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{ Oil & Gaz Industries News }

516723 Views 2281 Replies 196 Participants Last post by  John vicks
Morocco has signed three exploration contracts with three international oil companies from Cyprus, Canada and Malaysia, MAP news agency reported.




The agreements were signed, on the sidelines of the 4th conference "Maghreb & Mediterranean Oil and Gas 2006" in Marrakech, by Amina Benkhadra, general director of the National Office of Hydrocarbons and Mines (ONHYM), with the representatives of Cabre Maroc Ltd (Cyprus), Transatlantic Maroc Ltd (Canada) and Genting Oil Morocco Ltd (Malaysia).

These bring the number of agreements signed with ONHYM in the mining sector to 17 agreements and six reconnaissance contracts in collaboration with 20 partners.

The contracts cover a total area of 237,195,40 km2, providing for four exploration concessions, 85 research permits (14 onshore and 71 offshore) and six onshore reconnaissance authorisations.

The Minister of Energy and Mining, Mohamed Boutaleb, invited on Wednesday international oil companies to benefit from morocco's potentials.

“Morocco, with its 350,000 km2 of sedimentary basins, constitutes an interesting and practically virgin zone for oil drilling,” he underlined.

“Although we are satisfied with the quality of cooperation with the oil companies operating in Morocco at present, our subsoil is still under-tapped,” he added.
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Manœuvres géopolitiques autour du gazoduc Maghreb-Europe ?

Le contrat du gazoduc algérien Maghreb-Europe qui fournit l’Espagne via le Maroc moyennant une redevance annuelle de 0,5 milliard de mètres cubes s’achèvera en 2021. L’accord pourrait ne pas être reconduit puisque l'Algérie affirme avoir lancé un chantier pour construire un autre gazoduc qui lui permettra, à partir de 2020, de se passer du tronçon marocain. Selon une source marocaine crédible, cette annonce géopolitique destinée à provoquer une réaction marocaine n’aura aucune incidence sur la capacité du Maroc à trouver d’autres fournisseurs.

Dépourvu encore de réserves de gaz et de station de traitement pour le stocker en masse, le Maroc s’approvisionne auprès de son voisin algérien pour ses besoins gaziers.

Depuis son entrée en service en 1996, le gazoduc Maghreb-Europe, long de 1.300 km, part du gisement gazier algérien de Hassi R’mel, puis traverse 540 km de territoire marocain avant de continuer sa route (maritime et terrestre) jusqu’à sa destination finale, Cordoue.

En échange du droit de passage du gaz algérien (13,5 milliards de mètres cubes par an), le Maroc perçoit, depuis 2011, une redevance annuelle en nature d’un demi-milliard de mètres cubes de gaz, soit près de la moitié de la consommation annuelle du Royaume.

Notons qu’avant d’être payé en gaz pour approvisionner, en partie, ses 2 centrales électriques très proches du gazoduc, il percevait 100 à 150 millions de dollars/an.

Simple nouveau gazoduc ou embargo gazier ?

Le gazoduc est propriété de l'Algérie jusqu'en 2020. En 2021, il devient propriété du Maroc. Il ne s'agit pas de la fin d'un contrat mais d'un changement de propriété.

Trois ans avant cette date, la presse algérienne rapporte que son ministre de l’Energie a lancé, mercredi 12 septembre, un nouveau chantier de déviation du GME qui reliera directement l’Algérie à l’Espagne sans passer par le Maroc, et qui sera prêt en 2020.

Le ministre algérien a déclaré que le branchement du GME (gazoduc Maghreb Europe) au gazoduc Medgaz (qui a une capacité de 8 MM m3/an) avait pour seul objectif d’accroître le volume des exportations gazières de l'Algérie. Les médias des 2 pays ont toutefois interprété ses déclarations comme une volonté de se préparer à la non-reconduction d'accords de transport de gaz en 2021.

Interrogé par Médias24, un grand opérateur énergétique marocain nous déclare qu’en lançant ce chantier, les autorités algériennes désirent sonder les intentions marocaines par un ballon d’essai.

