Juste pour dire que c'est Jemappes et pas Jemmappes.
1 - 16 of 16 Posts
ah oui , juste
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la ville de Mons veut complètement repenser l'avenue de Jemappes :
il est vrai que cet ensemble est assez disgracieux et ne correspond plus au développement urbain de la ville
de plus il se situe juste en face du retail park rénové (MEDIAMARKT , BRICO ...)
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Commerce à Jemappes: la Ville se bat devant le Conseil d’Etat
Le départ du magasin Krëfel sur l’avenue Wilson à Jemappes a libéré une cellule commerciale que convoite aujourd’hui l’enseigne Babykid. Malgré l’avis défavorable de la Ville de Mons, la Région wallonne lui a octroyé le permis. Une décision consternante pour le collège communal qui veut limiter l’arrivée de gros commerces en périphérie. La Ville va introduire un recours devant le Conseil d’État demandant l’annulation du permis.
La Ville de Mons est en désaccord avec une décision de la Région wallonne visant le commerce sur l’avenue Wilson à Jemappes et elle a décidé de se battre jusqu’au bout ! Avec l’accord du conseil communal réuni ce soir, le collège entend déposer un recours devant le Conseil d’État demandant l’annulation du permis octroyé à Babykid, une chaîne de commerces spécialisée dans les articles pour les futures mamans et les bébés.
Le différend porte sur le projet d’installation du magasin sur l’avenue Wilson à la place de l’enseigne Krëfel (sur 2.500 m²). La Ville de Mons s’y est opposée et a d’ailleurs remis un avis défavorable dans ce dossier pour lequel la Région wallonne est compétente. « Malgré cet avis négatif, le ministre de l’Economie Jeholet nous impose cette enseigne, là où ne le souhaitons pas », peste le Premier échevin Nicolas Martin, responsable du développement économique à Mons. Pourquoi ce refus de la Ville ?
Le collège l’a déjà déclaré plus d’une fois, il n’est plus question désormais d’accepter de nouveaux centres commerciaux ou l’installation de grosses surfaces commerciales en périphérie. Ces centres commerciaux devenus trop nombreux tendent à déforcer le commerce en intra-muros. Or, que l’on soit d’accord ou non avec ses options, la Ville de Mons a décidé d’entreprendre plusieurs actions visant à redynamiser le commerce en centre-ville. Remonté, Nicolas Martin poursuit : « Nous sommes dans une logique de refus de gros projets en périphérie pour cette raison. La décision de la Région wallonne est tout à fait incompréhensible et va à l’encontre de ses propres considérations ! »
L’anarchie sur la N51
Effectivement, on peut s’étonner de la décision du ministre libéral à la lecture du schéma régional de développement commercial approuvé le 27 novembre 2014 par le gouvernement wallon. Dans ce document de 98 pages, on peut lire parmi les « faiblesses » (sic) relevées sur Mons – le document reprend en fait les forces et faiblesses des principales agglomérations wallonnes comme Liège, Charleroi, Namur, La Louvière et bien sûr Mons –, « le développement déstructuré et anarchique de la fonction commerciale le long de la nationale 51 (Mons-Valenciennes) ». Nationale 51 qui traverse notamment Jemappes…
Un peu plus loin dans ce même document, la Région wallonne détaille plusieurs recommandations par agglomération. Pour Mons, elle précise : « Nécessité d’un investissement dans le centre principal afin de maintenir sa compétitivité vis-à-vis de sa périphérie. (…) Restructurer la nationale 51 et limiter son développement commercial sur deux nodules : Hornu et Jemappes parc commercial. »
Des recommandations du schéma régional de développement régional qui convergent pourrait-on écrire avec la politique défendue par la Ville depuis ces dernières années.
« Pour l’instant sur cette partie de l’avenue Wilson, les magasins se succèdent de manière chaotique et sans cohérence, souligne l’échevin. Notre but est de reconsidérer un front bâti de manière correcte et de qualité, avec notamment des magasins alignés. »
À noter que la Ville s’est également opposée à la demande du magasin Orchestra Prémaman installé sur cette même avenue Wilson sur 1.000 m² et qui voudrait doubler sa surface, de même que sur l’arrivée de Mondial Textile installée voici quelques mois sur cet axe contre la volonté de la Ville.
Le collège aurait préféré voir ces enseignes s’établir en centre-ville ou sur les boulevards. Tout en poursuivant sa réflexion sur le devenir de cette entrée de Jemappes, depuis le pont de l’autoroute jusqu’au carrefour de l’avenue de la Faïencerie (Meubles Lecomte).
Un SOL pour l’avenue Wilson
Ce mardi, le conseil communal sera par ailleurs invité à accepter le principe du Schéma d’orientation locale (SOL), lequel vise à restructurer l’axe de l’avenue Wilson à Jemappes à la fois au niveau de la mobilité et de l’aménagement du territoire. Un outil capital notamment pour le cadre de vie des habitants.
il est vrai que cet ensemble est assez disgracieux et ne correspond plus au développement urbain de la ville
de plus il se situe juste en face du retail park rénové (MEDIAMARKT , BRICO ...)
Commerce à Jemappes: la Ville se bat devant le Conseil d’Etat
Le départ du magasin Krëfel sur l’avenue Wilson à Jemappes a libéré une cellule commerciale que convoite aujourd’hui l’enseigne Babykid. Malgré l’avis défavorable de la Ville de Mons, la Région wallonne lui a octroyé le permis. Une décision consternante pour le collège communal qui veut limiter l’arrivée de gros commerces en périphérie. La Ville va introduire un recours devant le Conseil d’État demandant l’annulation du permis.
