SkyscraperCity Forum banner
81 - 100 of 157 Posts
Discussion starter · #82 ·
Si moi... sauf si tu veux faire des posts dans dialogue, dans ce cas je te laisse te répondre a toi même.
Hein ? Alors si c'est toi qui en parle, je n'ai même pas compris l'intérêt...

Je parlais de garder l'authenticité de la Normandie, tu me réponds que la Normandie, ce n'est pas des maisons en colombages partout. Excuses moi, mais je ne l'ai jamais prétendu, et donc je ne vois pas le rapport... Eclaires moi parce que vraiment, je n'ai pas compris où tu voulais en venir.


Tu ne trouves pas ça dommage toi que les colombages, le granit, le silex, la brique ne soit plus utilisé dans notre région alors que dans le Nord on construit toujours des maisons neuves en briques ? En Bretagne toujours des maisons avec le rappel du granit et les toitures en ardoise avec souvent le faitage de tuiles ? Le Pays-Basque qui lui garde ses maisons avec souvent un rappel du blanc et du rouge ou vert ? La Provence avec ses maisons/villas enduite aux tuiles claires ? Les Landes avec ses maisons en tuiles ondulés et maisons souvent basses ?

Honnêtement, quand je vois TOUTES nos villes et villages entourés de maisons toutes semblables et toutes communes de catalogues, ça me dérange un peu.


PS : Je n'ai même pas trop compris où tu voulais en venir avec ta phrase.
 
Je faisais référence au style Normand vu de l'extérieur. L'image d'Epinal de la Normandie c'est la maison à pans de bois avec le toit de chaume, comme en Bretagne, on a tendance à s'imaginer une maison en granit avec les cheminées sur les pignons.

En Normandie c’est plus difficile à percevoir à l'échelle de la région. Il n'y a pas de style Normand pouvant résumer toute la Normandie comme il y'a un style Breton applicable à toute la Bretagne (la maison MIKIT avec les cheminées sur les pignons).

Seul truc en Normandie, ce sont les toitures en ardoises. Lorsque je suis arrivé au Havre et dans la région ca m'a énormément marqué. J'adore les toits en ardoise. Ca c'est toujours très utilisé y compris sur les maisons bas de gamme.

Concernant les styles locaux, si tu vas dans le pays d'Auge on construit toujours des immeubles en néo-normand balnéaire. Le Havre est un cas à part car le style Perret est devenu à lui tout seul un style local qu'on essai même de reproduire de manière plus ou moins heureuse. Dans le pays de Caux, la Brique est toujours de référence sur les immeubles de qualité.
 
Discussion starter · #84 ·
Je faisais référence au style Normand vu de l'extérieur. L'image d'Epinal de la Normandie c'est la maison à pans de bois avec le toit de chaume, comme en Bretagne, on a tendance à s'imaginer une maison en granit avec les cheminées sur les pignons.

En Normandie c’est plus difficile à percevoir à l'échelle de la région. Il n'y a pas de style Normand pouvant résumer toute la Normandie comme il y'a un style Breton applicable à toute la Bretagne (la maison MIKIT avec les cheminées sur les pignons).
Il y a bien un "style Normand" (longère en colombages avec queue de pie et escalier au bout de la maison, même si cette appellation est totalement arbitraire) mais il ne représente pas toute la Normandie. Après c'est des styles plus locaux.

Mais rien n'empêche de respecter le style et le paysage de chaque endroit de la Normandie... On est justement une région qui a une richesse architecturale énorme (même sans compter nos "grandes" villes), et on gâche un peu tout, je trouve, en enlaidissant nos campagnes de ces maisons de catalogues (qui n'est pas quelque chose de péjoratif, comme tu le dis, en Bretagne aussi il s'agit de maisons de catalogues, mais plus respectueuse du paysage architectural du coin) qui ne s'inspirent même pas des coins où elles sont construitent.
 
Mais rien n'empêche de respecter le style et le paysage de chaque endroit de la Normandie... On est justement une région qui a une richesse architecturale énorme (même sans compter nos "grandes" villes), et on gâche un peu tout, je trouve, en enlaidissant nos campagnes de ces maisons de catalogues (qui n'est pas quelque chose de péjoratif, comme tu le dis, en Bretagne aussi il s'agit de maisons de catalogues, mais plus respectueuse du paysage architectural du coin) qui ne s'inspirent même pas des coins où elles sont construitent.
Oui je suis assé d'accord avec toi.