Selon lui, c’est une partie d’échecs qui se joue entre trois acteurs (Algérie, Espagne, Maroc) voisins qui se jaugent et où chaque coup gagné est une victoire géopolitique.

Construire ce nouveau gazoduc est une prise de position déguisée qui veut mettre le Maroc en position de demandeur en 2021. Pour l’Algérie, ce serait donc un moyen d’affirmer sa puissance énergétique sachant qu’elle fournit l'essentiel du gaz consommé au Maroc.

En 2021, prendront fin deux contrats essentiels: Le 1er concerne le GME et le 2ème lie l’ONEE (Office national de l’électricité) à la Sonatrach (2011/2021) qui lui livre chaque année 640 M m3 de gaz pour alimenter les deux centrales électriques de Aïn Béni Mathar (470 MW) et Tahaddart (385 MW).

Aucune difficulté pour le Maroc à remplacer son fournisseur historique de gaz

"Si en 2021, l'Algérie décide d'arrêter de livrer l'Espagne à travers le GME, il n'y aura plus de redevance gazière pour le Royaume. Mais le Maroc n’aura aucun mal à trouver un autre fournisseur. Le problème n’est pas de remplacer le gaz algérien, il est plutôt d’ordre géopolitique. Pour faire court, la démarche algérienne est de mettre son voisin dans l’embarras en le privant de ressources gazières.

"Si nous consommons 1,1 MM m3/an dont 0,5 MM viennent de la redevance et 0,6 MM sont achetés à l’Algérie, nous pourrons cependant nous fournir auprès des USA, de la Russie ou du Qatar qui ne demandent que ça.

"Dans le cas où notre voisin refuserait de renouveler le transit par le GME, le Maroc peut très bien lui proposer d’acheter son gaz sans condition préférentielle. Ainsi l’Espagne vient de renouveler avec ce pays un contrat de fourniture portant sur une quantité annuelle de 10 milliards de mètres cubes.

"Il parait impossible que l’Algérie refuse de livrer le Maroc comme n’importe quel autre client; mais même dans ce cas, nous pourrions s’il le faut acheter du gaz à l’Espagne", précise notre source qui se veut optimiste en assurant que d’ici 2021, le Maroc sera en mesure de se passer du gaz algérien.

Notre interlocuteur avance qu’au terme des 3 ans, les recherches gazières entreprises par la société d’exploration Sound Energy, à Tendrara dans l’Oriental, aboutiront à une exploitation effective.

Tendrara, une solution pour quelques années

Il faudra attendre 2019 ou 2020 pour connaître précisément le volume des réserves commercialisables. Il apparaît déjà probable qu’elles seront suffisantes et que Sound Energy pourra mettre sur le marché entre 0,5 et 1 MM m3/an.

En fonction du volume des futures découvertes gazières, Sound Energy a d’ailleurs déjà prévu de se brancher dessus pour, le cas échéant, exporter son gaz vers le continent européen via l’Espagne.

Une consommation de 5 milliards de mètres cubes de gaz à l’horizon 2025

Sachant que le ministère de l’Energie prévoit une consommation nationale annuelle de 5 MM m3 de gaz, le Maroc a lancé deux grands projets qui permettront de sécuriser ses importations de gaz et d’assurer l’approvisionnement de ses centrales électriques à cycle combiné, soit gaz et charbon.

Le premier consiste à construire une énorme station de traitement de gaz naturel liquide (GNL) sur le site de Jorf Lasfar pour un montant de 45 milliards de DH. Le chantier censé démarrer en 2014 n’a toujours pas avancé.

En parallèle, le Maroc a signé, lors d’une visite royale au Nigéria, un protocole d’accord avec ce grand producteur pour construire un gazoduc reliant le Nigéria à l’Europe via le Maroc.

Sachant que les études techniques (tracé, pays traversés…) n’ont pas encore été finalisées, on ne connaît pas encore la date de sa mise en service ni son coût qui devrait cependant s’élever à plusieurs milliards de dollars.