La Ville de Mons est en désaccord avec une décision de la Région wallonne visant le commerce sur l’avenue Wilson à Jemappes et elle a décidé de se battre jusqu’au bout ! Avec l’accord du conseil communal réuni ce soir, le collège entend déposer un recours devant le Conseil d’État demandant l’annulation du permis octroyé à Babykid, une chaîne de commerces spécialisée dans les articles pour les futures mamans et les bébés.
Le différend porte sur le projet d’installation du magasin sur l’avenue Wilson à la place de l’enseigne Krëfel (sur 2.500 m²). La Ville de Mons s’y est opposée et a d’ailleurs remis un avis défavorable dans ce dossier pour lequel la Région wallonne est compétente. « Malgré cet avis négatif, le ministre de l’Economie Jeholet nous impose cette enseigne, là où ne le souhaitons pas », peste le Premier échevin Nicolas Martin, responsable du développement économique à Mons. Pourquoi ce refus de la Ville ?
Le collège l’a déjà déclaré plus d’une fois, il n’est plus question désormais d’accepter de nouveaux centres commerciaux ou l’installation de grosses surfaces commerciales en périphérie. Ces centres commerciaux devenus trop nombreux tendent à déforcer le commerce en intra-muros. Or, que l’on soit d’accord ou non avec ses options, la Ville de Mons a décidé d’entreprendre plusieurs actions visant à redynamiser le commerce en centre-ville. Remonté, Nicolas Martin poursuit : « Nous sommes dans une logique de refus de gros projets en périphérie pour cette raison. La décision de la Région wallonne est tout à fait incompréhensible et va à l’encontre de ses propres considérations ! »
L’anarchie sur la N51
Effectivement, on peut s’étonner de la décision du ministre libéral à la lecture du schéma régional de développement commercial approuvé le 27 novembre 2014 par le gouvernement wallon. Dans ce document de 98 pages, on peut lire parmi les « faiblesses » (sic) relevées sur Mons – le document reprend en fait les forces et faiblesses des principales agglomérations wallonnes comme Liège, Charleroi, Namur, La Louvière et bien sûr Mons –, « le développement déstructuré et anarchique de la fonction commerciale le long de la nationale 51 (Mons-Valenciennes) ». Nationale 51 qui traverse notamment Jemappes…
Un peu plus loin dans ce même document, la Région wallonne détaille plusieurs recommandations par agglomération. Pour Mons, elle précise : « Nécessité d’un investissement dans le centre principal afin de maintenir sa compétitivité vis-à-vis de sa périphérie. (…) Restructurer la nationale 51 et limiter son développement commercial sur deux nodules : Hornu et Jemappes parc commercial. »
Des recommandations du schéma régional de développement régional qui convergent pourrait-on écrire avec la politique défendue par la Ville depuis ces dernières années.
« Pour l’instant sur cette partie de l’avenue Wilson, les magasins se succèdent de manière chaotique et sans cohérence, souligne l’échevin. Notre but est de reconsidérer un front bâti de manière correcte et de qualité, avec notamment des magasins alignés. »
À noter que la Ville s’est également opposée à la demande du magasin Orchestra Prémaman installé sur cette même avenue Wilson sur 1.000 m² et qui voudrait doubler sa surface, de même que sur l’arrivée de Mondial Textile installée voici quelques mois sur cet axe contre la volonté de la Ville.
Le collège aurait préféré voir ces enseignes s’établir en centre-ville ou sur les boulevards. Tout en poursuivant sa réflexion sur le devenir de cette entrée de Jemappes, depuis le pont de l’autoroute jusqu’au carrefour de l’avenue de la Faïencerie (Meubles Lecomte).
Un SOL pour l’avenue Wilson
Ce mardi, le conseil communal sera par ailleurs invité à accepter le principe du Schéma d’orientation locale (SOL), lequel vise à restructurer l’axe de l’avenue Wilson à Jemappes à la fois au niveau de la mobilité et de l’aménagement du territoire. Un outil capital notamment pour le cadre de vie des habitants.
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Jemappes: Les tours de la Cité du Coq vont disparaître
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Ce sera finalement la déconstruction pour les tours. Un accompagnement va être mis en place pour les habitants.
Déconstruction ou rénovation? Le conseil d'administration de Toit & Moi a tranché vendredi sur l'avenir des tours de la Cité du Coq. Et ce sera finalement la déconstruction. La société de logement a en effet estimé qu'il serait trop coûteux de rénover les deux tours et leurs 190 appartements.
D'un point de vue technique, énergétique et financier, Toit & Moi préfère donc miser sur de nouveaux logements. "Entretenir des tours vieilles de 40 ans coûte extrêmement cher", commente John Joos, président de Toit & Moi. "Et l'entretien est à charge de la société, mais aussi du locataire. C'est donc une décision responsable. Et elle va permettre à notre conseil d'administration de regarder vers l'avenir."
Les tours de la Cité du Coq ne devraient ainsi pas connaître le même destin que celles de Ghlin, qui ont été rasées pour laisser place à un grand terrain vague. Toit & Moi souhaite que de nouveaux logements soient construits. "2 millions d'euros sont prévus pour la déconstruction des tours. Nous avons réservé une enveloppe de 10 millions pour la construction de nouveaux logements, projet que nous mènerons avec nos partenaires subsidiants", précise encore John Joos.