Ces maisons périurbaines sont un véritable fléau. C'est le fruit de notre mille feuille administratif et de l'injustice des impôts locaux.
L'écologie ça passe aussi par des leviers pour éviter celà, maitriser notre urbanisme, et donner l'avantage à ceux qui habitent en ville.

La réunification de la Normandie et le renforcement de l’identité trahie par la désunion devrait redonner à notre région son esprit Normand... comme on voit des gens au Havre s'approprier la marque LH et développer un véritable "LH way of life", souhaitons qu'il en soit de même pour la Normandie. Ainsi, les gens prendront peut être conscience de l’intérêt de conserver un style, même ultra local.
 
Discussion starter · #86 ·
https://actu.fr/societe/si-guerre-c...020-pas-panique-otan-tout-prevu_11573958.html

Et si une guerre civile éclatait en Normandie en 2020 ? Pas de panique, l’OTAN a tout prévu…

La Normandie, future zone de guerre civile ? L'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) a imaginé qu'un tel scénario puisse se produire en 2020, et sait comment agir.

Publié le 20 Août 17 à 9:28 Voir les commentaires



En 2003, une branche de recherche de l’OTAN a imaginé le scénario d’une guerre civile en Normandie, à l’horizon 2020. Elle s’est préparée à intervenir dans un tel cas. (©Adobe Stock / Illustration)

La Normandie plongée dans une guerre civile sanglante à l’horizon 2020 ? C’est l’idée du scénario imaginé en 2003 par un groupe de chercheurs travaillant pour l’OTAN, l’Organisation du traité de l’Atlantique nord. Dans cette fiction, la Haute-Normandie est coupée en deux, avec des rebelles dans l’Eure, soutenus par la Basse-Normandie.

» LIRE AUSSI : Pour le patron de la DGSI, la France est un pays « au bord de la guerre civile »

Prévoir les opérations en aires urbaines à l’horizon 2020

Le rapport a été publié par la Research and technology organisation (RTO), la branche de recherche de l’OTAN en 2003. Intitulé « Opérations en aires urbaines en l’an 2020 », il théorise les défis que devront relever les armées des 29 États membres de l’organisation. Issu de trois ans de travail, ce rapport part du constat suivant :


L’organisation de recherche de l’OTAN a conclu que les forces de l’OTAN devront, en 2020, conduire des opérations en aires urbaines où non-combattants et infrastructures seront des critères significatifs.

En somme, l’idée est de réfléchir aux modes d’interventions et aux stratégies à adopter en cas de guerre urbaine. Le rapport estime que le modèle en vigueur en 2003 est celui de la Seconde Guerre mondiale, « caractérisé par des niveaux élevés de victimes et de dommages collatéraux ». Ces conséquences sont jugées « inacceptables », dans le préambule du rapport.

Qu’est-ce que la Research and technology organisation ?
La RTO est une branche de l’OTAN, chargée de réfléchir et de préparer tous les cas de figures militaires possibles. Dans son rapport de 2003, la RTO se définit ainsi : « Notre objectif est de supporter le développement et l’efficacité des recherches nationales et de s’adapter aux besoins militaires de l’Alliance ». Pour le faire, la RTO s’engage à « maintenir l’avance technologique » de l’OTAN, en lui « fournissant des conseils, ainsi qu’aux décideurs nationaux ».

Développer une doctrine moins frontale en cas d’assaut

Dans sa réflexion, le groupe d’étude a opposé deux modes d’action radicalement opposés. Le premier scénario, dit « traditionnel », consiste au « siège, à la destruction et à l’assaut frontal » d’une zone urbaine. Pour éviter cette brutalité, utilisée à Caen (Calvados) à l’été 1944, le groupe développe une autre « doctrine » :


Nous devons utiliser le schéma « comprendre, mettre au point et engager », avec des applications précises sur le champ de bataille : frappes chirurgicales, isolation et capture…

C’est ce scénario qu’ont appliqué les forces américaines en 1993 lors de l’opération Restore Hope, en Somalie. Sans succès, puisque leur mission a échoué, causant la mort de 19 soldats et le retrait des États-Unis.