Au final, même si le terminal gazier a plus de chances de voir le jour avant le gazoduc Maroc-Nigéria, tout se jouera en fonction de la volonté politique au Maroc et en Afrique.
medias24
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Les responsables des deux pays a savoir le Maroc et l'Algérie continuent à jouer leur jeu enfantin loin des intérêts économiques des deux pays et surtout loin de tout pragmatisme économique : Le Maroc a intérêt à continuer d'importer le Gaz algérien et de faire transiter le Gaz algérien vers l’Espagne contre des redevances (une moyenne de 150 millions dollars ou 1/2 milliards de mètres cubes ) et l'Algérie a un grand intérêt a reconduire le contrat et à continuer de faire transilter son Gaz vir le Maroc si on prend considération ses objectifs de faire augmenter ses exportations , de vouloir garder ses parts de marchés internationaux (une guerre rude ) , rivaliser avec le Le gaz naturel liquéfié GNL du Qatar et des USA sans oublier les récentes grandes découvertes de Gaz à l'est du MÉDITERRANÉE (Egypte , Chypre , Israël ) et aussi début pour bientôt (2021) de l’exploitation du champ gazier Grand Tortue-Ahmeyim (GTA), ce gisement offshore situé à cheval sur les eaux territoriales mauritaniennes et sénégalaises et dont Les réserves sont estimées à 450 milliards de m3 de gaz.
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Le ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, Abdelkader Amara, s’est enquis, récemment à Jorf Lasfar (El Jadida), de l’état d’avancement du projet du complexe GNL (gaz naturel lubrifié), qui comprend, notamment, la construction d’un nouveau port sur le site du Cap Blanc.

Ce nouveau port sera dédié exclusivement au trafic GNL et sera composé d’importantes infrastructures aux standards internationaux. Il s’agit de la réalisation des ouvrages de protection (notamment la digue principale), les ouvrages d’accostage qui comportent un poste pour le GNL, en 1ère phase avec la possibilité d’ajouter un 2ème poste, un poste de service et enfin une zone portuaire.

Pour rappel, le projet comprend aussi une usine de regazéification du GNL la réalisation d’une centrale électrique de puissance 1 200 MW à Jorf Lasfar et la réalisation d’un gazoduc de transport de gaz naturel à haute pression, devant relier le complexe GNL de Jorf Lasfar au Gazoduc Maghreb-Europe (GME).
infomediaire

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"L'Algérie poursuivra ses exportations de gaz à travers le gazoduc Maghreb-Europe" (PDG Sonatrach)

"L'Algérie poursuivra ses exportations de gaz à travers le gazoduc Maghreb-Europe" (PDG Sonatrach)
"L'Algérie n'a aucun intérêt à couper le passage du gaz par le gazoduc Maghreb-Europe. Au contraire, nous n'y avons aucun intérêt. Notre intérêt, c'est d'augmenter nos exportations", a affirmé Abdelmoumen Ould Kaddour, PDG de Sonatrach.

Ould Kaddour s'exprimait ce lundi 24 septembre 2018 au cours d'une conférence de presse.

Le PDG de Sonatrach a évoqué les médias en leur demandant de faire attention aux interprétations fausses: "nous avons lancé un deuxième gazoduc pour augmenter notre capacité et pas pour fermer la voie du gazoduc existant Maghreb-Europe."
medias24
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آيا تسالات الحلقة روحو لزريبتكوم ، شبعتونا مقروط

On en a marre de votre hypocrisie ridicule et de vos raisonnements à la con .
Le sujet est Marocco-marocain on a pas demandé votre avis .Allez continuer votre gymnastique de Nif ailleurs !!!
L’UNIQUE RAFFINERIE DU MAROC RISQUE D’ÊTRE FERMÉE PAR DÉCISION DE JUSTICE

Une source qui maîtrise parfaitement le dossier a indiqué à Maghreb Emergent que le tribunal avait autorisé la poursuite de la situation actuelle de la raffinerie jusqu’à la fin de ce mois d’octobre 2018, avant de se prononcer pour la fermeture ou la reprise de la Samir.
Depuis l’été 2015 et suite à une procédure de saisie lancée par la douane, l’unique raffinerie du Maroc, la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (Samir) est à l’arrêt avec des dettes bancaires et obligataires s’élevant à quelque 1,84 milliard d’euros.