138 familles occupent encore les tours. "Un accompagnement individualisé va être mis en place pour chaque ménage", indique le président de Toit & Moi. "Nos services mettront tout en œuvre pour que chacun puisse bénéficier d'un logement correspondant au mieux à sa situation. Des membres de nos équipes se rendront ainsi au domicile de chaque famille pour évaluer leurs besoins spécifiques."
Un courrier a été envoyé aux locataires des tours. Notons qu'une rencontre citoyenne devrait également se tenir en février pour informer les habitants et répondre à leurs questions.
https://www.dhnet.be/regions/mons/j...coq-vont-disparaitre-5df3957bd8ad58130dd5ab13
C’est officiel, les tours du Coq à Jemappes seront démolies
Les habitants des tours de la cité du Coq à Jemappes ont reçu une lettre de Toit & Moi leur annonçant la démolition future des tours. Le conseil d’administration de la société a approuvé cette décision ce vendredi matin. Le relogement des locataires actuels, la déconstruction des tours et la réaffection du site sont déjà prévus et font l’objet de la plus grande attention, souligne le président du conseil d’administration, John Joos.
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Les tours de la cité du Coq à Jemappes -190 appartements- vont être démolies. À vrai dire, les habitants du quartier observaient depuis des mois que les appartements vides le restaient ; ils n’étaient plus reloués par Toit & Moi. Les habitants sentaient venir la suite… De plus, le bourgmestre de Mons avait clairement exprimé son opinion en faveur de la disparition des deux gros buildings « Elsa triolet » et « Flora Tristan ».
Le conseil d’administration de Toit & Moi réuni ce vendredi a décidé de clarifier la situation, en s’adressant tout d’abord aux premiers concernés, les locataires (texte de la lettre ci-dessous).
https://www.sudinfo.be/id156575/art...iel-les-tours-du-coq-jemappes-seront-demolies
Ce sera finalement la déconstruction pour les tours. Un accompagnement va être mis en place pour les habitants.
Déconstruction ou rénovation? Le conseil d'administration de Toit & Moi a tranché vendredi sur l'avenir des tours de la Cité du Coq. Et ce sera finalement la déconstruction. La société de logement a en effet estimé qu'il serait trop coûteux de rénover les deux tours et leurs 190 appartements.
D'un point de vue technique, énergétique et financier, Toit & Moi préfère donc miser sur de nouveaux logements. "Entretenir des tours vieilles de 40 ans coûte extrêmement cher", commente John Joos, président de Toit & Moi. "Et l'entretien est à charge de la société, mais aussi du locataire. C'est donc une décision responsable. Et elle va permettre à notre conseil d'administration de regarder vers l'avenir."
Les tours de la Cité du Coq ne devraient ainsi pas connaître le même destin que celles de Ghlin, qui ont été rasées pour laisser place à un grand terrain vague. Toit & Moi souhaite que de nouveaux logements soient construits. "2 millions d'euros sont prévus pour la déconstruction des tours. Nous avons réservé une enveloppe de 10 millions pour la construction de nouveaux logements, projet que nous mènerons avec nos partenaires subsidiants", précise encore John Joos.
138 familles occupent encore les tours. "Un accompagnement individualisé va être mis en place pour chaque ménage", indique le président de Toit & Moi. "Nos services mettront tout en œuvre pour que chacun puisse bénéficier d'un logement correspondant au mieux à sa situation. Des membres de nos équipes se rendront ainsi au domicile de chaque famille pour évaluer leurs besoins spécifiques."
Un courrier a été envoyé aux locataires des tours. Notons qu'une rencontre citoyenne devrait également se tenir en février pour informer les habitants et répondre à leurs questions.
https://www.dhnet.be/regions/mons/j...coq-vont-disparaitre-5df3957bd8ad58130dd5ab13
C’est officiel, les tours du Coq à Jemappes seront démolies
Les habitants des tours de la cité du Coq à Jemappes ont reçu une lettre de Toit & Moi leur annonçant la démolition future des tours. Le conseil d’administration de la société a approuvé cette décision ce vendredi matin. Le relogement des locataires actuels, la déconstruction des tours et la réaffection du site sont déjà prévus et font l’objet de la plus grande attention, souligne le président du conseil d’administration, John Joos.
Les tours de la cité du Coq à Jemappes -190 appartements- vont être démolies. À vrai dire, les habitants du quartier observaient depuis des mois que les appartements vides le restaient ; ils n’étaient plus reloués par Toit & Moi. Les habitants sentaient venir la suite… De plus, le bourgmestre de Mons avait clairement exprimé son opinion en faveur de la disparition des deux gros buildings « Elsa triolet » et « Flora Tristan ».
Le conseil d’administration de Toit & Moi réuni ce vendredi a décidé de clarifier la situation, en s’adressant tout d’abord aux premiers concernés, les locataires (texte de la lettre ci-dessous).
https://www.sudinfo.be/id156575/art...iel-les-tours-du-coq-jemappes-seront-demolies
Jemappes: le permis pour 58 logements à l’athénée sera déposé cette année
Une esquisse de l’ancien site de l’athénée de Jemappes.
Fin 2016, le collège communal annonçait la création de 61 logements sur le site de l’ancien athénée de Jemappes, rue des Représentants, à l’abandon depuis de nombreuses années. Ce mardi, en réponse à une question de Khadija Nahimé, conseillère communale, le collège a apporté de nouveaux éléments sur ce dossier.