La Normandie, terrain d’application du groupe de recherche

Pour mettre en application leur théorie, les chercheurs de l’OTAN ont donc choisi un territoire… la Normandie ! Dans le scénario qu’ils ont imaginé, Haute et Basse Normandie sont divisées et s’affrontent. Ils expliquent :


En 2015, les Oranges (la Haute-Normandie) ont fait sécession des Jaunes (la Basse-Normandie) après une courte guerre. Les Jaunes refusent de reconnaître les Oranges. Ces derniers sont divisés en deux groupes ethniques. Celui au nord de la Seine possède tous les postes de pouvoir, celui du Sud est une minorité forte supportée par les Jaunes.

Tandis que la capitale administrative des Oranges, où sont concentrés les pouvoirs, est Rouen (Seine-Maritime), le pouvoir économique est lui au Havre (Seine-Maritime). Dans les deux villes, les deux groupes ethniques opposés y sont mélangés.


Les chercheurs de l’Otan ont imaginé un scénario où la Seine-Maritime est régie par un groupe ethnique, opposé à un autre présent dans l’Eure, supporté par la Basse-Normandie. (©Captures OTAN)

Forces militaires en présence et enjeux stratégiques

Les tensions, fortes depuis la guerre et la sécession de 2015, atteignent leur paroxysme en 2019. C’est l’année où « la rébellion du groupe ethnique du sud à l’encontre de celui du nord commence ». Les forces armées Oranges sont « à la disposition du groupe ethnique du nord », malgré les « sérieuses crises internes » causées par la rébellion du sud.

INFOGRAPHIE. Les forces militaires de chacun des belligérants au conflit :



Pour que son scénario tienne la route, le groupe de recherche a listé les points stratégiques à détruire en cas de conflit entre le nord, tenu par les Oranges, et le sud, soutenu par les Jaunes. Ainsi, les chercheurs écrivent que « les ponts de Tancarville et de Brotonne » doivent être les « premiers à être détruits ».

Lorsque le conflit éclate en 2019, les rebelles parviennent à rapidement prendre possession d’un territoire au sud de la zone Orange. Vaste de 572 km², c’est la « zone libérée ». Les forces gouvernementales ont échoué à reprendre ce territoire, tout comme elles n’arrivent pas à neutraliser « les guerrillas urbaines à Rouen et au Havre ». Seule réussite à l’actif des forces loyalistes : les groupes extra-urbains ont été vaincus.

CARTE. Voici la zone tenue par les rebelles :



Qui dit guerre dit destructions. Le harcèlement et les attaques répétées des rebelles sur les infrastructures Oranges ont des répercussions sur le fonctionnement économique du pays. « En plus des dommages pour l’économie, l’intense violence des combats a causé un exode des deux côtés », écrivent les chercheurs. Mais plus grave, ils notent l’entrée dans le tableau d’une communauté immigrée basée à Sainte-Adresse :


La communauté Violette, principalement composée de travailleurs portuaires immigrés de troisième génération, a maintenu une cohésion interne grâce à sa culture. À cause du chômage, la communauté prend les armes et réclame l’aide des institutions Oranges.

Abandonnés par le pouvoir central, les Violets s’organisent « en milices armées ». Le groupe de recherche pousse loin l’exercice d’imagination, assurant que « les Violets n’hésitent pas à utiliser femmes et enfants comme boucliers humains ».

Cessez-le-feu et déploiement de Casques bleus

Le degré de violence atteint au cours de l’année 2019 force les belligérants à négocier. De septembre à décembre, loyalistes et rebelles se rencontrent, sous l’égide des Nations unies, à Genève. Un cessez-le-feu est conclu, à partir du 1er janvier 2020. Il comporte plusieurs mesures :
•la mise en place d’un gouvernement d’unité nationale incluant les personnalités politiques du nord et du sud ;
•la reconnaissance du parti politique du sud comme un parti officiel des Oranges ;
•la tenue d’élections en avril 2021 ;
•la libération des prisonniers ;
•le retour des réfugiés et déplacés.

Au 15 janvier 2020, une force dirigée par l’OTAN est déployée, mandatée par l’ONU. Les troupes envoyées pour maintenir la paix, des Casques bleus, sont divisées en deux groupes : un pour le nord, un pour le sud. En plus, des ONG doivent pouvoir intervenir. L’importance de ces mesures est justifiée dans le rapport :


La situation chez les Oranges doit être stabilisée afin d’éviter que ce pays ne devienne une menace pour la paix et la sécurité internationales.