Le tribunal de commerce de Casablanca a prononcé en 2016 la décision de liquidation judiciaire associée à une autorisation de continuité d’activité. Mais, deux ans après cette annonce et une année après la publication de l’appel à manifestation d’intérêt pour le rachat des actifs de la raffinerie, le dossier n’a toujours pas trouvé d’issue.

Une source qui maîtrise parfaitement le dossier a indiqué à Maghreb Emergent que le tribunal avait autorisé la poursuite de la situation actuelle de la raffinerie jusqu’à la fin de ce mois d’octobre 2018, avant de se prononcer pour la fermeture ou la reprise de la Samir.

« Une décision de fermeture de la raffinerie provoquera le licenciement du personnel et le démantèlement de la raffinerie (vider les bacs, se débarrasser de l’azote etc.) », a souligné notre interlocuteur en ajoutant que « l’arrêt de la raffinerie voudrait dire qu’elle ne pourra être remise en marche sauf à un prix très fort ».

Une offre pour convaincre le tribunal ?

Depuis 2017, le tribunal a reçu plus d’une trentaine d’offres de reprises venues de différentes nationalités ; Canadienne, Britannique, Chinoise, Saoudienne, Emiratie, Jordanienne, Coréenne etc. Mais selon les médias marocains qui ont épluché ce dossier, il existe parmi ces offres trois qui tiennent cependant le haut du pavé.

Il s’agit en premier de ‘’Evsen group’’ qui a déposé son offre en décembre 2017 pour un montant de 25 milliards de dirhams conditionné par un paiement par tranches. Quelques jours après, le groupe turc ramenait son offre à 22 milliards, payable sur 2 ans et assorti d’une caution de 15 % sur la première tranche.

La deuxième offre a été déposée en juillet 2018 par le groupe financier australien ‘’Macquarie’’, portée par la division « marché énergétique » du groupe, sous la responsabilité d’Erik Petersson avec le soutien d’Anis Remadi et du Marocain Yassine Benjelloun, ex-Medicapital. Cette offre ne mentionnait cependant aucun détail sur les tablettes du syndic consultées, selon les médias marocains.

Pour la troisième et probablement la plus élaborée de toutes selon nos sources et aussi des médias marocains, provient de la société belge Carbonaphta, adossée au trader Baha Bastane Energy (BB Energy) basé à Dubaï. Elle est dirigée par Roger Houzel, fils du vétéran du négoce pétrolier Xavier Houzel, réputé pour ses entregents auprès des régimes moyen-orientaux et dans nombre d’opérations de raison d’Etat.

L’offre Carbonaphta propose de relancer rapidement les opérations par un transfert des dettes de la Samir dans une structure de défaisance.

« Cette offre de Carbonaphta est correcte et recevable juridiquement et en ordre avec des professionnels du pétrole et du gaz qui se disent intéressé par le raffinage », reconnaît un initié du dossier dans une déclaration à Maghreb Emergent.

La même source nous explique qu’une bonne vingtaine d’acquéreurs se sont présentés avec une offre de 2,5 milliards de dollars, ce qui correspond aux exigences du Tribunal, mais avec des lettres de banques qui se sont avérées fausses et non confirmées. « Ces repreneurs se sont évaporés dans la nature. Donc il n’y a eu aucune offre sérieuse à part celle de Carbonaphta », conclut-il.

Le redémarrage de la Samir n’arrange pas certains intérêts

Actuellement, la raffinerie est dans un très bon état selon les analystes, mais il faut en urgence procéder à des travaux de maintenance. « Des travaux que le tribunal ne peut pas engager car il ne dispose pas de financement », selon notre source.

D’autre part, il y a des assurances et des salaires à payer. Les salaires des mois derniers ont été payés par une filière de la raffinerie (100% de distribution), nous dit notre interlocuteur. Aussi, le personnel cadre de valeur qui, face à la situation de la Samir, est en train de quitter l’entreprise.