Objectif: faire revenir des familles dans le centre de Jemappes.
Objectif: faire revenir des familles dans le centre de Jemappes. - dmvA
La création de ces logements permettra de supprimer un chancre à Jemappes, quasi au cœur de la cité. « Il n’y a pas encore de programmation car des études doivent se poursuivre, mais ce dossier a bien évolué », commente Maxime Pourtois, échevin de l’Urbanisme. Quatre immeubles abriteront au total 58 logements (et non plus 61) sur ce terrain où la végétation sera intégrée. Parmi ces immeubles, on retrouvera le bâtiment historique de l’ancienne école, lequel date du 18ème siècle. Le mur d’enceinte sera lui aussi préservé.
Les quatre immeubles abriteront des appartements de une, deux ou trois (surtout) chambres afin de pouvoir ramener des familles au cœur de Jemappes.
Allusion au passé minier
Ce mardi, le collège a dévoilé les premiers jets de l’avant-projet conçu par le bureau d’architecte gantois dmvA. Le style fait allusion au passé minier de la localité. Certaines toitures sont végétales.
Un parking souterrain de 50 places est également prévu. « On est ici au stade des intentions car aucun permis n’a encore été déposé, mais cela devrait se faire cette année », précise l’échevin.
Pour le bourgmestre Nicolas Martin, ce dossier répond à une attente des Jemappiens. « Beaucoup d’habitants sont attachés à l’ancien athénée. Nous sommes engagés dans une importante revitalisation du cœur de Jemappes. Nous sommes dans une bonne dynamique de créations de logements ». Et de rappeler le projet de 152 appartements de la SPRL Concept Confort non loin du site de l’athénée, soit dans l’avenue de la Faïencerie. Ceux-ci devraient être répartis en 13 blocs.
Avenue Wilson
Le bourgmestre évoque d’autres projets comme dans l’avenue Wilson, sur la zone commerciale occupée par plusieurs enseignes en face de Mediamarkt (où se trouvait encore Hubo voici quelques mois). « Nous allons y développer de nouveaux projets mais qui ne seront pas a priori orientés vers du commerce ».
Le devenir des anciens laminoirs est aussi dans les cartons du collège.
Enfin, la cité du Coq devrait aussi changer de physionomie avec la destruction
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Sudinfo
Une esquisse de l’ancien site de l’athénée de Jemappes.
Fin 2016, le collège communal annonçait la création de 61 logements sur le site de l’ancien athénée de Jemappes, rue des Représentants, à l’abandon depuis de nombreuses années. Ce mardi, en réponse à une question de Khadija Nahimé, conseillère communale, le collège a apporté de nouveaux éléments sur ce dossier.
Objectif: faire revenir des familles dans le centre de Jemappes.
Objectif: faire revenir des familles dans le centre de Jemappes. - dmvA
La création de ces logements permettra de supprimer un chancre à Jemappes, quasi au cœur de la cité. « Il n’y a pas encore de programmation car des études doivent se poursuivre, mais ce dossier a bien évolué », commente Maxime Pourtois, échevin de l’Urbanisme. Quatre immeubles abriteront au total 58 logements (et non plus 61) sur ce terrain où la végétation sera intégrée. Parmi ces immeubles, on retrouvera le bâtiment historique de l’ancienne école, lequel date du 18ème siècle. Le mur d’enceinte sera lui aussi préservé.
Les quatre immeubles abriteront des appartements de une, deux ou trois (surtout) chambres afin de pouvoir ramener des familles au cœur de Jemappes.
Allusion au passé minier
Ce mardi, le collège a dévoilé les premiers jets de l’avant-projet conçu par le bureau d’architecte gantois dmvA. Le style fait allusion au passé minier de la localité. Certaines toitures sont végétales.
Un parking souterrain de 50 places est également prévu. « On est ici au stade des intentions car aucun permis n’a encore été déposé, mais cela devrait se faire cette année », précise l’échevin.
Pour le bourgmestre Nicolas Martin, ce dossier répond à une attente des Jemappiens. « Beaucoup d’habitants sont attachés à l’ancien athénée. Nous sommes engagés dans une importante revitalisation du cœur de Jemappes. Nous sommes dans une bonne dynamique de créations de logements ». Et de rappeler le projet de 152 appartements de la SPRL Concept Confort non loin du site de l’athénée, soit dans l’avenue de la Faïencerie. Ceux-ci devraient être répartis en 13 blocs.
Avenue Wilson
Le bourgmestre évoque d’autres projets comme dans l’avenue Wilson, sur la zone commerciale occupée par plusieurs enseignes en face de Mediamarkt (où se trouvait encore Hubo voici quelques mois). « Nous allons y développer de nouveaux projets mais qui ne seront pas a priori orientés vers du commerce ».
Le devenir des anciens laminoirs est aussi dans les cartons du collège.
Enfin, la cité du Coq devrait aussi changer de physionomie avec la destruction
Sudinfo
Le château de la promotion sociale de Jemappes rénové: plus de 900.000 € investis
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Deux bureaux d’architectes de Ronquières et de Paris viennent de remporter un concours lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le but est de rénover le château de l’école de promotion sociale de Jemappes et de créer une extension. Ces espaces seront ensuite utilisés par la section horeca de l’établissement. Les élèves profiteront d’infrastructures toutes neuves.
laprovince.sudinfo.be
Deux bureaux d’architectes de Ronquières et de Paris viennent de remporter un concours lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le but est de rénover le château de l’école de promotion sociale de Jemappes et de créer une extension. Ces espaces seront ensuite utilisés par la section horeca de l’établissement. Les élèves profiteront d’infrastructures toutes neuves.