La situation ainsi maîtrisée, le groupe de chercheurs de la RTO n’exclut pas une recrudescence de violences, pouvant être causée par des facteurs internes et externes. Pour que la paix soit maintenue, l’OTAN estime qu’il faut que « tous les soldats des belligérants regagnent leurs casernes ». Dans leur mission, les Casques bleus ont notamment la sécurisation de plusieurs « points sensibles » :
•protéger les ports et aéroports de Dieppe et du Havre ;
•protéger Rouen, en tant qu’axe principal de communication entre le nord et le sud ;
•organiser et sécuriser le flux logistique passant par la Seine ;
•préparer le débarquement de troupes supplémentaires, simultanément à Dieppe et au Havre.

La mission de l’ONU et de l’OTAN, un échec total…

La Normandie a-t-elle retrouvé la paix grâce à l’intervention de la communauté internationale ? Pas encore. Après le succès initial du déploiement des Casques bleus, des escarmouches se sont multipliées à partir de juin 2020.

En juillet, la coalition internationale a été dépassée par « l’augmentation du nombre d’incidents entre les deux groupes ethniques, qui ont dégénéré en massacres, exodes et destructions d’infrastructures ». Acculé, le gouvernement Orange, du nord, a perdu le contrôle du sud de la Seine, envahi par les Jaunes le 1er août. Ils capturent Rouen et marchent sur Le Havre. Le cessez-le-feu vole en éclats.

Rouen, divisée entre l’ethnie du sud sur sa rive gauche et du nord sur sa rive droite, subit une flambée de violence. L’ethnie du nord, au pouvoir jusque là, est la cible « d’intimidation, de harcèlement, de racket, d’assassinats et d’attentats à la bombe ». Les Casques bleus sont défaits : ils se retirent du Havre en gardant le port, de Dieppe et de Honfleur. La situation est dramatique à Évreux :


Le bataillon d’infanterie de l’OTAN qui y est stationné est encerclé et isolé par les Jaunes. Ils n’ont aucune liberté de mouvement. Tous les avions de combat de l’escadron ont été détruits.

Face à cette situation désespérée, le commandement prévoit la recapture des points de traversée de la Seine, le désencerclement des soldats d’Évreux et la retraite de l’armée Jaune sur ses terres.

Défaits, les soldats de l’OTAN préparent la reconquête

Pour mettre un terme à l’invasion du territoire Orange par les Jaunes, l’OTAN s’apprête à lancer une offensive. Les chercheurs situent les troupes combattantes des Jaunes :


Un bataillon d’infanterie mécanisée encercle nos soldats à Évreux. Deux de ce type occupent Rouen. Ils peuvent bloquer les axes de Tôtes à Rouen, de Dieppe à Rouen, de Maromme à Mont-Saint-Aignan et Bois-Guillaume.

En plus de ces bataillons, des compagnies de tanks sont prêtes à franchir la Seine pour bloquer toute contre-offensive. Dans le même temps, le port du Havre est menacé par des bataillons équipés de mortiers et lance-roquettes. Toutefois, les troupes Jaunes n’ont pas « d’équipements technologiques de pointe ». La coalition internationale entend reconquérir les territoires perdus par les Oranges et appliquer le cessez-le-feu.

Dans l’ordre, les troupes de l’OTAN doivent sécuriser leurs positions à Dieppe et au Havre, reprendre Rouen, libérer Évreux puis expulser les Jaunes du pays Orange. Pour ce faire, trois options sont identifiées :
•renforcée par des unités débarquées à Dieppe, la coalition marche sur Rouen et capture ses ponts pour foncer sur Évreux et libérer les soldats isolés ;
•mener une opération amphibie le long de la Seine après un débarquement à Honfleur, pour reprendre Rouen et Évreux simultanément ;
•avancer jusqu’aux Andelys pour traverser la Seine et attaquer Rouen ou Évreux.


Les trois options imaginées par les spécialistes de l’OTAN pour reprendre Rouen et Évreux en partant de Dieppe et du Havre ont été schématisées. (©Capture OTAN)

L’offensive est lancée le 1er septembre 2020. Avec le renfort de deux divisions – une à Dieppe et une au Havre – supportées par 40 avions de combat polyvalents et 40 avions de transport, la coalition reprend du terrain. Malgré le renforcement des troupes Jaunes à Rouen, la ville tombe à la fin du mois de septembre.

