société Espacil, l’ancienne colonie du Cabellou, fondée par l’abbé Georges Lorent, serait détruite pour construire deux complexes immobiliers. | Renée-Laure Euzen

Le président de l’association Bienvenue au Cabellou a adressé hier un courrier au maire pour demander que les citoyens puissent s’exprimer sur le projet d’Espacil, actuellement à l’étude.

Cet été, la petite-nièce de l’abbé Georges Lorent, Delphine Soete, s’était fait la porte-parole des enfants de Sains-en-Gohelle près de Lens. Des générations d’enfants, essentiellement issus de familles de mineurs, devaient à l’abbé d’avoir pu découvrir la mer à la colonie Saint-Georges, de 1949 à 2006.

À sa mort, le bâtiment, situé dans l’allée du Fort, avait été légué à la fondation d’Auteuil, mais cette dernière l’avait finalement vendu, au grand regret de Delphine Soete, qui craignait de ce fait de voir disparaître la vocation sociale du lieu (Ouest-France du 7 août 2017).

Dans le courrier qu’il a adressé hier au maire de Concarneau, André Fidelin, Yves Le Gall, président de l’association Bienvenue au Cabellou (ABC), n’est pas forcément opposé au projet de construction de 26 logements. Mais il exprime une autre inquiétude.

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Article complet : https://www.ouest-france.fr/bretagn...rojet-immobilier-au-cabellou-inquiete-5385378
Concarneau. Intermarché : un projet d’ici deux à trois ans

En marge du conseil municipal de Concarneau, le groupe d’opposition Concarneau, une nouvelle énergie, s’est fendu d’une longue question orale pour exprimer sa « solidarité aux 19 salariés du magasin », dont la fermeture est annoncée pour le 30 novembre. Il a interpellé la majorité sur le devenir du site.

« Nous ne devons pas nous résoudre à cette fermeture sans qu’aucun autre projet commercial ne s’implante en centre-ville, à cet endroit précis ou à un autre », a martelé Antony Le Bras. Conscient que « l’importance des travaux nécessaires sur le site rende difficile l’équilibre financier d’un nouveau projet uniquement commercial », le groupe suggère une solution « mixte » susceptible d’attirer un investisseur dans un projet conforme à la densification du Plan local d’urbanisme : « Un supermarché au rez-de-chaussée et des logements dans les étages dont une partie en accession propriété ».

« Concernant le site, nous avons rencontré Yannick Le Cam (le responsable de l’Intermarché de Lanriec). Il nous a exprimé il y a quelque temps sa volonté de se positionner sur le site, a répondu François Besombes, adjoint au développement économique. Le fait que le site ferme nous donne l’occasion de relancer la discussion. Nous avons eu confirmation qu’il intéresse le groupe Intermarché. Ils ne veulent pas lâcher et ils ont la volonté de se positionner fermement en centre-ville et sur ce site. Avec un projet mixte, un rez-de-chaussée commercial et un étage locatif. Mais cela nécessite du temps parce que, financièrement, ce n’est pas simple, et physiquement, il va falloir reconstruire. Nous sommes sur un horizon de deux à trois ans. »

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Article complet : https://www.ouest-france.fr/bretagn...marche-un-projet-d-ici-deux-trois-ans-5379858
Concarneau. Vivre en Ville-Close : les derniers des mohicans

Elle a abrité entre ses murs un millier d’habitants. Aujourd’hui, la Ville-Close de Concarneau en compte moins d’une centaine. Ses derniers occupants savourent sur l’îlot animé leur « vie privilégiée ».

Cela pourrait être une variante de « Où est Charlie ? ». Pour trouver un habitant de la Ville-Close parmi la horde de touristes qui se presse dans ses rues chaque été, on serait bien en peine. En quelques dizaines d’années, leur nombre s’est réduit comme peau de chagrin : ils ne sont aujourd’hui plus que 80, environ, à dormir entre les remparts de l’île, dont de nombreux saisonniers qui ne prennent leurs quartiers qu’en été. Alors tous, à l’image de Maxime, 30 ans, propriétaire du restaurant le Trimaran, savourent le « cadre magnifique et historique » au sein duquel il leur est donné de vivre.

Rue Vauban, non loin de l’entrée de la Ville-Close, se tient un peu en retrait une élégante bâtisse blanche. Ancienne maternité de la ville, la résidence Vauban a vu naître de nombreux Concarnois. Elle est aujourd’hui un logement social.Brigitte, secrétaire de 60 ans revenue en Ville-Close où elle avait vécu petite, y loge depuis 15 ans. « Habiter ici, c’est vivre une vie privilégiée, assure-t-elle. On a l’impression d’habiter sur l’eau, comme si nous étions au milieu de l’océan et à l’écart du monde. » Bien sûr, la vie dans cette forteresse médiévale a des inconvénients, à l’heure où plus aucun commerce de proximité ne se trouve sur l’îlot et où, en haute saison, la circulation des voitures est interdite entre 10 h 30 et 19 h. « Mais il suffit de prendre ses précautions. On apprend vite qu’ici les avantages sont plus nombreux que les inconvénients », souffle-t-elle.

Parmi ces avantages : être, au fil des saisons, le spectateur de première loge de la métamorphose de l’île. Après le vacarme des grandes vacances, le mois d’octobre venu, le monument classé se vide de ses milliers de touristes et d’une majeure partie de ses commerçants. « L’hiver, la Ville-Close est de nouveau à nous », lance Brigitte. Certains soirs de froid et de pluie, ses rues revêtent alors parfois un aspect hostile, même pour ceux qui ont choisi d’y vivre à l’année. « Quand il n’y a pas de lumière et que l’on doit passer les deux arches dans la pénombre, même moi qui ne suis pas une peureuse, j’accélère le pas », concède la sexagénaire avec un sourire.Mais la basse saison est surtout l’occasion de se réapproprier les lieux. « L’hiver, je me sentais comme dans un cocon, avec l’impression d’avoir sous mes fenêtres une place privée », se souvient une des serveuses de la Maison du Kouign-Amann qui, petite, habitait au-dessus du restaurant.

De cette ambiance extraordinaire on ne se sépare pas facilement. « Aujourd’hui, je ne quitterais la Ville-Close pour rien au monde ! S’exclame Brigitte. Cette île fortifiée, c’est une histoire de famille. Ma mère y est née, rue Théophile Louarn… »De sa fenêtre aux rideaux blancs, Brigitte peut apercevoir la maison dans laquelle elle a passé une partie de son enfance, de ses quatre ans à ses huit ans. À l’époque, les années 1950, la Ville-Close avait un tout autre visage. « Quand je me promenais, je passais à côté des maisons du sculpteur et du peintre », se remémore-t-elle avec plaisir. « C’était un véritable village. Les habitants de la Ville-Close étaient comme à part par rapport au reste de la ville. »En quelques années, la boucherie, la boulangerie, les épiceries et les boutiques artisanales ont été remplacées par les magasins de souvenirs, les terrasses et les glaciers.Mais aucune nostalgie dans les yeux de Brigitte : « Non, la Ville-Close est aujourd’hui charmante parce que très animée. Il se passe toujours quelque chose entre ces murs… C’est merveilleux. »
Source : https://www.ouest-france.fr/bretagn...ville-close-les-derniers-des-mohicans-5896059
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