Le château de la promotion sociale de Jemappes rénové: plus de 900.000 € investis
Deux bureaux d’architectes de Ronquières et de Paris viennent de remporter un concours lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le but est de rénover le château de l’école de promotion sociale de Jemappes et de créer une extension. Ces espaces seront ensuite utilisés par la section horeca de...
Autre image du projet
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Projet de bureaux et entrepôts au zoning puits 28 à jemappes
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pmeunit.be
pmeunit.be
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nouvelles images du projet sur le site de l'ancien Athénée de Jemappes
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healthinvest-beherman.com
Un projet hors du commun - Health Invest - Olivier Beherman
Le promoteur Health Invest de Bornem prévoit de construire un nouveau quartier résidentiel écologique et moderne sur le terrain de l’ancien Athénée à Jemappes. Avec […]
healthinvest-beherman.com
Un «masterplan» en réflexion autour de la Cité du Coq à Jemappes
![Un «masterplan» en réflexion autour de la Cité du Coq à Jemappes]()
Les derniers occupants des tours de la cité du Coq quitteront leur logement d’ici deux mois et demi. Ugo PETROPOULOS
À la fin du mois de juin, les derniers occupants des deux tours de la cité du Coq auront déménagé. La démolition interviendra quelques mois plus tard.
Le compteur tourne pour Elsa Triolet et Flora Tristan, les deux tours de logements sociaux de la Cité du coq, condamnées à la démolition à la fin de l’année 2019. Construites en 1977 à une époque où le logement social se concevait en habitat très vertical, les deux tours de 11 étages ont difficilement encaissé les affres du temps: détériorées, mal entretenues… Le cout pour les rénover s’avérait trop élevé selon la norme de budget définie par la Société wallonne du Logement et la destruction était la seule option raisonnable, a jugé le conseil d’administration de Toit & Moi.
Depuis, la société de logement social de Mons-Borinage s’emploie à reloger les locataires des deux immeubles qui comptaient 192 logements en tout, mais dont une trentaine de logements seulement sont encore occupés. Il y a quelques semaines, les choses se sont accélérées, la trentaine de foyers occupant encore les lieux ayant reçu un avis d’expulsion prenant effet à la fin du mois de juin.
Mais tous les locataires seront-ils relogés, sachant que l’offre de logements sociaux ne répond pas à la demande? «Tout le monde sera bien installé», rassure Marc Darville, président de Toit & Moi. Le marché public pour la démolition a également été lancé. «D’ici la fin de l’année ou le début 2022, elles seront détruites.»
200 à 300 logements pour remplacer les tours
Parallèlement à la démolition des tours, Toit & Moi travaille à un plan pour redynamiser le quartier et reconstruire de nouveaux logements. «Une proposition est sur la table, qui demande encore à être affinée. On pourrait construire de 200 à 300 logements en fonction des configurations.»
www.lavenir.net
Les derniers occupants des tours de la cité du Coq quitteront leur logement d’ici deux mois et demi. Ugo PETROPOULOS
À la fin du mois de juin, les derniers occupants des deux tours de la cité du Coq auront déménagé. La démolition interviendra quelques mois plus tard.
Le compteur tourne pour Elsa Triolet et Flora Tristan, les deux tours de logements sociaux de la Cité du coq, condamnées à la démolition à la fin de l’année 2019. Construites en 1977 à une époque où le logement social se concevait en habitat très vertical, les deux tours de 11 étages ont difficilement encaissé les affres du temps: détériorées, mal entretenues… Le cout pour les rénover s’avérait trop élevé selon la norme de budget définie par la Société wallonne du Logement et la destruction était la seule option raisonnable, a jugé le conseil d’administration de Toit & Moi.
Depuis, la société de logement social de Mons-Borinage s’emploie à reloger les locataires des deux immeubles qui comptaient 192 logements en tout, mais dont une trentaine de logements seulement sont encore occupés. Il y a quelques semaines, les choses se sont accélérées, la trentaine de foyers occupant encore les lieux ayant reçu un avis d’expulsion prenant effet à la fin du mois de juin.
Mais tous les locataires seront-ils relogés, sachant que l’offre de logements sociaux ne répond pas à la demande? «Tout le monde sera bien installé», rassure Marc Darville, président de Toit & Moi. Le marché public pour la démolition a également été lancé. «D’ici la fin de l’année ou le début 2022, elles seront détruites.»
200 à 300 logements pour remplacer les tours
Parallèlement à la démolition des tours, Toit & Moi travaille à un plan pour redynamiser le quartier et reconstruire de nouveaux logements. «Une proposition est sur la table, qui demande encore à être affinée. On pourrait construire de 200 à 300 logements en fonction des configurations.»
Cnt - Dmf20210419_01573340 - Un-master-plan-en-reflexion-autour-de-la-cite-du-coq
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Le magasin Kiabi va débarquer à Jemappes et recrute!
Un magasin Kiabi ouvrira enfin ses portes dans la région de Mons-Borinage. La marque de vêtements à petits prix et pour toute la famille va s’installer à Jemappes. Il s’agit du sixième magasin Kiabi en Belgique.