Notre source va encore plus loin dans cette affaire en déclarant que le fond du problème de la Samir « est qu’il y a des gens au Maroc qui ne souhaitent pas que la raffinerie redémarre ». Il explique à ce propos que depuis 3 ans, les distributeurs de carburent ont eu à se réjouir de cette situation. « On parle de 3 milliards de dollars de gains au profit des distributeurs et cela sur le dos des contribuables », nous révèle notre source.

Il ajoute dans ce sens qu’un rapport sur le carburent parle d’une entente entre les distributeurs pour gagner d’importantes marges. « Ceci soulève le problème de l’existence d’un marché non régulé qui n’est pas contrôlé par les autorités », affirme notre source.

En ce moment, les propositions de reprises de la raffinerie notamment les plus convaincantes d’entre-elles, déposées sur le bureau du tribunal, « se retrouvent face à un mur, pas celui d’incompréhension mais d’austérité », affirme notre source.

Si ce fleuron de l’industrie marocaine ne trouve pas un repreneur, la raffinerie pourrait être démantelée et vendue comme de la vulgaire ferraille. Ce qui représente une grosse perte pour le Maroc, le Maghreb mais aussi pour l’Afrique tout entière.

Pour rappel, la raffinerie la Samir existe depuis 1990 et est passée en 1997 sous le contrôle du groupe saoudien Corral Pétroleur Holdings. Elle est située près du port pétrolier de Mohammédia, dans la plus grande zone industrielle des carburants au Maroc. Elle a été conçue pour traiter 1 250 000 tonnes de brut par an.
maghrebemergent
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Gaz : Sound Energy fait une nouvelle découverte

Sound Energy a annoncé, ce lundi, la découverte de nouvelles traces de gaz dans le puits TE-10 dans le permis de Tendrara. Il s'agit de la troisième découverte de traces de gaz dans ce puits creusée à une profondeur de 2.218 mètres. D'après la société britannique, "la quantification de la ressource globale est en cours et nécessitera une analyse globale des parois et une évaluation plus poussée".

Le puits TE-10 était le deuxième puits du programme actuel d'exploration de trois puits de Sound Energy dans la licence de Tendrara (région de L'Oriental).
leconomiste
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شبعونا كذوب هاد الناس Tikerkas
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Gazoduc Maghreb-Europe : Hausse des volumes fournis au Maroc

Le volume de gaz naturel algérien ayant transité par le Gazoduc Maghreb-Europe a enregistré une augmentation de 18,9% par rapport à 2017, en passant de 7,95 milliards NM3 à 9,45 milliards NM3, indiqué l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) D’après l’Office, la vente des hydrocarbures à fin décembre 2018 a enregistré un chiffre d’affaires de 141,5 millions de dirhams H.T, contre 110,67 millions de dirhams H.T pour 2017, marquant ainsi une progression de 27,8%.
leconomiste
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Gazoduc Maghreb-Europe : Le partenariat Maroc-Algérie-Espagne maintenu au-delà de 2021

C'est officiel. Le Maroc, l'Algérie et l'Espagne ont décidé de maintenir l'exploitation du Gazoduc Maghreb-Europe au-delà de 2021. C'est ce qu'a déclaré le ministre de l’Énergie, Aziz Rabbah, lors d'une rencontre organisée le 9 janvier à Rabat.
En 2021, le Gazoduc deviendra propriété du Maroc, selon les clauses du contrat initial, pour le transit du gaz algérien vers l’Espagne via cette infrastructure mise en service en novembre 1996. Selon le ministre, l'Espagne et l'Algérie ont décidé de prolonger leur partenariat commercial. Le Maroc et l'Algérie sont également pour le maintien de leur partenariat autour du gazoduc au-delà de 2021.
lematin
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GAZ NATUREL: LE CHINOIS CCCC EN LICE POUR LE PROJET DE CONSTRUCTION D’UNE UNITÉ FLOTTANTE DE REGAZÉIFICATION AU MAROC

China Communications Construction Co, le mastodonte étatique chinois du BTP, est candidat au projet de construction d’une unité flottante de regazéification (FSRU), dont l’Appel à manifestation d’intérêt, lancé par le ministère marocain de l’Energie, a été bouclé le 25 octobre dernier. Celui-ci envisage de lancer un appel d'offres dès juin 2022.
China Communications Construction Co (CCCC) s'est positionné sur l'Appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour la construction de la première unité flottante de regazéification (FSRU, pour Floating Storage and Regasification Unit) du royaume, relaye Africa Intelligence, dans un article publié ce mercredi 8 décembre 2021.