Les soldats piégés à Évreux ont continué à résister aux forces Jaunes qui les encerclaient. Ils sont libérés au début du mois d’octobre 2020. Le rapport ne dit pas si les élections espérées pour avril 2021 ont pu se tenir, ni si les Oranges ont bien repris le contrôle entier de leur territoire.

Pourquoi avoir choisi la Normandie pour imaginer ce scénario ? Le rapport ne le dit pas non plus. Contactée, la délégation française à l’OTAN n’a pu répondre aux questions de Normandie-actu car « ce rapport est trop ancien ». De son côté, la Research and Technology Organisation a indiqué « ne pas avoir le temps pour une interview ». Trop occupée à imaginer une Troisième Guerre mondiale entre Cherbourg et Alençon, peut-être…
 
Discussion starter · #92 ·
Grand Paris : demain, le big bang ?

Selon Le Canard Enchaîné du 6 septembre 2017, Emmanuel Macron prépare une superstructure avalant les départements et les intercommunalités de la petite couronne, ainsi qu’Orly, Roissy ou Saclay. Une petite révolution qui tournerait le dos à la proximité selon le président de l’Association des administrateurs territoriaux de France Fabien Tastet.

Philippe Dallier boit du petit lait. Dix ans que le sénateur-maire LR des Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) prêche dans le désert avec sa super-métropole avalant les quatre conseils départementaux (Paris, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne) du cœur de la région-capitale ainsi que les intercommunalités de la petite couronne parisienne. Une décennie qu’il se heurte à la coalition des divers intérêts territoriaux. Et voilà, ô miracle pour lui, qu’Emmanuel Macron se rallie à son panache.

C’est, en tout cas, ce qu’affirme Le Canard Enchaîné dans son édition du 6 septembre 2017. Le chef de l’Etat, à en croire le volatile, irait même plus loin que le fougueux sénateur Dallier. Sa très jupitérienne métropole regrouperait l’ensemble des zones aéroportuaires d’Orly et de Roissy, ainsi que le plateau de Saclay, joyau de la recherche française.

Une superstructure destinée à être élue au suffrage universel direct dès 2020, c’est-à-dire avant la fin du bail de 2021 prévu pour les conseillers départementaux. Afin de faire passer la pilule à la patronne de la région, Valérie Pécresse (LR), directement menacée par cette opération, la présidence se montrerait prête à élargir les frontières de l’Ile-de-France à l’Oise, à l’Eure et à la Seine-Maritime. Un gigantesque coup de pied dans la fourmilière qui demande confirmation.

Objets juridiques non identifiés

Source : http://www.lagazettedescommunes.com/523734/grand-paris-demain-le-big-bang/



:nuts:
 
Discussion starter · #94 ·
Non mais la Normandie, c'est la Normandie, point final. C'est encore un truc de technocrate ça...

Pas besoin de ces artifices, surtout si c'est juste à des fins politiques, pour faire "passer la pilule".
 
Mais si, le Français de base a adore ca...c’est blanc, c'est propre, c'est lessivable, c'est sans odeur ni saveur. Si en plus il y'a un parking souterrain, alors la c'est le rêve absolu.
 
Discussion starter · #97 ·
Mais si, le Français de base a adore ca...c’est blanc, c'est propre, c'est lessivable, c'est sans odeur ni saveur. Si en plus il y'a un parking souterrain, alors la c'est le rêve absolu.
Je pense que le Français, de tout temps, ce qui l'intéresse le plus, c'est le confort intérieur, peu importe la bourse.

C'est surtout parce que les pouvoirs publics laissent faire que l'on a des choses comme ça.

Un petit concours des façades ne ferait pas de mal, parce que plus ça va, pire c'est.
 
Discussion starter · #99 ·
Il suffit de demander à des architectes... oups... c'est eux qui font ca.

En tous cas je préférai de loin le Pole Educatif qui était prévu ici.
Ni l'un ni l'autre pour moi.

Il ne s'agit pas que d'architectes. Le PLU, le service des permis de construire, le maire lui même a pouvoir sur cela.
 
Ni l'un ni l'autre pour moi.

Il ne s'agit pas que d'architectes. Le PLU, le service des permis de construire, le maire lui même a pouvoir sur cela.
Le maire n'a aucun pouvoir là dessus, malheureusement.

S'il n'y a pas une réglementation drastique sur le style architectural a réaliser, c'est mort.
 
81 - 100 of 157 Posts
Top