Mons-Borinage attire de plus en plus les grandes enseignes. Après l’arrivée de Primark, G-Star, Burger King ou encore Electro Dépôt, c’est au tour de l’entreprise française de vêtements Kiabi de venir s’installer dans notre région. L’ouverture du nouveau magasin est programmée pour le 25 juin et en ravira certainement plus d’un.
Une vingtaine de futurs employés sont recherchés.
1.000 m2
Le magasin de vêtements emménagera à la place de l’ancien magasin de chaussures et de vêtements GEMO, situé à côté du C&A au shopping Wilson de Jemappes. Le nouveau magasin de Jemappes aura une superficie de 1.000 m2. Il proposera une gamme variée de vêtements dames, hommes et enfants. Une vingtaine de personnes y travailleront.
laprovince.sudinfo.be
Un magasin Kiabi ouvrira enfin ses portes dans la région de Mons-Borinage. La marque de vêtements à petits prix et pour toute la famille va s’installer à Jemappes. Il s’agit du sixième magasin Kiabi en Belgique.
Mons-Borinage attire de plus en plus les grandes enseignes. Après l’arrivée de Primark, G-Star, Burger King ou encore Electro Dépôt, c’est au tour de l’entreprise française de vêtements Kiabi de venir s’installer dans notre région. L’ouverture du nouveau magasin est programmée pour le 25 juin et en ravira certainement plus d’un.
Une vingtaine de futurs employés sont recherchés.
1.000 m2
Le magasin de vêtements emménagera à la place de l’ancien magasin de chaussures et de vêtements GEMO, situé à côté du C&A au shopping Wilson de Jemappes. Le nouveau magasin de Jemappes aura une superficie de 1.000 m2. Il proposera une gamme variée de vêtements dames, hommes et enfants. Une vingtaine de personnes y travailleront.
Le magasin Kiabi va débarquer à Jemappes et recrute!
Un magasin Kiabi ouvrira enfin ses portes dans la région de Mons-Borinage. La marque de vêtements à petits prix et pour toute la famille va s’installer à Jemappes. Il s’agit du sixième magasin Kiabi en Belgique.
Jemappes: 43 nouveaux appartements pour agrandir les Jardins de la Faïencerie
Une réunion d'information est organisée jeudi avant la demande de permis.
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Les Jardins de la Faïencerie vont-ils s'agrandir? Treize résidences comprenant quelque 152 appartements sont déjà en cours de construction sur ce vaste site d'un hectare situé le long de l'avenue de la Faïencerie à Jemappes. Le promoteur aux manettes du projet, Confort Invest, souhaite ériger 46 appartements supplémentaires dans le prolongement des premières résidences, à l'angle formé avec la rue Mac Donald.
Une demande de permis va être introduite pour la construction de ces nouveaux logements. Le projet portant sur une superficie dépassant les deux hectares et faisant l'objet d'une étude d'incidences, une réunion d'information va être organisée à l'intention des riverains. Elle se tiendra le 9 décembre à 18h, à la salle Calva de Jemappes.
Conformément au Code de l'Environnement, cette réunion a pour but de permettre à l'auteur de projet de présenter son projet, au public de s'informer et d'émettre à la fois des observations et des suggestions, de mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés lors de l'étude d'incidences ou encore de présenter des alternatives pouvant raisonnablement être envisagées par le promoteur afin qu'il en soit tenu compte lors de la réalisation de l'étude d'incidences. La réunion se tiendra en présentiel, mais il faudra être muni d'un covid safe ticket pour y participer.
Ce nouveau projet immobilier témoigne des changements qui s'amorcent à Jemappes. Victime de la désindustrialisation, la commune du Grand Mons n'est pas la mieux lotie. Mais le collège a fait de sa redynamisation l'une des grandes priorités de la mandature. Ainsi, le champ d'action du fonds d'impulsion qui permet de soutenir l'installation de commerces de qualité a été étendu à Jemappes. Il était auparavant limité au centre-ville montois. Jemappes est par ailleurs l'une des cibles principales du nouveau programme de subsides wallons, la Politique intégrée de la Ville. Quelque 15 millions d'euros devraient y être injectés. Parallèlement à ces divers dossiers, les projets immobiliers se multiplient. On soulignera notamment, non loin des Jardins de la Faïencerie, la réhabilitation de l'ancien athénée de Jemappes qui devrait accueillir un parc des logements.
www.dhnet.be
Une réunion d'information est organisée jeudi avant la demande de permis.
Les Jardins de la Faïencerie vont-ils s'agrandir? Treize résidences comprenant quelque 152 appartements sont déjà en cours de construction sur ce vaste site d'un hectare situé le long de l'avenue de la Faïencerie à Jemappes. Le promoteur aux manettes du projet, Confort Invest, souhaite ériger 46 appartements supplémentaires dans le prolongement des premières résidences, à l'angle formé avec la rue Mac Donald.
Une demande de permis va être introduite pour la construction de ces nouveaux logements. Le projet portant sur une superficie dépassant les deux hectares et faisant l'objet d'une étude d'incidences, une réunion d'information va être organisée à l'intention des riverains. Elle se tiendra le 9 décembre à 18h, à la salle Calva de Jemappes.
Conformément au Code de l'Environnement, cette réunion a pour but de permettre à l'auteur de projet de présenter son projet, au public de s'informer et d'émettre à la fois des observations et des suggestions, de mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés lors de l'étude d'incidences ou encore de présenter des alternatives pouvant raisonnablement être envisagées par le promoteur afin qu'il en soit tenu compte lors de la réalisation de l'étude d'incidences. La réunion se tiendra en présentiel, mais il faudra être muni d'un covid safe ticket pour y participer.