La lettre d'information indique en effet que «parmi la vingtaine de candidats qui ont répondu à l'appel à manifestation d'intérêt bouclé le 25 octobre par la nouvelle ministre de l'énergie Leila Benali, figure un consortium mené par l'une des filiales de CCCC, China Road & Bridge Corp (CRBC)».

Selon Africa Intelligence, ce consortium comprend également CCCC Third Harbour, autre émanation du groupe chinois spécialisé dans les infrastructures portuaires, ainsi qu'une entreprise privée, Wison Engineering, une firme basée à Shanghai, spécialisée dans l’industrie pétrochimique, et dont l’une des filiales, nommée Wison Offshore & Marine, a livré, en 2017, le premier FSRU «Made in China» à un client Belge, Eymar.
L’AMI relatif à la construction d’une unité de transformation du gaz liquéfié en gaz naturel au large du Maroc, avait été lancé en avril 2021 par le département de l’Energie, à l’époque dirigé par Aziz Rabbah. Cette infrastructure doit permettre au Maroc d'importer du gaz naturel liquéfié (GNL) par voie maritime, et de le regazéifier pour le distribuer aux clients industriels, ainsi qu'aux centrales électriques de l'Office national de l'électricité et de l’eau (ONEE).

Le 15 octobre dernier, la nouvelle ministre de l’Energie, Leila Benali, a décidé de prolonger de dix jours la période de consultation de l’AMI, jusqu’au 25 octobre 2021. Une décision motivée par l’engouement d'un nombre important de sociétés nationales et internationales pour ce projet qui revêt une importance stratégique pour le Maroc.

La construction d’une unité flottante de regazéification au large des côtes marocaines est considérée comme l’une des alternatives au Gazoduc Maghreb-Europe (GME), qui alimentait en gaz naturel l’Espagne via le Maroc, et que le régime d’Alger a décidé de mettre à l’arrêt à compter du 1er novembre 2021. Une partie du gaz algérien qui transitait par le GME servait également à alimenter les deux centrales de Ain Beni Mathar et de Tahaddart, aujourd’hui à l’arrêt.
Selon Africa Intelligence, sur la base de l’AMI, les services de Leila Benali envisagent de lancer un véritable appel d'offres en juin prochain. Entre-temps, ajoute la lettre d’information, le département de l’Energie devra «finaliser le choix du port qui accueillera l’unité flottante FSRU, entre par ordre de préférence, Mohammedia, Nador West Med (en cours de construction) et Kénitra».
Une entreprise britannique, Predator Oil & Gas, avait déjà fait part de son intérêt, dès le mois de mai dernier, pour le projet d’unité flottante FSRU.

Predator, qui détient déjà au Maroc une licence d’exploration gazière à Guercif, avait mis en avant, dans son dossier, son expérience et son savoir-faire acquis en matière de FSRU, après le développement d’une infrastructure similaire en Irlande.

CCCC espère pour sa part remporter son deuxième plus important contrat au Maroc, après celui décroché en 2019 pour l’aménagement du projet de la cité Tanger Tech.

le360
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I have a very naive question about tendrara gaz , do you think it will make Morocco sufficient ?
non la quantité prévue sera dans les 350 millions m3 par an . Rien que pour faire fonctionner nos deux centrales à gaz Tahdart et Beni Mathar on a besoin de 700 millions m3 . pour le gisement d'Anchois on prévoit une production de 500 millions m3 par an mais il faut attendre encore 3 ans pour passer à la production ...il faut pas croire les annonces , toutes les découvertes jusqu'à présent restent minimes et on a pas encore découvert un gisement qui pourrait vraiment changer la donne
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Tu es sûr ? car, j’avais lu que pour tendrara on parle de plusieurs TCF ! Et pour Anchois encore bien plus !
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