Ce nouveau projet immobilier témoigne des changements qui s'amorcent à Jemappes. Victime de la désindustrialisation, la commune du Grand Mons n'est pas la mieux lotie. Mais le collège a fait de sa redynamisation l'une des grandes priorités de la mandature. Ainsi, le champ d'action du fonds d'impulsion qui permet de soutenir l'installation de commerces de qualité a été étendu à Jemappes. Il était auparavant limité au centre-ville montois. Jemappes est par ailleurs l'une des cibles principales du nouveau programme de subsides wallons, la Politique intégrée de la Ville. Quelque 15 millions d'euros devraient y être injectés. Parallèlement à ces divers dossiers, les projets immobiliers se multiplient. On soulignera notamment, non loin des Jardins de la Faïencerie, la réhabilitation de l'ancien athénée de Jemappes qui devrait accueillir un parc des logements.
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Voici en résumé l'extension du projet:
On passe de ceci à...
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cela, on garde une belle harmonie de l'espace déjà prévu et construit avec cette extension, je trouve.
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Groupe HELORA: le cabinet d’architectes a été désigné pour le nouvel hôpital de Jemappes
Le groupe HELORA poursuit son développement : le cabinet d’architectes a été désigné pour la création du nouvel hôpital mais pas seulement. L’intercommunale a aussi été créée pour le futur logipôle prévu sur le zoning Geothermia. Stéphan Mercier, directeur général d’Helora. - D.R.
Par Sudinfo Publié le 30/05/2023 à 16:38
HELORA, le premier réseau intégré de Wallonie depuis la loi De Block, poursuit son développement en marquant plusieurs étapes majeures depuis sa création en juin 2021.
« Pour rappel, les hôpitaux du Pôle Hospitalier Jolimont et du CHU Ambroise Paré fusionneront le 1er juillet. Ensemble, ils ont pour objectif de construire le futur des soins de santé sur leur territoire. Offrir et développer des soins performants, accessibles à tous est la mission fondamentale de HELORA », indique le groupe dans un communiqué.
Désignation du bureau d'architectes
À l’horizon 2030, HELORA souhaite construire 5 nouveaux hôpitaux pour y réunir la majeure partie des activités de ses 7 sites actuels. Pour mener ce projet d’envergure, les instances du réseau ont désigné un seul cabinet d’architectes : Archipelago !
Lire aussi La fusion du réseau hospitalier Helora est désormais officielle: voici ce que cela va changer pour les patients de Mons-Borinage et du Centre (vidéo)
« À ce jour, aucun hôpital ou groupement hospitalier ne bénéficie de bâtiments pensés de la même manière et avec la même esthétique. Ce sera donc une première pour un réseau de soins en Wallonie ! Choisir un seul bureau d’architectes présente de multiples avantages. Il garantit notamment la cohérence architecturale intérieure et extérieure entre les différentes implémentations. La standardisation d’un maximum de fonctions telles que les chambres, les locaux de soins, les salles d’opération… permettront aussi une réduction massive des coûts de production en plus de faciliter l’évolution des patients et du personnel au sein des sites ».
Personnel impliqué
Le personnel a été impliqué dans ce choix des architectes. « Une centaine de personnes, tous profils confondus, a participé à cette réflexion. Suite aux échanges réalisés autour des projets remis, c’est celui du cabinet Archipelago et de ses partenaires (VK Architects + Engineers et Tractebel) qui a été retenu ! »
Lire aussi le-nouveau-logipole-des-hopitaux-helora-en-quelques-chiffres
Archipelago dispose d’une expérience de plus de 60 ans. « Le cabinet a notamment travaillé à la reconstruction du CHU Saint-Pierre, de l’UZ Leuven ou encore à la transformation et l’extension du CHwapi », précise HELORA.
Le groupe hospitalier a démarré les premières réunions afin de planifier les prochaines étapes clés : planning, vision stratégique, groupes de réflexion…
À La Louvière, sur le site de Longtain, les travaux vont bientôt commencer « avec les aménagements urbains et débuter le semis de plantations », d’ici quelques semaines.
Création du Logipôle
Une autre étape importante dans la construction du réseau HELORA : la création fin avril de l’intercommunale du Logipôle. « La Ville de Mons, de Saint-Ghislain, les communes de Frameries, Quaregnon, Colfontaine, Quévy, le CHUPMB, HELORA ainsi que 3 ASBL du Groupe Jolimont constituent les associés fondateurs ».
Pour rappel, à l’horizon 2027, un logipôle verra le jour sur le site de Geothermia à Mons. Il regroupera les activités des cuisines, blanchisseries et des magasins des hôpitaux HELORA et du CHUPMB. « Cette structure publique permettra d’améliorer la qualité des produits et des services proposés, de réduire notre empreinte environnementale grâce aux énergies renouvelables présentes sur le site, de développer économiquement notre région et de créer des emplois ».
Lire aussi un-nouvel-hopital-va-sortir-de-terre-jemappes-lavenue-wilson
Et la suite ?
« En parallèle au projet infrastructures, les discussions se poursuivent au sein de tous les départements. De nombreuses avancées sont réalisées en matière de ressources humaines et en pleine collaboration avec les partenaires sociaux, les secteurs transversaux se rencontrent afin de discuter de la mutualisation et l’uniformisation de certaines tâches, le projet médical est analysé sous tous les angles ».
Et de conclure : « Par l’ensemble de ces actions, HELORA confirme sa volonté d’être plus qu’un réseau hospitalier mais un acteur majeur des villes dans lesquelles il est implémenté. En l’espace de deux ans, il aura réussi le pari de réunir sous une bannière près de 7.000 collaborateurs et médecins pour offrir à sa population ce qu’il y a de mieux en matière de santé ! »
Les futurs sites du réseau HELORA seront situés :
- à Lobbes, le terrain est en cours de prospection.
images publiées par ARCHIPELAGO
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Le groupe HELORA poursuit son développement : le cabinet d’architectes a été désigné pour la création du nouvel hôpital mais pas seulement. L’intercommunale a aussi été créée pour le futur logipôle prévu sur le zoning Geothermia. Stéphan Mercier, directeur général d’Helora. - D.R.
Par Sudinfo Publié le 30/05/2023 à 16:38
HELORA, le premier réseau intégré de Wallonie depuis la loi De Block, poursuit son développement en marquant plusieurs étapes majeures depuis sa création en juin 2021.
« Pour rappel, les hôpitaux du Pôle Hospitalier Jolimont et du CHU Ambroise Paré fusionneront le 1er juillet. Ensemble, ils ont pour objectif de construire le futur des soins de santé sur leur territoire. Offrir et développer des soins performants, accessibles à tous est la mission fondamentale de HELORA », indique le groupe dans un communiqué.
Désignation du bureau d'architectes
À l’horizon 2030, HELORA souhaite construire 5 nouveaux hôpitaux pour y réunir la majeure partie des activités de ses 7 sites actuels. Pour mener ce projet d’envergure, les instances du réseau ont désigné un seul cabinet d’architectes : Archipelago !
Lire aussi La fusion du réseau hospitalier Helora est désormais officielle: voici ce que cela va changer pour les patients de Mons-Borinage et du Centre (vidéo)
« À ce jour, aucun hôpital ou groupement hospitalier ne bénéficie de bâtiments pensés de la même manière et avec la même esthétique. Ce sera donc une première pour un réseau de soins en Wallonie ! Choisir un seul bureau d’architectes présente de multiples avantages. Il garantit notamment la cohérence architecturale intérieure et extérieure entre les différentes implémentations. La standardisation d’un maximum de fonctions telles que les chambres, les locaux de soins, les salles d’opération… permettront aussi une réduction massive des coûts de production en plus de faciliter l’évolution des patients et du personnel au sein des sites ».
Personnel impliqué
Le personnel a été impliqué dans ce choix des architectes. « Une centaine de personnes, tous profils confondus, a participé à cette réflexion. Suite aux échanges réalisés autour des projets remis, c’est celui du cabinet Archipelago et de ses partenaires (VK Architects + Engineers et Tractebel) qui a été retenu ! »
Lire aussi le-nouveau-logipole-des-hopitaux-helora-en-quelques-chiffres
Archipelago dispose d’une expérience de plus de 60 ans. « Le cabinet a notamment travaillé à la reconstruction du CHU Saint-Pierre, de l’UZ Leuven ou encore à la transformation et l’extension du CHwapi », précise HELORA.
Le groupe hospitalier a démarré les premières réunions afin de planifier les prochaines étapes clés : planning, vision stratégique, groupes de réflexion…
À La Louvière, sur le site de Longtain, les travaux vont bientôt commencer « avec les aménagements urbains et débuter le semis de plantations », d’ici quelques semaines.
Création du Logipôle
Une autre étape importante dans la construction du réseau HELORA : la création fin avril de l’intercommunale du Logipôle. « La Ville de Mons, de Saint-Ghislain, les communes de Frameries, Quaregnon, Colfontaine, Quévy, le CHUPMB, HELORA ainsi que 3 ASBL du Groupe Jolimont constituent les associés fondateurs ».
Pour rappel, à l’horizon 2027, un logipôle verra le jour sur le site de Geothermia à Mons. Il regroupera les activités des cuisines, blanchisseries et des magasins des hôpitaux HELORA et du CHUPMB. « Cette structure publique permettra d’améliorer la qualité des produits et des services proposés, de réduire notre empreinte environnementale grâce aux énergies renouvelables présentes sur le site, de développer économiquement notre région et de créer des emplois ».
Lire aussi un-nouvel-hopital-va-sortir-de-terre-jemappes-lavenue-wilson
Et la suite ?
« En parallèle au projet infrastructures, les discussions se poursuivent au sein de tous les départements. De nombreuses avancées sont réalisées en matière de ressources humaines et en pleine collaboration avec les partenaires sociaux, les secteurs transversaux se rencontrent afin de discuter de la mutualisation et l’uniformisation de certaines tâches, le projet médical est analysé sous tous les angles ».
Et de conclure : « Par l’ensemble de ces actions, HELORA confirme sa volonté d’être plus qu’un réseau hospitalier mais un acteur majeur des villes dans lesquelles il est implémenté. En l’espace de deux ans, il aura réussi le pari de réunir sous une bannière près de 7.000 collaborateurs et médecins pour offrir à sa population ce qu’il y a de mieux en matière de santé ! »
Les futurs sites du réseau HELORA seront situés :
- à La Louvière, sur le site de Longtain
- à Mons, sur l’Avenue Wilson
- à Warquignies, sur son site actuel
- à Nivelles, dans le quartier du « Bois de l’Hôpital »
- à Lobbes, le terrain est en cours de prospection.
images publiées par ARCHIPELAGO
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